Dans un contexte de reconfiguration mondiale du secteur, la quatrième édition de l’Africa Financial Summit se penchera sur les stratégies à adopter pour faire de l’industrie financière du continent un moteur de développement, de croissance et de résilience économique.
Le statut particulier de l’institution financière serait sur la sellette. C’est pourtant cette spécificité qui lui permet d’afficher des bénéfices records. Explications.
L’éminent statisticien nigérian rejoint la Banque africaine d’import-export en tant qu’économiste en chef. Fin connaisseur du secteur privé, il a le profil idéal pour affiner le financement du développement sur le continent, notamment au moyen de données réactualisées.
Dans un contexte international tendu, et grâce aux ressources propres à l’Afrique, la Zone de libre-échange continentale africaine promet de transformer le commerce intra-africain. Trente mois après son lancement officiel, quel premier constat peut-on dresser, et avec quelles pistes d’amélioration ?
Pas à pas, le directeur général d’Arise, dont les zones industrielles centrées sur la transformation locale ont le vent en poupe, a su bâtir un réseau multiforme.
Nommée femme de l’année lors de l’Africa Financial Industry Summit, la nouvelle vice-présidente de la banque d’import-export africaine a contribué à faire de son groupe l’un des acteurs majeurs du projet de zone de libre-échange continentale.
Afreximbank, avec l’Union africaine et la Zlecaf comme partenaires, veut réduire de 5 milliards de dollars par an le coût des transactions panafricaines. Un projet aussi révolutionnaire que délicat.
La filiale d’Afreximbank a déjà bouclé un premier tour de table de 670 millions de dollars, destinés à nourrir quatre fonds spécialisés, qui interviendront auprès de projets soutenant le développement du commerce intra-africain et des exportations.
À la première édition du Forum Afrique-Caraïbes sur le commerce et l’investissement, l’institution bancaire panafricaine anticipe jusqu’à 700 millions de dollars de financements pour dynamiser le développement des échanges avec la diaspora.
Le Nigérian a fait de l’institution financière qu’il dirige le bras financier du projet d’intégration du marché continental. Voici les personnalités sur lesquelles il s’appuie pour mener à bien sa mission.
Promoteur du commerce intra-africain, le président de la Banque africaine d’import-export (Afreximbank) lance un ambitieux programme d’appui aux États et aux entreprises du continent, afin qu’ils puissent faire face à l’explosion des coûts liés à la guerre en Ukraine.
En concluant un accord de 1 milliard de dollars avec une compagnie pétrolière nigériane, la banque dirigée par Benedict Oramah maintient ses financements aux énergies fossiles. Et assume.
Sous la houlette de Benedict Oramah, réélu à sa tête en juin, la banque panafricaine a su développer de nouveaux instruments pour s’adapter à la nouvelle donne.
Le président de la Banque africaine d’import-export consacre 3 milliards de dollars à la réponse au Covid-19. Et entre financement du commerce et appui aux banques, il vise au moins deux fois ce volume en liquidités apportées aux économies en difficulté.
La banque africaine d’import-export s’est engagée à développer et opérer un projet de parc industriel de 113 hectares au Nord d’Abidjan, dont les travaux d’aménagement doivent débuter courant 2020.
Nouveau patron d’Afreximbank, le Nigérian entend muscler les échanges sur le continent et développer les exportations. Portrait d’un homme décidé à faire bouger les lignes.
Le banquier nigérian a pris ses fonctions de président de la Banque africaine d’import-export (Afreximbank) le 21 septembre au Caire, ville où se trouve le siège de l’établissement bancaire. Il succède à l’Ivoirien Jean-Louis Ekra en poste depuis dix ans.
Les actionnaires de la Banque africaine d’import-export (Afreximbank) ont choisi le Nigérian Benedict Oramah, qui faisait figure de favori, pour succéder à l’Ivoirien Jean-Louis Ekra à la présidence de l’institution panafricaine.