L’économiste prépare depuis plus d’un an sa candidature pour l’élection présidentielle du 2 septembre. Il tarde toutefois à se déclarer, alors qu’Ali Bongo Ondimba ne s’est pas non plus officiellement lancé dans la course.
Le gouvernement gabonais a fixé la date du prochain scrutin, lequel se tiendra une semaine après la limite normalement prévue par la Constitution, selon les informations de Jeune Afrique.
Au Gabon, l’opposant s’est fait de plus en plus discret ces dernières années. Peu croient qu’il se représentera à la présidentielle, mais sa parole pourrait encore compter pour ses anciens soutiens.
Au Gabon, face à une opposition supposée en désordre de bataille mais qu’il ne doit pas sous-estimer, le chef de l’État sortant tentera de convaincre ses concitoyens, lors de la prochaine campagne présidentielle, qu’il répondra à leurs aspirations.
L’ancien bras droit d’André Mba Obame, candidat à la prochaine élection présidentielle, espère s’imposer comme le principal adversaire du président sortant.
En lice pour la présidentielle au Gabon, l’ex-député espère s’imposer comme le leader de l’opposition face au chef de l’État, très probable candidat à sa succession.
Mike Jocktane, Raymond Ndong Sima, Pierre-Claver Maganga Moussavou… Plusieurs figures de l’opposition se sont déjà déclarées, tandis que Paulette Missambo ou Jean Ping entretiennent encore le suspense.
Après avoir claqué la porte du Parti démocratique gabonais et soutenu la candidature de Jean Ping en 2016, le président du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM) sera probablement candidat à la magistrature suprême en 2023.
Laure Olga et Paul-Marie Gondjout, tous deux membres de l’une des plus emblématiques familles gabonaises, ne devraient pas apporter leur voix au candidat du Rassemblement pour la patrie et la modernité, lors de l’élection prévue l’an prochain.
Les 17 et 18 février à Bruxelles, le 6e sommet UA – UE sera placé sous le signe du redressement des économies touchées par la crise du Covid-19. Afin que la coopération Nord-Sud reste, pour l’Afrique, la voie la plus sûre vers le développement, il convient de fixer de nouvelles règles.
Barro Chambrier, Nzouba Ndama, Mike Joktane… Qu’ils se soient prononcés ou non sur leur intention de se présenter à la prochaine présidentielle, ils ont déjà tous 2023 en tête. Le fait que le scrutin sera à deux tours, contrairement à celui de 2016, change la donne.
Contrairement à ce qu’a affirmé le Premier ministre gabonais Emmanuel Issoze Ngondet, Jeune Afrique ne l’a aucunement contacté afin de « mettre un terme » à la candidature aux législatives d’Alexandre Barro-Chambrier.
Arrivé de justesse en tête au premier tour, Alexandre Barro-Chambrier du Rassemblement héritage et modernité affronte Séverin Pierre Ndong Ekomi du Parti démocratique gabonais pour l’un des derniers duels à enjeux des législatives.
Seul ténor de l’opposition qualifié pour le deuxième tour des législatives, Alexandre Barro-Chambrier ne cache pas son amertume après la défaite des siens au premier tour. Dénonçant la fraude qu’il impute à ses adversaires, il n’en appelle pas moins à réorganiser l’opposition.
Une centaine de salariés attaquent Bouygues Énergies & Services (Byes) Gabon aux prud’hommes en France ; Alexandre Barro Chambrier et Zacharie Myboto se rapprochent au Gabon… Chaque semaine, Jeune Afrique vous rend compte de l’activité des contre-pouvoirs africains.
Aux législatives du 6 octobre, Alexandre Barro-Chambrier sera le candidat commun du Rassemblement Héritage et Modernité (RHM) et de l’Union nationale (UN) dans le 4e arrondissement de Libreville.
Entre médecine et politique, le cœur de cette grande famille balance. Si la plupart de ses frères et sœurs ont opté pour la blouse blanche, Alexandre s’est imposé en tant que poids lourd de l’opposition et compte participer aux législatives avec son parti, Héritage et Modernité.
Au Gabon, famille et politique font bon ménage. Au cœur de Libreville, qu’ils considèrent chacun comme leur terre, les Chambrier et les Gondjout ont lié leurs destinées depuis plusieurs décennies.
L’opposition se prépare aux législatives d’avril et entend imposer une cohabitation à Ali Bongo Ondimba. Mais alors que Jean Ping refuse toujours de prendre part à la campagne, elle avance en ordre dispersé…
Le président du mouvement d’opposition Héritage et Modernité, Alexandre Barro Chambrier, songe à incarner une troisième voie entre Ali Bongo Ondimba et Jean Ping, et le fait savoir.
Alexandre Barro Chambrier, député du quatrième arrondissement de Libreville, est le fer de lance de ceux qui, au sein du parti au pouvoir, somment Ali Bongo Ondimba de revenir à une gestion plus participative des affaires de la majorité. Interview.