Le futur ex-président des États-Unis, Barack Obama, a affirmé ce mercredi que l’Amérique toute entière souhaitait le succès de Donald Trump, élu pour lui succéder à la Maison Blanche. Il s’est déclaré rassuré par les propos tenus par celui-ci après proclamation de sa victoire.
Essor des relations économiques, défense des principes démocratiques : pour la responsable des Affaires africaines au département d’État américain, Obama a rempli son contrat.
À moins d’une semaine de l’élection présidentielle américaine, un sondage donnant vainqueur Donald Trump inquiète ce mercredi les marchés. De son côté, Barack Obama redouble d’efforts pour soutenir Hillary Clinton.
«Une grande nation ne se cache pas la vérité. » Le 24 septembre, devant vingt mille personnes réunies sur le National Mall de Washington, Barack Obama a inauguré le Musée national de l’histoire et de la culture africaines-américaines.
Alors que le candidat républicain à la présidence Donald Trump a récemment été accusé d’agressions sexuelles par le New York Times, la Première dame américaine Michelle Obama s’est dite « glacée jusqu’à la moelle » par l’attitude « effrayante » du milliardaire.
Au vu des tensions avec l’administration Obama, l’aide militaire record obtenue par Netanyahou semble relever de l’exploit. Mais certaines clauses de l’accord en relativisent l’ampleur.
Le Musée national de l’histoire et de la culture africaine-américaine, qui vient d’ouvrir ses portes à Washington, a été conçu par le Britannico-Ghanéen David Adjaye. Un talent très demandé…
Barack Obama a inauguré samedi le musée de l’histoire afro-américaine à Washington, symbole de la place centrale des Noirs aux Etats-Unis, dans l’espoir qu’il servira de trait d’union dans un contexte racial tendu.
Il était prévu une rencontre bilatérale, ce mardi, entre les dirigeants philippin et américain en marge du sommet de l’Association des nations d’Asie du Sud-Est (Asean), à Vientiane (Laos). Celle-ci n’aura finalement pas lieu, a annoncé Ned Price, porte-parole du Conseil de la sécurité nationale, Barack Obama n’ayant semble-t-il pas digéré les injures de Rodrigo Duterte, inhabituelles en langage diplomatique.
Lors de l’élection de leur père à la présidence, elles étaient des gamines. Études, jobs d’été, premiers émois… Aujourd’hui, Malia et Sasha Obama sont des ados (presque) comme les autres.
Ce biopic sur le couple présidentiel américain, sorti mercredi en France, retrace l’histoire d’amour entre Barack et Michelle Obama. Un film en forme d’hommage au président américain, cinq mois avant la fin de son dernier mandat.
Le magazine américain « Wired », spécialisé dans les technologies et le numérique, a annoncé ce mardi 30 août que Barack Obama deviendra en novembre, pour un numéro seulement, le rédacteur en chef du journal.
Alors que Donald Trump est empêtré dans une polémique avec la famille d’un vétéran américain musulman, Barack Obama n’a pas mâché ses mots à propos du candidat républicain à sa succession, déclarant que ce dernier était “terriblement mal préparé pour devenir président des États-Unis”.
Le chef du gouvernement libyen d’union nationale (GNA), Fayez al-Sarraj, a annoncé que les États-Unis avaient, à sa demande, mené des frappes aériennes contre des positions du groupe État islamique (EI) dans son fief de Syrte.
L’organisation POMED (Project on Middle East Democracy) a envoyé mercredi 27 juillet une lettre ouverte à la Maison Blanche invitant le président américain Barack Obama à effectuer une visite officielle en Tunisie avant la fin de son mandat. Parmi les signataires, d’anciens membres du Congrès et ambassadeurs, quelques ex-responsables gouvernementaux et des directeurs d’ONG.
En pleine campagne présidentielle, le demi-frère du président des États-Unis a décidé d’exprimer dimanche dernier sa colère et sa tristesse dans les colonnes du « New York Post ». Et affirme qu’il votera pour le républicain Donald Trump, le 8 novembre prochain.
Décédée trois ans avant la primaire démocrate de 2008 qui vit s’affronter Barack Obama et Hillary Clinton, Shirley Chisholm avait déjà commencé à faire bouger les lignes en 1972. Portrait d’une femme qui avait du cran.
Une centaine d’Africains-Américains abattus par la police en l’espace de six mois, la fusillade de Dallas le 7 juillet… Les tensions raciales se sont accentuées sous les deux mandats du premier président noir de l’histoire du pays. A-t‑il fait l’impasse sur ces questions ?
INTERVIEW – Les tensions générées par la mort de deux Africains-Américains à la suite de bavures policières viennent rappeler que le racisme constitue un problème structurel que l’élection de Barack Obama est très loin d’avoir résolu, estime la politologue franco-américaine Nicole Bacharan.
Dans un message de vœux de Barack Obama adressé mardi au président Joseph Kabila à l’occasion du 56e anniversaire d’indépendance de la RDC et dont Jeune Afrique a pu consulter une copie, le président américain affirme soutenir « le premier passage pacifique et démocratique imminent du pouvoir » en RDC.
Après le Liberia et le Maroc fin juin, la première dame des États-Unis terminera son périple en Espagne, où elle prononcera un discours sur le thème « Let Girls Learn » (« Laissons les filles apprendre ») avant de s’entretenir avec la reine Letizia, a annoncé la Maison Blanche mercredi.
Le candidat républicain à la présidence américaine, Donald Trump, a déclaré, lors d’une interview à la chaîne CBS dimanche, avoir « gagné beaucoup d’argent avec Kadhafi ».
J’ai beau avoir, avec l’ancien ministre français des Affaires étrangères (et ex-secrétaire général de l’Élysée) Hubert Védrine, un profond désaccord sur le rôle joué par la France avant, pendant et après le génocide rwandais de 1994, force m’est de reconnaître chez lui de la perspicacité, de la lucidité et une aptitude assez rare à aborder les affaires de la planète.
Pour la première fois, une femme noire va figurer sur un billet américain, a décidé mercredi le Trésor. Au terme d’un long suspense, l’abolitionniste et ancienne esclave Harriet Tubman a en effet été choisie pour incarner le billet de 20 dollars.
Déjà annoncée comme délicate, la visite de Barack Obama cette semaine à Ryad sera rendue encore plus épineuse par un projet de loi américain qui permettrait aux familles des victimes du 11-Septembre de poursuivre le gouvernement saoudien pour obtenir des dédommagements. Un ministre saoudien a déjà menacé les États-Unis de mesures de rétorsion si le texte était adopté.
Le président américain a reconnu dimanche sur une chaîne de télévision américaine que le manque d’appréciation sur les conséquences de l’intervention en Libye était probablement sa « pire erreur ».
De plus en plus coupé du monde, Fidel Castro n’a pas rencontré Barack Obama lors de sa récente visite. Et Raúl, son frère, qui souffre d’un cancer de la prostate, a annoncé qu’il se retirerait en 2018.