Soucieux de rétablir des relations diplomatiques avec les pays arabes et leur alliés africains, Benyamin Netanyahou a mis en place une équipe réduite qui sillonne le Sahel. Jeune Afrique lève une partie du voile sur les plans du Premier ministre israélien.
Depuis deux ans, Idriss Déby Itno et Benyamin Netanyahou s’attèlent à renforcer les relations entre le Tchad et Israël. Enquête exclusive sur ce rapprochement diplomatique et sécuritaire.
Négocié sous l’égide de Donald Trump, l’accord entre Tel-Aviv et Abou Dhabi risque de remodeler le contexte politique de la région. Il prévoit notamment qu’Israël suspende l’annexion d’une partie des territoires palestiniens occupés.
Encouragé par le plan Trump, Israël se prépare à coloniser 30% de la Cisjordanie, le 1er juillet. Les Palestiniens, furieux, menacent d’une troisième Intifada. La dynamique de l’escalade est enclenchée.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, est arrivé lundi en Ouganda où il doit rencontrer le président Yoweri Museveni afin de renforcer les liens avec cette nation d’Afrique de l’Est.
Si le « Deal du siècle » est soutenu par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, en difficulté sur le plan domestique, il est catégoriquement rejeté par la diplomatie palestinienne, le chef de l’Autorité palestinienne, mais aussi le Hamas.
Malgré le soutien inconditionnel de Donald Trump à la politique expansionniste de Benyamin Netanyahou, le négociateur en chef de l’Autorité palestinienne veut continuer de croire au rêve d’une paix durable avec Tel-Aviv.
Dire que le général iranien Qassem Soleimani, tué dans un raid américain en Irak début janvier, était un terroriste permet de lui retirer l’attribut d’humain et de légitimer le fait de le tuer.
Plusieurs des faveurs de Donald Trump à l’égard d’Israël semblent s’inscrire dans une folie messianique qui voudrait que le président américain soit le nouveau Cyrus, futur Messie censé instaurer la paix universelle.
Rares sont ceux qui pensent que Donald Trump sera destitué ; moins nombreux encore sont ceux qui estiment qu’un tel événement peut intervenir dès le début de l’année 2020. Je fais partie de cette minorité.
Le procureur général d’Israël a décidé jeudi soir de mettre en examen le Premier ministre Benyamin Netanyahou pour corruption, fraude et abus de confiance dans différentes affaires. S’il reste pour l’instant en poste, il est le premier chef de gouvernement israélien à se retrouver dans cette situation.
Malmenés par Netanyahou, les « Palestiniens de l’État hébreu » ont opté avec succès pour l’unité. Et tentent de concilier aspirations identitaires et volonté de participer à la gestion du pays. Analyse.
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a annoncé lundi soir qu’il renonçait à former un gouvernement après les législatives du 17 septembre, dont les résultats étaient très serrés.
Au lendemain des élections législatives anticipées en Israël, l’écrivain et psychanalyste juif porte un regard sans concession sur la politique de Tel-Aviv, dont la critique est pour lui un impératif éthique.
Alors qu’Israël continue de se « droitiser », les jeunes Palestiniens, en rupture avec l’ancienne génération, estiment que la violence peut leur apporter des gains politiques. Quelques jours avant les élections législatives israéliennes, le politologue Khalil Shikaki revient sur les enjeux du scrutin.
Cinq mois après avoir voté sans permettre l’élection d’un Premier ministre, les Israéliens retourneront aux urnes le 17 septembre au terme d’une campagne sans saveur où la question palestinienne a encore été largement occultée.
Sur le point d’être inculpé dans quatre affaires de corruption, Benyamin Netanyahou arrive au crépuscule de sa carrière politique. Grandeur et décadence !
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou est impliqué dans pas moins de six scandales, documenté pour la plupart dans un rapport de 800 pages rédigé sous la houlette du procureur Shaï Nitzan. Jeune Afrique fait le point.
Mohandas Gandhi, Yitzhak Rabin, Nelson Mandela : trois grandes figures politiques qui ont marqué de leur empreinte le XXe siècle. Des femmes ou des hommes de cette envergure manquent cruellement à ce XXIe siècle arrivé à l’orée de sa vingtième année et qui n’a, pour le moment, à se mettre sous la dent qu’un Donald Trump qui s’agite sur la scène internationale.
Mauvais génie de la droite, le leader nationaliste Avigdor Lieberman a longtemps travaillé dans l’ombre de Benyamin Netanyahou. Avant de s’émanciper de son mentor pour mieux fomenter sa chute.
Le Parlement israélien a voté pour sa propre dissolution, mercredi soir, moins de deux mois après avoir été élu. Les électeurs seront de nouveau appelés aux urnes le 17 septembre. Un scénario inédit dans l’histoire du pays.
Malgré une opposition plus rugueuse et la menace d’une mise en examen dans les prochains mois, le Premier ministre a décroché un cinquième mandat, historique. Avec la bénédiction de l’extrême droite.
Les élections législatives anticipées en Israël auront lieu mardi 9 avril, après une violente campagne bousculée par le blocus de la bande de Gaza et les affaires de corruption du Premier ministre Benyamin Netanyahou.
Entre la fin du mandat d’Abdelaziz Bouteflika, le report du Brexit ou la reconnaissance américaine de la souveraineté d’Israël sur le plateau du Golan, le mois d’avril s’annonce chargé en événements.
Le roi Abdallah II de Jordanie a annulé une visite en Roumanie, initialement prévue lundi, en signe de protestation après les propos de la Première ministre roumaine sur un possible transfert de l’ambassade de son pays en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem.
Le président des États-Unis Donald Trump s’est déclaré jeudi favorable à la reconnaissance de la souveraineté d’Israël sur le plateau du Golan. Une décision en rupture avec la position américaine depuis des décennies sur ce dossier sensible.
Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a entamé mardi 19 mars une visite de cinq jours au Moyen-Orient. Une mini-tournée qui intervient alors que les États-Unis se désengagent de plus en plus de la région, privilégiant l’Europe et l’Asie.
Si officiellement Tel-Aviv et Doha n’entretiennent pas de relations diplomatiques, des échanges entre les deux pays se développent depuis les années 1990. Objectifs, pour l’un comme pour l’autre : diversifier les partenariats et augmenter son influence géopolitique au Moyen-Orient.