Selon les informations de Jeune Afrique, le président centrafricain s’est entretenu, à sa demande, avec son homologue français en marge du One Forest Summit. Coulisses.
Le président français arrive la nuit prochaine à Kinshasa pour sa première visite dans le pays. La dernière étape de sa tournée africaine s’annonce à haut risque, alors qu’il est attendu au tournant sur la question du M23.
Lors de la première étape de sa tournée en Afrique centrale, le président français a déclaré que la France est désormais un « interlocuteur neutre » sur le continent, alors que certains lui reprochent de poursuivre ses rencontres avec des dirigeants africains jugés autoritaires.
Tandis qu’Emmanuel Macron se trouve actuellement à Libreville, où il prend part au One Forest Summit, plusieurs de ses collaborateurs ont rencontré les principaux leaders de l’opposition, ainsi que des membres de la société civile.
À l’occasion du sommet qu’ils coorganisent et qui s’ouvre ce 1er mars, Ali Bongo Ondimba et Emmanuel Macron accueilleront plusieurs de leurs pairs à Libreville.
Emmanuel Macron débute ce 1er mars une nouvelle tournée africaine qui le mènera à Libreville puis à Luanda, à Brazzaville et à Kinshasa. Un marathon de quatre étapes en quatre jours lors duquel le président français, qui assure avoir posé les bases « d’une autre voie », sera attendu sur plusieurs dossiers politiques sensibles.
Le chef de l’État gabonais avait annoncé la tenue de ce dialogue, dans la perspective notamment de la présidentielle d’août 2023, dans son allocution du 31 décembre dernier.
Le chef de l’État français sera à Libreville au début de mars pour le One Forest Summit, point de départ d’une tournée sous-régionale dont JA vous dévoile les temps forts.
Le ministre chinois des Affaires étrangères en tournée sur le continent a voulu rassurer les partenaires habituels. Tout en consolidant l’influence de son pays en Afrique francophone.
L’ancien président centrafricain François Bozizé va-t-il devoir quitter N’Djamena ? Faustin-Archange Touadéra semble en tout cas décidé à l’éloigner définitivement de son pays, et même de la région.
Raponda, Bilie-By-Nze, Manfoumbi, Ndemezo’o Obiang, Louembe… Le chef de l’État gabonais a procédé à un remaniement, finalisé dans le plus grand secret. Preuve que la campagne pour la présidentielle a déjà commencé.
Des législatives, des municipales, un référendum et, surtout, sept présidentielles… Que leur déroulement soit serein ou houleux, que leur issue soit prévisible ou surprenante, ces scrutins seront scrutés à la loupe.
Le Parti démocratique gabonais (PDG) a appelé le chef de l’État Ali Bongo Ondimba, son « candidat naturel », à briguer un troisième mandat lors de l’élection présidentielle d’août 2023, à l’issue d’un congrès qui s’est achevé le samedi 24 décembre.
Malgré six années passées en détention, l’ancien député du parti au pouvoir passé à l’opposition n’a pas abandonné ses ambitions politiques. Jeune Afrique l’a rencontré.
Le président américain a réuni le 14 décembre à la Maison-Blanche les dirigeants de six pays africains où se tiendront l’an prochain des élections présidentielles, que les États-Unis suivront de près.
Pas à pas, le directeur général d’Arise, dont les zones industrielles centrées sur la transformation locale ont le vent en poupe, a su bâtir un réseau multiforme.
Pierre-Alain Mounguengui a été invité par la Fifa à assister au Mondial. Sa présence, alors qu’il est accusé de ne pas avoir dénoncé un scandale de pédophilie, suscite de nombreuses réactions.
Le pays a fait de l’égalité des sexes une véritable cause nationale. Un Centre de protection pour les femmes victimes de violences, unique dans la sous-région, et un Observatoire national des droits de la femme ont été créés.
Le 18ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) se tiendra les 19 et 20 novembre en Tunisie. Une dizaine de présidents africains feront le déplacement.
Le 12 novembre, à Libreville, le président gabonais a été réinstallé Grand maître lors d’une assemblée où de nombreuses délégations maçonniques africaines, européennes et nord-américaines étaient présentes.
Réserves de voix des différents candidats, habitudes électorales et réflexes partisans… Voici ce qu’il faut savoir pour comprendre comment les Gabonais font leur choix dans l’isoloir.
Avec la présidentielle, puis les législatives et les locales, toutes prévues au second semestre de 2023, le pays entre clairement en pré-campagne. Jeune Afrique fait le point de la météo politique gabonaise avant l’échéance.
Relance économique, protection sociale, égalité des chances, préparation des échéances de 2023… Rose Christiane Ossouka Raponda, la Première ministre gabonaise, répond aux questions de Jeune Afrique.
Après avoir claqué la porte du Parti démocratique gabonais et soutenu la candidature de Jean Ping en 2016, le président du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM) sera probablement candidat à la magistrature suprême en 2023.
L’opposant, qui avait été arrêté en possession d’une forte somme d’argent en liquide, est poursuivi pour blanchiment de capitaux et intelligence avec une puissance étrangère.
Un an après la mise en œuvre du Plan d’accélération de la transformation, la croissance reste timide et largement dépendante de la production et des cours du brut. Toutefois, la dynamique et les changements structurels sont là. Et ils devraient s’accentuer en 2023. Décryptage.
Une vraie campagne électorale, programme contre programme, projet contre projet. Les électeurs gabonais devraient légitimement pouvoir s’attendre en 2023 à voir le président sortant défendre son bilan et proposer une vision d’avenir, et l’opposition sortir de son perpétuel « ABO bashing ».