Idole des ultraconservateurs, l’Africain-Américain Ben Carson brigue l’investiture républicaine pour la présidentielle de 2016. Mais ses mensonges à répétition ne contribuent pas à sa crédibilité.
En apparence, ce fut le sketch habituel. Le 27 octobre, comme chaque année depuis 1992, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution « non contraignante » demandant aux États-Unis de mettre un terme à l’embargo économique et financier qu’ils imposent à Cuba depuis 1962.
Le président américain envoie trois cents hommes et des drones à Garoua, dans le nord du pays. Objectif : aider les armées de la région à éradiquer Boko Haram.
Mercredi 14 octobre, Barack Obama annonçait au Congrès des États-Unis l’envoi de 300 militaires américains au Cameroun, afin de lutter contre Boko Haram. Un déploiement qui vient renforcer le maillage de l’armée américaine, déjà très présente sur le continent.
Tandis que les leaders mondiaux sont réunis cette semaine pour l’assemblée générale des Nations unies, une crise ne suscitant guère l’attention internationale pourrait bien offrir une grande leçon de politique étrangère.
Sans surprise, les États-Unis ont pris position au sujet du référendum constitutionnel à venir au Congo-Brazzaville, le 25 octobre. Le département d’État s’est déclaré mardi inquiet de la décision pris par Denis Sassou Nguesso.
Chaque année, en septembre, se tient à New York l’Assemblée générale de l’ONU, qui rassemble les représentants de 193 pays. C’est souvent très ennuyeux ? Oui, mais les petites histoires du Palais de verre sont les meilleures.
Le président nigérian Muhammadu Buhari se rendra lundi à Paris pour resserrer ses liens avec la France, notamment en matière de sécurité, alors qu’Abuja et les pays voisins luttent contre le groupe islamiste Boko Haram, a annoncé dimanche la présidence.
La chaîne NBC a diffusé un extrait de l’émission de téléréalité, « Running Wild », à laquelle le président américain Barack Obama a participé. On le voit manger les restes d’un saumon abandonné par un ours.
Le futur ex-président américain ne comptera pas, pour sa retraite, sur un héritage kényan dont une partie de sa famille paternelle entend le priver, pour défaut de solidarité. Ali Bongo Ondimba, lui, a décidé de se déshériter lui-même…
La manifestation en hommage à Michael Brown, un jeune homme noir désarmé abattu par un policier blanc il y a un an à Ferguson, avait commencé dans le calme avant que des affrontements n’éclatent.
Barack Obama avait promis, sans doute un peu vite, l’avènement d’une société postraciale aux États-Unis. Pap Ndiaye, spécialiste de l’histoire sociale des États-Unis, dresse le bilan du président américain dans le domaine des injustices et des violences subies par les Africains-Américains.
Barack Obama a donné le coup d’envoi lundi du second sommet des jeunes leaders africains à Washington, en promettant la poursuite de cette initiative même après son départ de la Maison Blanche en 2017. Il s’est adressé aux 500 jeunes Africains, déjà conquis par le premier président noir des États-Unis.
Après un voyage historique de quatre jours au Kenya et en Éthiopie fin juillet, le président américain Barack Obama va clore cette page africaine aux États-Unis, avec la tenue d’un sommet réunissant des jeunes leaders du continent du 3 au 5 août à Washington.
Mieux vaut parfois s’abstenir de réagir… Le discours prononcé par Barack Obama au siège de l’Union africaine (UA), à Addis-Abeba, a fait couler beaucoup d’encre.
Le Premier ministre du Bénin, Lionel Zinsou, salue le discours historique de Barack Obama dans lequel il invitait les « dirigeants africains à ne pas s’accrocher au pouvoir ». Pour l’économiste, le bilan du premier président noir des États-Unis est « impressionnant ».
Le discours du président américain Barack Obama sur les « dirigeants africains qui s’accrochent au pouvoir » a fait réagir le porte-parole du gouvernement de la RD Congo, Lambert Mende qui le qualifie de « donneur de leçons ».
Barack Obama a donné mardi le premier discours d’un président américain au siège de l’Union africaine, au terme d’un voyage de deux jours en Éthiopie. À cette occasion, il a réitéré les messages clés de ses allocutions au Kenya et en Éthiopie, en invitant les présidents africains à ne pas s’accrocher au pouvoir.
Barack Obama a été le premier président américain à prononcer, ce mardi, un discours depuis le siège de l’Union africaine (UA) à Addis Abeba, la capitale éthiopienne.
Barack Obama est arrivé lundi au palais présidentiel d’Addis-Abeba pour s’entretenir avec le premier ministre éthiopien Hailemariam Desalegn. Le président américain a promis de maintenir « la pression » sur les Shebab, au lendemain d’un attentat sanglant devant un hôtel de Mogadiscio, en Somalie.
Barack Obama a quitté Nairobi dimanche en direction d’Addis-Abeba, après deux journées historiques dans le pays natal de son père. Retour sur les moments forts de sa visite au Kenya.
Le Kenya est « à la croisée des chemins », a estimé dimanche à Nairobi le président américain Barack Obama, dans un discours chargé d’émotion où il a appelé le pays à tourner la page du tribalisme et de la corruption.
Chantre de la démocratisation en Afrique subsaharienne, Barack Obama se rend ce dimanche en Éthiopie. Un allié clé de Washington, où le parti au pouvoir règne sans partage.
L’assistant adjoint principal du secrétaire d’État américain, John Kerry, explique les choix des pays visités par Barack Obama pendant sa tournée africaine, du 24 au 27 juillet.
Le Kenya est plongé dans une véritable frénésie alors que « l’enfant du pays » s’apprête à rendre sa première visite en tant que président des Etats-Unis.
Le Kenya demande à la chaîne de télévision américaine CNN de s’excuser pour avoir diffusé à plusieurs reprises ce titre dans ses bulletins d’informations, à la veille de la première visite officielle du président Barack Obama.
Si la visite de Barack Obama au Kenya est une première en tant que président des États-Unis, ce dernier s’était déjà rendu sur la terre de ses ancêtres en 1987 puis en 1992 et en 2006.