L’armée israélienne a de nouveau bombardé Gaza dimanche 10 mars, faisant des dizaines de morts en pleine mobilisation internationale pour envoyer de l’aide à la population civile assiégée et menacée de famine.
Pékin a répété son soutien à une « pleine » adhésion d’un État palestinien à l’ONU, alors que la guerre entre Israël et le Hamas entre dans son sixième mois. À Gaza, la famine menace plus de 2 millions d’habitants.
Le Black Panther Party, créé par les Africains-Américains aux États-Unis en 1966, a fait des émules jusqu’en Israël au sein de la communauté juive marocaine. Décédé récemment, Charlie Biton en fut l’une des grandes figures et a passé sa vie à lutter contre les discriminations à l’égard des Juifs originaires des pays arabes.
Les médiateurs égyptiens, américains et qataris tentent d’arracher un compromis aux deux camps afin d’obtenir un accord de trêve avant le début, le 10 ou 11 mars, du ramadan.
La vice-présidente américaine, Kamala Harris, s’est alarmée de la situation dans le territoire palestinien bombardé chaque jour par Israël, et où une famine menace, selon l’ONU.
Tsahal a reconnu des « tirs limités », mais en faisant état d’une « bousculade » au cours de laquelle, selon le Hamas, plus de 110 personnes ont été tuées. La communauté internationale a demandé une enquête indépendante.
Les États-Unis et le Qatar espèrent arriver à un nouvel accord de trêve entre Tel-Aviv et le mouvement palestinien dès la semaine prochaine, qui pourrait durer jusqu’à la fin du mois de jeûne.
L’émir du Qatar est à Paris alors que Benyamin Netanyahou confirme une prochaine opération terrestre à Rafah. À Ramallah, le président palestinien a accepté la démission de son gouvernement.
Le soutien inconditionnel d’Emmanuel Macron à la guerre menée à Gaza par le Premier ministre israélien et son gouvernement d’extrême droite implique un tribut de plus en plus lourd à payer pour l’Hexagone, sur le plan de la politique intérieure comme à l’international.
Sans présenter de plan précis, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a déclaré qu’il « y [avait] de la place » pour que les civils « aillent au nord de Rafah », alors que près de 1,5 million de personnes sont réfugiées dans la ville, dans le sud de la bande de Gaza.
Déradicalisation, démantèlement de l’Unrwa et gestion par des fonctionnaires civils : les objectifs du Premier ministre israélien sont en contradiction totale avec les déclarations de la communauté internationale.
Disparu des écrans radars depuis l’attaque du 7 octobre dernier, le chef du Hamas à Gaza reste introuvable. Son sort, qui demeure un mystère, fait l’objet de toutes les spéculations et de nombreuses fake news.
Alors que les bombardements israéliens sur Gaza continuent, le conseiller du président américain Joe Biden pour le Moyen-Orient est attendu en Israël après une étape en Égypte où se tiennent de nouveaux pourparlers en vue d’une trêve.
Après le rejet d’un projet de résolution de l’ONU appellant à un cessez-le-feu « humanitaire immédiat », les espoirs d’un arrêt des combats entre Israël et le Hamas apparaissent de plus en plus minces.
Alors qu’un assaut terrestre semble se préparer sur Rafah et que le bilan fait état de 29 000 morts du côté palestinien, le Conseil de sécurité de l’ONU doit examiner, ce 20 février, un texte préparé par l’Algérie et qui appelle à un cessez-le-feu. Il semble n’avoir aucune chance d’être adopté.
Le gouvernement de Benyamin Netanyahou menace d’attaquer Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, où sont réfugiés 1,4 million de Palestiniens, alors que les pourparlers pour une nouvelle trêve patinent.
Alors que les négociations avec le Hamas pour une trêve et la libération des otages se poursuivent au Caire, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, reste déterminé à mener son offensive sur le sud du territoire palestinien, où plus d’un million de personnes ont trouvé refuge. Et ce, malgré les pressions internationales.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a déclaré vouloir d’abord faire évacuer la ville située dans le sud de la bande de Gaza. De plus en plus de pays et d’organisations internationales s’inquiètent des conséquences désastreuses d’une telle attaque sur le territoire contrôlé par le Hamas palestinien.
Recep Tayyip Erdogan au Caire, demande de pause dans les combats pour les uns, exigence d’un cessez-le-feu pour les autres : les discussions se poursuivent, la délégation israélienne a quitté la capitale égyptienne.
L’Afrique du Sud a annoncé le 13 février avoir déposé un nouveau recours auprès de la Cour internationale de Justice (CIJ) afin qu’elle examine en urgence l’annonce par Israël d’une prochaine offensive militaire sur Rafah et s’oppose si nécessaire à « une nouvelle violation des droits ».
Le directeur de la CIA au Qatar et en Égypte, le roi de Jordanie à la Maison-Blanche… La diplomatie internationale tente de retenir le bras du Premier ministre israélien qui s’apprête à frapper Rafah.
Toujours en négociation avec le mouvement palestinien pour la libération des otages détenus dans la bande de Gaza depuis le 7-Octobre, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a estimé que seule la poursuite de la pression militaire » jusqu’à la « victoire » permettra d’atteindre cet objectif.
Ce 9 février, l’armée israélienne bombarde Rafah, la ville du sud de Gaza où s’entassent plus d’un million de Palestiniens déplacés par la guerre, tandis que son allié américain craint un « désastre » humanitaire.
Avec plus de 27 000 morts annoncés dans les bombardements quotidiens de Tsahal, Gaza paie un lourd tribut au conflit entre le Hamas et Tel-Aviv. Cependant, vouloir « nazifier » Israël et les Juifs à travers des débats enflammés contribue à occulter l’essentiel : la violence contre les populations civiles gazaouies. Et l’impasse politique.
Alors que le secrétaire d’État américain Antony Blinken termine sa tournée au Moyen-Orient dans l’objectif de négocier une nouvelle trêve entre Tel-Aviv et le Hamas, les craintes s’accentuent pour les plus d’un million de Palestiniens coincés dans le sud de Gaza, où Tsahal veut lancer une nouvelle offensive.
Le secrétaire d’État américain doit discuter du projet de trêve avec les responsables israéliens alors que le Hamas a remis sa réponse sur la proposition élaborée par les médiateurs égyptiens et qataris.
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken poursuit sa tournée au Moyen-Orient pour tenter d’imposer une trêve dans la guerre entre Israël et le Hamas, qui s’apprête à entrer dans son cinquième mois.
Le secrétaire d’État américain se rend d’abord en Arabie saoudite, puis au Qatar, en Égypte, en Israël et en Cisjordanie occupée pour discuter d’une trêve et des « besoins de la population palestinienne ».