Avec un investissement imminent de 25 millions d’euros, la filiale de la Banque mondiale dévolue au secteur privé soutient le promoteur marocain dans son projet phare à Abidjan.
Frappé par le tremblement de terre le plus puissant de son histoire récente, le royaume panse ses plaies, tout en préparant la reconstruction. Une opération d’envergure qui « prendra du temps et nécessitera des moyens colossaux ».
En difficulté au Maroc, le poids lourd de l’immobilier multiplie les projets à l’ouest du continent. Déjà présent à Abidjan, Dakar, Conakry et Accra, il vient de s’engager à construire 1 000 logements collectifs à Lomé.
Fragilisé par l’affaire EPC, le patron du géant marocain de l’immobilier Addoha, en difficulté financière, veut croire au rebond et défend ses positions africaines.
Le cimentier fondé par Anas Sefrioui sort le chéquier et booste ses capacités, alors que l’arrivée à Libreville du groupe Dangote est désormais imminente.
Le groupe immobilier marocain Douja Promotion groupe Addoha (Addoha) boucle une opération d’augmentation de capital dans la douleur. La famille Sefrioui, principal actionnaire, a dû mettre la main à la poche, ce alors que les investisseurs semblent demeurer réticents à cette valeur.
Ils sont beaux, riches et ont la vie devant eux… Les enfants des capitaines d’industrie du royaume ne font pas que mener grand train. Ils sont déjà actifs dans ces immenses conglomérats qui leur appartiendront un jour.
Malik Sefrioui a eu à peine le temps de finir ses études au Babson College, aux États-Unis, qu’il était nommé, en 2014, vice-président du groupe cimentier Ciments de l’Atlas-Ciments de l’Afrique, fondé en 2007 par son père, Anas, et qui totalise aujourd’hui une quinzaine d’unités au Maroc et sur l’ensemble du continent.
L’heure est à la distribution des dividendes pour les actionnaires des entreprises inscrites à la Bourse de Casablanca, qui se partagent cette année 22 milliards de dirhams. Classement.