Le dépouillement a commencé à Madagascar après une journée de vote qui s’est déroulée dans le calme. Le résultat s’annonce serré entre les deux candidats en lice, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina.
Madagascar a commencé mercredi 19 décembre à voter pour le second tour d’une élection présidentielle au fort goût de règlement de comptes personnel entre deux de ses anciens chefs de l’Etat, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina, déterminés à retrouver le pouvoir.
C’est le sprint final pour la présidentielle malgache. Le second tour oppose Marc Ravalomanana à Andry Rajoelina. Les deux hommes n’ont eu de cesse que de s’invectiver, au risque d’oublier les attentes de leur électorat respectif.
À la veille du second tour de la présidentielle à Madagascar, Andry Rajoelina, qui affrontera Marc Ravalomanana, se défend de tout populisme et assure que son « Initiative pour l’émergence de Madagascar » comporte des mesures à la fois ambitieuses et réalistes.
Les deux finalistes de l’élection présidentielle malgache, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina, se sont livrés dimanche soir à un premier débat télévisé musclé qui a laissé éclater leur lourd passif personnel, à moins de deux semaines du second tour du scrutin.
Éliminé de la course à la présidentielle malgache, Hery Rajaonarimampianina, le président sortant, a annoncé vendredi 30 novembre qu’il ne soutiendrait personne pour le second tour. Quid, désormais, de l’avenir politique du HVM, son parti ?
Un second tour devra départager le mois prochain les deux anciens présidents malgaches Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana, arrivés en tête du premier tour de la présidentielle, selon les résultats définitifs proclamés mercredi par la Haute Cour constitutionnelle (HCC).
Pour proclamer les résultats définitifs du premier tour de la présidentielle malgache, la Haute Cour constitutionnelle doit trancher entre les attentes contradictoires des candidats. Si aucun recours ne peut être déposé contre elle, certaines de ses décisions restent controversées depuis le début de l’année.
Un des deux finalistes de la présidentielle à Madagascar, Marc Ravalomanana, a fait volte-face mercredi, en annonçant, dans un souci d’« apaisement », le retrait des requêtes qu’il avait déposé devant la Haute Cour constitutiuonnelle.
L’ancien chef de l’Etat malgache Andry Rajoelina, arrivé en tête du premier tour de la présidentielle du 7 novembre, a dénoncé lundi des « manipulations » des résultats officiels, appelant la justice de ce pays coutumier des crises politiques à trancher.
Dix ans après leur duel hors des urnes, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina se retrouveront de nouveau face à face, cette fois-ci pour le second tour de l’élection présidentielle malgache. Après l’annonce des résultats de la première manche, samedi 17 novembre par la Ceni, retour sur les principaux enseignements du scrutin.
Près d’une semaine après le premier tour de l’élection présidentielle du mercredi 7 novembre, les équipes des trois candidats favoris s’opposent aux résultats encore partiels. Si personne n’a fait mention d’une future descente dans la rue, la tension monte.
Deux des candidats favoris à l’élection présidentielle, Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana, sont donnés au coude-à-coude par les premiers résultats très provisoires publiés par la Commission électorale. L’ambiance était déjà à la fête dans leur QG dès la fin des votes.
Les Malgaches, qui se sont déplacés dans les bureaux de vote, disent leurs espoirs que l’issue de cette élection présidentielle les éloignera définitivement des crises politiques. Si le scrutin s’est déroulé globalement dans le calme, quelques incidents ont ponctué la journée.
Dans les rues d’Antananarivo, entre les anciens présidents Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina, deux des principaux candidats au premier tour de l’élection présidentielle à Madagascar, classe populaire et classe aisée défendent leur favori. Reportage.
Les Malgaches ont commencé à voter le 7 novembre, pour le premier tour de la présidentielle, où trois anciens chefs de l’État font figure de favoris dans ce pays à l’histoire politique mouvementée.
Le 7 novembre, cinq ans après la dernière élection, à laquelle ils n’avaient pu participer, les anciens présidents Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina en découdront dans les urnes. Pour pimenter le tout, Hery Rajaonarimampianina et Didier Ignace Ratsiraka seront aussi de la partie.
Les trois favoris à la présidentielle malgache ont tenu meeting pour le dernier week-end de la campagne. L’occasion pour eux de vanter leurs mesures phares.
Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina, deux des principaux candidats au premier tour de l’élection présidentielle à Madagascar ont réuni samedi 3 novembre des dizaines de milliers de partisans chacun dans la capitale Antananarivo à quatre jours du scrutin prévu le 7 novembre.
Interdit par les autorités malgaches, le sondage polémique sur les intentions de vote à la présidentielle du 7 novembre, auquel JA a eu accès, donne l’ex-président Andry Rajoelina en tête. 47 % des personnes interrogées ne se sont néanmoins pas prononcées.
Dans son ouvrage « Par amour de la patrie », publié mi-septembre aux éditions Michel Lafon, l’ex-président de la Transition (2009-2014) et actuel leader de l’opposition malgache livre sa version de l’histoire récente de la Grande Île.
Et de trois ! Après Jean Ravelonarivo le 4 août, puis Jean Omer Beriziki douze jours plus tard, c’est Olivier Mahafaly Solonandrasana qui, le 21 août, a confirmé sa candidature à la présidentielle de cette fin d’année.
La réapparition sur les réseaux sociaux d’une étude affirmant que les campagnes électorales à Madagascar figurent parmi les plus chères de la planète relance le débat sur le financement des partis politiques, à quelques semaines des élections générales.
La Haute Cour constitutionnelle malgache a publié la liste des candidats au premier tour de l’élection présidentielle du 7 novembre 2018. Sur les 46 candidats, 36 ont été retenus. Parmi eux, les trois derniers chefs de l’État, dont le président sortant.
46 candidatures, dont celles des trois derniers chefs de l’État de la Grande Île, ont été déposées pour la présidentielle malgache qui se déroulera les 7 novembre et 19 décembre prochains. Des candidatures qui seront dans les prochains jours examinées par la Haute cour constitutionnelle malgache (HCC).
L’ancien président de la Transition, Andry Rajoelina, candidat à la présidentielle prévue fin 2018, présente ses objectifs pour Madagascar et affirme être « prêt ».
Le leader du Mapar, Andry Rajoelina, s’est déclaré mercredi candidat à l’élection présidentielle organisée à la fin de l’année à Madagascar. Il entend notamment abolir le Sénat s’il est élu.
Christian Ntsay a été nommé Premier ministre lundi 4 juin, à la surprise générale et au terme de longues négociations. Il devrait nommer un gouvernement de « techniciens » à même de sortir de la crise et de conduire le pays jusqu’à l’élection présidentielle.
La bataille pour le choix du futur Premier ministre de « consensus », censé mettre fin à la crise politique qui secoue Madagascar depuis fin avril, s’est engagée samedi, avec le refus du président malgache Hery Rajaonarimampianina d’accepter les candidats présentés par l’opposition.
L’ancien président de la transition Andry Rajoelina a lancé le 24 mai, à Antananarivo, son Initiative pour l’émergence de Madagascar. À quelques mois de l’élection présidentielle programmée fin 2018, la crise politique reste toujours aussi tendue dans le pays.