Bassirou Diomaye Faye, du Pastef, parti d’Ousmane Sonko, est le cinquième président du Sénégal. L’ancien opposant a succédé à Macky Sall après avoir remporté la présidentielle dès le premier tour, lors du scrutin du 24 mars 2024. Amadou Ba, ex-Premier ministre et dauphin désigné par Macky Sall, a reconnu la victoire de l’opposant, le 25 mars.
Bassirou Diomaye Faye, qui a été libéré de prison dix jours avant le scrutin, se présentait pendant la campagne de « candidat du changement de système » et de partisan d’un « panafricanisme de gauche ».
Pour faire enregistrer la candidature de l’opposant à la présidentielle de 2024, son équipe de campagne a dû user de subterfuges face aux obstacles posés par l’administration.
La justice sénégalaise avait ordonné à la mi-décembre la réintégration de l’opposant à Macky Sall sur les listes électorales pour la présidentielle. Ce qu’a jusqu’ici refusé l’administration chargée des élections.
L’opposant, incarcéré depuis juillet 2023, a-t-il bénéficié d’un financement occulte du Qatar en vue de la présidentielle ? Jamais étayée, la rumeur vient de resurgir.
Le tribunal de Dakar doit décider ce 12 décembre de la réintégration ou non de l’opposant sénégalais dans les listes électorales. Un jugement qui conditionnera la candidature d’Ousmane Sonko à la présidentielle de février 2024.
La coalition au pouvoir a annoncé le 27 novembre 2023 avoir obtenu l’onction de 3 782 052 parrains, soit plus de la moitié des électeurs du Sénégal. Un chiffre « plausible » ou « inventé de toutes pièces » ?
La Caisse des dépôts et consignations dit avoir retourné le chèque déposé au nom de l’opposant parce qu’il n’aurait pas reçu ses fiches de parrainages.
Issus de l’ex-Pastef, les candidats à la présidentielle Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye sont incarcérés. Voici ce qu’il pourrait se passer si l’un d’eux était élu depuis sa cellule.
Ce membre du Pastef est le seul des candidats potentiels du parti à être emprisonné. C’est pourtant lui qui a été choisi pour représenter la formation à la présidentielle de février 2024.
De retour en prison après un passage par l’hôpital le mois dernier, l’opposant veut obtenir ses parrainages pour être candidat à la présidentielle de février 2024.
Radiation des listes électorales, dissolution du Pastef… La Cour communautaire a débouté l’opposant sénégalais, candidat à la présidentielle de février 2024.
Le transfèrement d’Ousmane Sonko d’un hôpital vers une prison de la capitale sénégalaise, qui provoque la colère de ses partisans, est justifié selon l’administration pénitentiaire.
Toujours hospitalisé, l’opposant sénégalais a lancé une contre-offensive judiciaire pour contester sa radiation des listes électorales. Son transfert en prison dépendra de son état de santé.
Les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité viennent de présenter cinq noms en vue de la présidentielle, tout en saisissant la justice pour permettre à Ousmane Sonko d’y participer.
La principale coalition de l’opposition sénégalaise finira-t-elle par imploser ? La mise à l’écart de Khalifa Sall lors d’une rencontre avec le khalife général des mourides peut le laisser craindre.
Le Pastef d’Ousmane Sonko refuse d’envisager un candidat alternatif pour la présidentielle de 2024, alors que l’opposant peut être arrêté à tout moment. Et ce en dépit de la décision de Macky Sall de ne pas se présenter.
Le parti de l’opposant, susceptible d’être bientôt jugé dans le cadre d’une plainte pour viols, a déjà débuté sa campagne présidentielle. Ses équipes sont sur le terrain afin de tenter de conquérir les jeunes. Explications.
La révision du fichier électoral qui vient de s’achever montre le faible engouement des nouveaux majeurs pour les élections, notamment locales. Leur vote fait pourtant l’objet de toutes les convoitises.
Les principaux partis d’opposition, en ordre dispersé depuis la dernière présidentielle, semblent se rapprocher depuis qu’a éclaté l’affaire Sonko. Alliance de circonstance ou prémices d’une future coalition ?
Fidèles de la première heure, politique influent, avocats… Soupçonné de viol, le principal opposant à Macky Sall, qui vient de perdre son immunité parlementaire à l’Assemblée nationale, peut compter sur d’importants soutiens dans cette bataille judiciaire.