Un peu plus d’un an après le début de la guerre à Gaza, le bureau de liaison israélien à Rabat a un nouveau chef. Il s’agit de Yossi Ben David, membre du Likoud et proche de Benyamin Netanyahou.
Plus de 800 millions de dollars d’aide humanitaire et 200 millions pour l’armée : c’est la somme collectée lors d’une conférence internationale de soutien au Liban, le 24 octobre dernier. Un résultat appréciable mais qui ne saurait faire oublier l’échec des grandes puissances à faire cesser les bombardements au Liban et à Gaza, selon Skander Ounaies.
Dans la trop longue histoire du différend israélo-palestinien, le 7 octobre 2023 a ouvert un cycle d’une violence meurtrière inégalée. Pour Dominique Sopo, président de SOS racisme, les peurs et les fureurs dans les deux camps font croire, à tort, qu’il n’y a le choix qu’entre des impasses ou des gouffres.
Une nouvelle mobilisation en solidarité avec les victimes des actes de guerre israéliens a été organisée ce dimanche 6 octobre dans la capitale du Maroc. La fin de la normalisation des relations entre le royaume et Israël demeure en tête des revendications, tandis que les manifestants continuent d’exprimer leur soutien au Hamas et au Hezbollah.
Lors du Conseil de la Choura, l’assemblée saoudienne chargée de conseiller le gouvernement, le prince héritier Mohamed ben Salman a fustigé « les crimes des forces d’occupation israéliennes contre le peuple palestinien ».
Environ 30 000 migrants originaires de la Corne de l’Afrique ont trouvé refuge en Israël au cours de la dernière décennie. Le gouvernement compte puiser dans ce vivier pour booster l’effort de guerre à Gaza.
Le 28 mai, l’Espagne, l’Irlande et la Norvège ont reconnu la Palestine comme un État. Le président Mahmoud Abbas est donc pour la première fois officiellement en visite à Madrid tandis qu’à Gaza, le chef du Hamas a affirmé que son mouvement est prêt à affronter durablement les forces israéliennes.
Tandis que les opérations de l’armée israélienne se poursuivent en Cisjordanie, une délégation du Hamas s’est rendue à Doha. Mais les positions des deux protagonistes se durcissent au fil du temps.
Les États-Unis ont exhorté Israël et le Hamas palestinien à finaliser un accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza, après que les deux parties se sont mutuellement accusées de faire échouer les pourparlers. Mais selon Benyamin Netanyahou, « aucun accord n’est en cours de négociation ».
Alors que la situation sanitaire ne cesse de se dégrader dans la bande de Gaza et que l’armée israélienne poursuit son opération en Cisjordanie, chaque partie attribue à l’autre la responsabilité de l’impasse dans les discussions en vue d’un éventuel cessez-le-feu.
Les négociations continuent ce vendredi 16 août, à Doha, en vue de parvenir à une trêve dans la bande de Gaza, au moment où une attaque sanglante perpétrée par des colons juifs en Cisjordanie a soulevé la réprobation générale, y compris celle des dirigeants israéliens.
L’ACTU VUE PAR – Le géopolitologue analyse les éventuelles conséquences de la série d’assassinats ciblés de leaders du Hamas et du Hezbollah par Israël, évoquant une désolidarisation croissante des alliés de Tel Aviv et le spectre d’une guerre régionale élargie.
Les manœuvres diplomatiques se sont intensifiées, lundi 5 août, pour tenter d’éviter une escalade militaire au Moyen-Orient, alors que de nombreux pays appellent leurs ressortissants à quitter le Liban.
Appels à quitter le Liban, renforcement du dispositif militaire américain dans la région, suspension de liaisons aériennes… Les inquiétudes face à une escalade militaire au Moyen-Orient s’amplifient après la multiplication des menaces de l’Iran et de ses alliés contre Israël.
Tandis que le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, assassiné mercredi en Iran, doit être enterré ce vendredi au Qatar, où il vivait en exil, l’Iran et ses alliés préparent leur riposte.
En visite aux États-Unis, le Premier ministre israélien s’est entretenu avec le président Joe Biden et avec les deux candidats à la présidentielle de novembre, Kamala Harris et Donald Trump. Le 25 juillet, une manifestation pour la paix réunissant Israéliens et Palestiniens a été organisée à Tel Aviv.
Les rebelles yéménites ont menacé Tel-Aviv, le 21 juillet, d’une « réponse énorme » à ses frappes meurtrières contre le port de Hodeida, toujours en flammes, dans une nouvelle escalade régionale liée à la guerre à Gaza.
Deux hauts responsables du Hamas ont annoncé dimanche l’arrêt des négociations sur un cessez-le-feu à Gaza, au lendemain d’une frappe israélienne ayant ciblé son chef militaire.
De nombreuses frappes aériennes israéliennes ont visé la ville de Gaza, dans le nord du territoire palestinien, ainsi que Rafah et Khan Younès, dans le sud. Plus de quarante Palestiniens ont été tués au cours des 24 dernières heures.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, se projette dans le nord, après son offensive terrestre menée dans la ville du sud de la bande de Gaza contre le Hamas.
L’armée israélienne a annoncé ce samedi la libération de quatre otages lors d’une « opération spéciale » dans le centre de la bande de Gaza. Le Hamas a annoncé un bilan d’au moins 210 morts et plus de 400 blessés dans ces attaques.
Le Premier ministre israélien a affirmé qu’Israël était « prêt pour une opération très intense » à sa frontière nord, où les échanges de tirs entre l’armée et le mouvement libanais Hezbollah sont quotidiens.
Après une visite au Qatar, le chef de la CIA et un conseiller spécial de la Maison Blanche sont attendus, mercredi 5 juin, en Égypte pour tenter de rallier des soutiens à la dernière proposition de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, dans la bande de Gaza.
Israël poursuit son offensive terrestre sur la ville du sud de la bande de Gaza, alors que Benyamin Netanyahou a écarté tout espoir de cessez-le-feu permanent.
Des frappes aériennes et des tirs d’artillerie intenses ont visé samedi la ville de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, au lendemain de la présentation par le président américain Joe Biden d’une feuille de route israélienne en vue d’un cessez-le-feu avec le Hamas.
Le Premier ministre israélien a qualifié de « calomnies antisémites » le fait qu’Israël soit accusé de cibler des civils ou de les affamer dans la bande de Gaza. Quant à l’offensive lancée contre la zone tampon entre le territoire palestinien et l’Égypte, elle se poursuit ce 31 mai.