Ancien Premier ministre sénégalais, Amadou Ba, né à Dakar en 1961, a gravi les échelons politiques sous l’aile du président Macky Sall. Sa trajectoire ascendante l’a mené du poste de directeur de cabinet du ministre d’État à celui de ministre de l’Économie, des Finances et du Plan en 2013. Acteur clé des réformes économiques, il a contribué à la stabilité financière et attiré les investissements étrangers. Il s’est également distingué sur le plan international, en renforçant les relations diplomatiques du Sénégal.
Candidat désigné par le président Sall pour la présidentielle de 2024, Amadou Ba a fini deuxième avec 35,79% des sondages, derrière Bassirou Diomaye Faye.
L’ancien Premier ministre, candidat malheureux à la dernière présidentielle, pourrait profiter des élections anticipées du 17 novembre pour sortir définitivement de l’ombre de l’ancien chef de l’État Macky Sall.
Le tandem Bassirou Diomaye Faye-Ousmane Sonko oscille entre changement radical et sens des réalités. Si nul ne sait quel sera son bilan en fin de mandat, une chose est sûre : au pays de Senghor, les électeurs ont toujours le dernier mot.
Le Conseil national de régulation de l’audiovisuel s’est prononcé contre ce face-à-face entre le Premier ministre et son prédécesseur. Peut-il encore changer d’avis ? Jeune Afrique dévoile les coulisses de ce qui était prévu.
Malgré son départ du pouvoir en avril 2024, l’ancien chef de l’État espère toujours peser sur la vie politique sénégalaise. Les législatives anticipées du 17 novembre prochain pourraient lui permettre de revenir sur le devant de la scène et de jouer les trouble-fêtes.
L’ancien candidat à la présidentielle au Sénégal a posé les bases de la création d’un nouveau parti ce 9 septembre à Dakar, lors d’une cérémonie aux airs de pré-campagne.
La rupture entre l’ancien chef d’État et celui qui fut son Premier ministre ébranle l’Alliance pour la république (APR), l’ex-parti au pouvoir, et l’unité revendiquée de l’ancienne famille présidentielle.
À l’occasion des cent jours de l’arrivée de Bassirou Diomaye Faye à la présidence du Sénégal, l’Alliance pour la République, l’ancien parti au pouvoir, fustige la gouvernance de la nouvelle administration.
Mis en difficulté par son propre camp, défait à la dernière élection présidentielle face à Bassirou Diomaye Faye, l’ancien Premier ministre tente de mobiliser ses soutiens. Et étudie ses options.
Au-delà de la victoire par K.-O., dès le premier tour, de Bassirou Diomaye Faye sur Amadou Ba, un constat majeur s’impose. Les partis politiques intermédiaires ressortent anéantis du scrutin du 24 mars.
Au Sénégal, à seulement 44 ans, le bras droit d’Ousmane Sonko vient de remporter la présidentielle du 24 mars, avec 54,28 % des suffrages. Retour sur le destin inédit de cet inspecteur des impôts devenu chef de l’État par hasard.
A-t-il été insuffisamment soutenu par le président sortant, Macky Sall ? Karim Wade aura-t-il été le fossoyeur de son destin présidentiel ? Selon les résultats provisoires annoncés le 27 mars, l’ancien Premier ministre a été défait dans les urnes dès le premier tour face à Bassirou Diomaye Faye. Retour sur une séquence inédite.
La Commission nationale de recensement des votes a dévoilé ce mercredi les résultats provisoires de la présidentielle du 24 mars. Le futur président a récolté 54,28 % des suffrages dès le premier tour.
La victoire de l’opposant, qui doit encore être confirmée officiellement, a été reconnue par l’ensemble des candidats à l’élection présidentielle. Il s’est exprimé lundi soir pour la première fois depuis le scrutin.
L’ancien Premier ministre a appelé le candidat de l’opposition qui, selon des résultats encore non officiels, a remporté la présidentielle du 24 mars dès le premier tour.
Une victoire au premier tour se dessine pour l’opposant, dont plusieurs candidats ont reconnu la victoire à l’issue de l’élection de ce dimanche 24 mars. Les résultats officiels sont toujours attendus. Son principal adversaire, Amadou Ba, se dit « certain » d’être au moins qualifié pour un deuxième tour.
Les bureaux de vote ont fermé à 18 heures sur l’ensemble du territoire ce 24 mars, clôturant une journée de vote qui s’est déroulée dans le calme. Les premières estimations indiquent que le duel se jouera entre Bassirou Diomaye Faye et Amadou Ba.
Mgr Benjamin Ndiaye, l’archevêque de Dakar, s’était prononcé contre le report de la présidentielle. Il se réjouit que l’élection se tienne enfin ce dimanche, après de multiples rebondissements.
Plus de sept millions d’électeurs sont attendus aux urnes pour choisir leur futur président. Les bureaux de vote ont ouvert à 8 heures dimanche 24 mars et aucun incident majeur n’est pour l’instant à signaler.
Les résultats des précédentes élections présidentielles apparaissent instructives en ce jour de vote. Au premier tour, plus le nombre de candidats est élevé et plus les écarts sont importants entre une minorité de têtes d’affiche et une majorité de candidats au score infinitésimal. Décryptage en infographies.
Reportée d’un mois dans des circonstances problématiques, l’élection présidentielle qui s’ouvre ce 24 mars semble devoir déboucher sur un second tour. Mais des voix s’élèvent déjà pour mettre en garde contre une possible fraude.
La région la plus à l’est du Sénégal a fait le choix de la majorité depuis 2019. Les réalisations de Macky Sall y laissent pourtant une impression en demi-teinte, et le choix électoral de Kédougou et de ses environs pourrait s’en trouver mitigé.
L’opposant était l’un des favoris de la présidentielle de ce dimanche. Il est désormais sur le point d’être officiellement déclaré vainqueur de la présidentielle. Il était pourtant méconnu des Sénégalais lorsqu’il a été placé en détention il y a près d’un an.
Il était donné hors-jeu de la course électorale. En dépit des attaques de ses détracteurs, l’ex-Premier ministre porte les couleurs de la majorité lors de la présidentielle, ce dimanche 24 mars. Retour sur la campagne mouvementée du candidat de Macky Sall.
Les deux vétérans de la politique sénégalaise joueront leur va-tout lors de la présidentielle du 24 mars, polarisée autour du duel entre Amadou Ba et Bassirou Diomaye Faye. L’un des deux saura-t-il déjouer les pronostics ?
Ni l’un ni l’autre ne briguent la magistrature suprême, mais l’élection présidentielle du 24 mars pourrait être l’occasion, pour le chef de l’État et son principal opposant, de solder leur rivalité politique dans les urnes via leurs candidats respectifs, Amadou Ba et Bassirou Diomaye Faye.
Amadou Ba, Bassirou Diomaye Faye, Khalifa Sall, Habib Sy… Les 19 prétendants à la magistrature suprême sont engagés dans une campagne aussi intense que courte. Sur le web, la concurrence se mesure en nombre de vues.
Le leader du Pastef et son bras droit, candidat à la présidentielle du 24 mars, se sont exprimés pour la première fois depuis leur sortie de prison. Ils entament dès samedi 16 mars leur tournée à travers le Sénégal.
Ils sont dix-neuf en lice pour la magistrature suprême et ils ont moins de dix jours pour convaincre les électeurs. Tour d’horizon des promesses économiques des principaux concurrents.
Plusieurs ex-membres du Parti démocratique sénégalais (PDS) ont annoncé mercredi la création d’un « cadre de concertation », mais celui-ci a été snobé par leur formation d’origine. Ils appellent leurs compagnons à s’unir au second tour de l’élection.
L’opposant sénégalais Ousmane Sonko et son second, Bassirou Diomaye Faye, candidat à la présidentielle, sont sortis de prison jeudi soir, dix jours avant le premier tour prévu le 24 mars, provoquant la liesse de milliers de Dakarois descendus spontanément dans les rues de la capitale.