Le 26 août, après cinquante jours de guerre, Israël et le Hamas sont parvenus à un accord de cessez-le-feu. Comme chaque fois, chacun des deux camps crie victoire. Sur un champ de ruines.
« Israël n’acceptera pas d’accord de cessez-le-feu [lors des négociations au Caire avec les Palestiniens] qui ne prenne en compte les besoins sécuritaires d’Israël », a prévenu dimanche le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.
Depuis l’annonce, le 11 août, de la création d’une commission d’enquête internationale sur Gaza, les critiques se multiplient en Israël. Mercredi, Benyamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, a déclaré que cette décision de l’ONU donnait une « légitimation aux organisations terroristes meurtrières comme le Hamas ».
Le meurtre odieux de quatre adolescents – trois Israéliens et un Palestinien – sert de prétexte à un déchaînement de violence. Le 7 juillet, les Israéliens ont déclenché une opération militaire à Gaza pour briser le Hamas. Lequel lance une pluie de roquettes sur l’État hébreu.
Indispensable attribut du pouvoir ou plaisir dispendieux, l’avion présidentiel est un objet mythique. De Bouteflika à Biya en passant par Déby Itno, les dirigeants africains ne s’en privent pas plus que les autres.
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a promis mardi aux islamistes du Hamas, au pouvoir à Gaza, qu’ils recevraient « très bientôt » une « leçon » s’il ne mettaient pas un terme aux tirs de roquettes sur Israël.
Ni le président ni le Premier ministre israéliens n’étaient à la cérémonie d’hommage à Nelson Mandela, le 10 décembre à Johannesburg. Les raisons officielles de cette absence ne sont cependant pas tout à fait convaincantes…
Qu’il s’agisse du processus de paix avec les Palestiniens ou des négociations avec Téhéran, les deux alliés étalent ouvertement leurs divergences. Du jamais vu ! (Un article publié dans J.A. n° 2758).
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a encore évoqué mardi la possibilité de frappes préventives d’Israël contre l’Iran, alors qu’un nouveau round de négociations sur le nucléaire iranien est en cours à Genève.
La visite du ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, en Palestine et en Israël, les 24 et 25 août, a bien failli se terminer par un rendez-vous raté avec le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou. Heureusement, le Franco-Israélien Meyer Habib a rattraper le coup.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, s’en est de nouveau pris dimanche au nouveau président iranien, Hassan Rohani, l’accusant de partager l’objectif du régime iranien qui est selon lui la « destruction » de l’État hébreu.
Au cour de sa tournée au Proche-Orient, le président de la Fifa, Sepp Blatter, s’est rendu en Palestine, lundi 8 juillet, avant de rendre visite à Israël, où il devait s’entretenir mardi avec Benyamin Netanyahou. Il sera essentiellement question de la libre circulation des footballeurs palestiniens.
Avec 31 sièges seulement, contre 42 dans l’Assemblée sortante, le Premier ministre sort affaibli des élections du 22 janvier, marquées par la percée inattendue du laïc Yaïr Lapid, dont le parti est arrivé en deuxième position.
Sollicités par le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, des dignitaires religieux israéliens alimentent à leur tour le débat sur le nucléaire iranien. Leur discours fait froid dans le dos…
Rompant avec l’autisme de Benyamin Netanyahou, d’anciens membres de l’establishment sécuritaire ont décidé de militer pour une normalisation des relations avec le monde arabe.
Incapable de tenir tête à Benyamin Netanyahou, un Premier ministre israélien avide de territoires, Barack Obama a amèrement déçu l’opinion arabe et musulmane. Et conforté sa conviction que Washington est vendu aux intérêts israéliens.
L’État hébreu reste inflexible malgré la reprise, dimanche, des pourparlers indirects avec l’autorité palestinienne. Un proche du Premier ministre Benyamin Netanyahou a affirmé qu’Israël ne gèlerait pas le projet immobilier de Ramat Shlomo à Jérusalem-Est, démentant un communiqué du département d’Etat américain. Ce sujet, très sensible, avait provoqué une brouille entre le gouvernement Netanyahou et l’administration Obama, en mars dernier.