Quelques jours après son lancement officiel, le Covid-Organics (CVO) du président Andry Rajoelina est distribué gratuitement dans les rues et les écoles malgaches. Malgré les interrogations que suscite ce « remède miracle ».
Le président malgache Andry Rajoelina a officiellement lancé le lundi 20 avril, à grandes gorgées, un remède à base de plantes médicinales locales capable, selon lui, de prévenir et de guérir les patients malades du nouveau coronavirus.
En déclarant que certaines plantes traditionnelles poussant sur la Grande Ile pourraient guérir le Covid-19, le président malgache a créé la surprise. A-t-il révélé trop vite une solution africaine, encore à l’étude, autour des vertus curatives de la pharmacopée traditionnelle ?
Alpha Condé, Félix Tshisekedi, Mohammed VI, Alassane Ouattara… Les chefs d’État africains se mettent en scène sur les réseaux sociaux afin d’alerter sur les dangers du Covid-19 et d’encourager la population à respecter les gestes barrières.
Avec un remaniement ministériel annoncé le 29 janvier par le président Andry Rajoelina, dix nouveaux ministres ont fait leur entrée dans le gouvernement du Premier ministre Christian Ntsay. Six ministres n’ont visiblement pas atteint leurs objectifs et sont remerciés.
Les sénateurs – majoritairement issus de l’opposition – visent l’annulation par la Cour constitutionnelle d’ordonnances considérées irrégulières prises par le président Andry Rajoelina. Plusieurs accords de prêts de financement conclus par le gouvernement sont menacés d’annulation.
La commission électorale malgache a publié les premiers résultats provisoires des élections municipales du 27 novembre. Sur l’ensemble des bureaux de vote de la capitale Antananarivo, le camp présidentiel l’emporterait de très peu face au candidat du TIM, le parti de Marc Ravalomanana.
Dans la course à la mairie d’Antananarivo, l’un, Naina Andriantsitohaina, défendra la plateforme IRD, d’Andry Rajoelina, et l’autre, Rina Randriamasinoro, portera les couleurs du parti TIM, de Marc Ravalomanana.
À la demande d’Emmanuel Macron et d’Andry Rajoelina, des pourparlers ont formellement débuté lundi en vue de régler le différend sur les Îles Éparses, dont Madagascar revendique la souveraineté. La réunion a simplement « acté l’existence d’un différend ».
Vladimir Poutine a-t-il tenté d’influencer la présidentielle à Madagascar ? Le New York Times l’affirme, documents et témoignages à l’appui. Il semble cependant que cette ingérence russe n’a pas eu l’impact escompté.
Modernisation de l’aéroport, fluidification du trafic routier, rénovation des palais… La capitale de Madagascar, Antananarivo, se réorganise et s’embellit pour prendre une nouvelle dimension.
Élu sans contestation possible au début de l’année, le nouveau chef de l’État malgache a maintenant cinq ans pour moderniser la Grande Île et lui permettre de révéler toutes ses potentialités.
La honte du regard de l’autre, l’extrême jalousie, l’obligation du consensus, la peur omniprésente et d’autres dominances culturelles entravent le développement socio-économique de Madagascar. La corruption, les inégalités et l’insécurité en sont les conséquences.
Alors que les adversaires du président malgache Andry Rajoelina se cherchent encore un statut au sein du Parlement, l’ancien chef de l’État, candidat déçu à la présidentielle de décembre 2018, souhaite désormais obtenir le statut officiel de chef de l’opposition. Interview.
Neuf mois après la rentrée ministérielle de janvier 2019, certains ministres sont déjà sur le gril et pourraient bien faire les frais du remaniement attendu au lendemain des résultats des municipales.
Malgré une croissance positive et de première réformes encourageantes, le pays n’est pas encore complètement engagé sur la voie de l’émergence, fixée à l’horizon 2023…
Maintenant qu’il a pris ses marques, Andry Rajoelina va pouvoir s’atteler à réformer le pays. Réussira-t-il à faire montre de pragmatisme dans la mise en œuvre de son programme ?
Le président français, qui affichait un temps sa volonté d’ouvrir le dialogue avec Madagascar sur le dossier des îles Éparses, semble avoir rétropédalé. Provoquant une vive réaction de son homologue malgache.
À la retraite depuis sa défaite sans appel au premier tour de l’élection présidentielle malgache, en 2013, l’ancien général de brigade – soutien d’Andry Rajoelina lors du dernier scrutin – a été nommé, le 18 septembre, ambassadeur de son pays à Maurice.
Depuis juin 2019 et la baisse des prix à la pompe décrétée par le gouvernement malgache – une promesse de campagne du président Rajoelina –, rien ne va plus entre l’État et les distributeurs de carburant.
Une délégation de Medef International est attendue à Antananarivo le 7 octobre. Elle sera conduite par Momar Nguer, président de son conseil France-Afrique de l’Est et océan Indien.
Un texte de loi relatif au statut légal du chef de file de l’opposition est en discussion à l’Assemblée nationale malgache depuis lundi. Si celui-ci est voté en l’état, il pourrait mettre un coup de frein à la carrière politique de l’ex-président Marc Ravalomanana qui souhaite occuper la fonction de chef de file de l’opposition.
22 ministres composent le gouvernement de Christian Ntsay, reconduit le 19 juillet au poste de Premier ministre par le président Andry Rajoelina. Sans surprise, son équipe ne change pas de la précédente. Seule la chercheuse Blanche Nirina Richard y fait son entrée, au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
Christine Razanamahasoa, ex-ministre de la Justice et fidèle du président Andy Rajoelina, a été élue mercredi à l’unanimité à la tête de l’Assemblée nationale. Elle avait déjà été présidente de la Chambre durant près de quatre mois en 2014.
La cour d’appel de Paris a levé les saisies sur quatre biens immobiliers détenus en France par Maminiaina Ravatomanga, dit « Mamy », même si la procédure judiciaire se poursuit. Les trois appartements et la maison appartenant à cet homme d’affaires proche d’Andry Rajoelina avaient été saisis dans le cadre d’une enquête pour « trafic de bois de rose, corruption et fraude fiscale ».