Pour le diplomate espagnol, actuel directeur de l’Académie diplomatique des Émirats arabes unis, le prince héritier saoudien conserve du pouvoir et espère rebondir après le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi, le 2 octobre au consulat d’Arabie saoudite à Istanbul.
Les intenses tractations menées par l’Égypte et l’ONU semblent porter leurs fruits. Mais le président palestinien Mahmoud Abbas menace de torpiller tout accord qui ne rétablirait pas son autorité à Gaza.
Encore et toujours le Moyen-Orient. Une terrible malédiction semble s’être abattue sur cette région du monde. Composée de nations fragiles, elle vient en tout cas de franchir un pas décisif vers une nouvelle guerre, dont nous avons annoncé ici même qu’elle était programmée.
Le président du Paraguay Horacio Cartes a inauguré lundi à Jérusalem la nouvelle ambassade de son pays en Israël, emboîtant le pas aux États-Unis dans une démarche de rupture diplomatique qui indigne les Palestiniens.
La mort d’une soixantaine de manifestants palestiniens vaut à l’État hébreu de vives condamnations internationales. Outre la polémique sur le recours à la force, la stratégie israélienne pose question dans un territoire au bord du désastre humanitaire.
Les États-Unis s’apprêtent à ouvrir les portes de leur ambassade à Jérusalem, réalisant la promesse controversée du président Donald Trump au risque d’enflammer les passions des Palestiniens qui pourraient protester massivement dans les Territoires, surtout à Gaza.
L’intervention de Tsahal à Entebbe, en 1976, donne lieu à une adaptation hollywoodienne qui, malgré ses défauts, explique en partie le radicalisme de Benyamin Netanyahou.
Sous la pression de la droite nationaliste, Benyamin Netanyahou annule un accord sur les migrants subsahariens conclu avec l’ONU. Récit d’une volte-face aux allures de capitulation.
L’escalade verbale entre Tel-Aviv et Ankara après le massacre par l’armée israélienne de 18 Palestiniens qui manifestaient pacifiquement à Gaza, le 30 mars, est significative de l’état du dialogue dans la région. Le Moyen-Orient aurait-il depuis atteint son point Godwin ?
Plus de 200 migrants africains illégaux détenus dans une prison du sud d’Israël ont été libérés dimanche à la suite d’une décision de la Cour suprême, ont annoncé les services de l’immigration.
L’État hébreu aura attendu onze ans avant de revendiquer la destruction in extremis du réacteur d’Al-Kibar, en Syrie. Récit d’une opération secrète qui aurait pu être celui d’un fiasco.
Le gouvernement de Benyamin Netanyahou a annulé lundi un projet controversé d’expulsion de migrants africains et signé un accord avec l’ONU pour la réinstallation d’une partie d’entre eux dans des pays occidentaux.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé dimanche Benjamin Netanyahou d’être « un terroriste » après que le Premier ministre israélien a rejeté les « leçons de morale » de la Turquie à propos des affrontements meurtriers qui ont eu lieu vendredi entre Gaza et Israël.
Israël n’était déjà pas tendre avec les migrants africains. Ce mardi, le Premier ministre de l’État hébreu est devenu franchement outrancier. Indignation et polémique…
Le gouvernement de Benyamin Netanyahou avait posé un ultimatum aux migrants subsahariens en situation irrégulière : soit ils quittent le territoire avant fin mars, soit ils sont emprisonnés. Les premières incarcérations ont démarré, provoquant manifestations et grèves de la faim dans les centres de rétention.
Inconnu du grand public il y a encore quelques années, Avi Gabbay dirige désormais d’une main de fer le Parti travailliste. Et multiplie les appels en direction de l’électorat nationaliste.
Les autorités israéliennes ont commencé dimanche à distribuer des lettres à des milliers de migrants africains en situation irrégulière, leur ordonnant de partir d’ici la fin du mois de mars sous peine d’être emprisonnés, selon une porte-parole du service de l’Immigration.
Israël a lancé un programme destiné à imposer à 38 000 migrants africains en situation irrégulière de choisir entre l’expulsion ou l’incarcération, affirmant avoir des accords avec des pays tiers pour assurer l’accueil des volontaires au départ. Après l’Ouganda, c’est au tour du Rwanda de démentir l’existence d’un tel accord.
Les autorités israéliennes ont annoncé que les étrangers en situation irrégulière, majoritairement des Érythréens et des Soudanais, ont jusqu’à la fin mars pour quitter le pays. Passé ce délai, ils s’exposent à un emprisonnement à durée indéterminée.
Tous les trois sont des hommes neufs : ils se sont hissés au pouvoir suprême dans leurs pays respectifs il y a moins d’un an. Depuis, les médias du monde entier accordent à leurs moindres faits et gestes une attention toute particulière. Pas un jour ne passe sans que se révèle quelque chose de nouveau et d’intéressant sur eux.
Devant l’Assemblée générale des Nations unies à New York, le président palestinien Mahmoud Abbas a demandé mercredi la fin de « l’apartheid » imposé selon lui par Israël aux Palestiniens, et qui risque de conduire à l’échec de la « solution à deux États ».
Dans le collimateur de la justice depuis 2015, Sara Netanyahou, l’épouse du Premier ministre israélien, a été inculpée pour détournement de fonds publics.
La dernière rencontre entre Faure Gnassingbé et Benyamin Netanyahou, début juin à Monrovia lors du sommet de la Cedeao, avait été précédée par une bagarre entre leurs gardes du corps respectifs – ce qui n’était pas la meilleure manière de préparer le premier sommet Afrique-Israël, prévu à Lomé fin octobre.
En cédant aux pressions de ses alliés orthodoxes opposés à la création d’une zone mixte de prière au Kotel, Netanyahou s’est attiré les foudres du courant libéral, majoritaire dans le monde juif.
La participation du Premier ministre israélien Benyamin Netanyaou au 51ème sommet de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cedeao) du 4 juin 2017 n’est que le point d’orgue de l’offensive diplomatique de l’État hébreu en Afrique. Elle avait débuté bien avant les élections des présidents Trump et Macron.
En dévoilant un nouveau programme politique modéré à l’égard d’Israël, le Hamas a fait preuve d’ouverture pour donner le sentiment d’un front palestinien uni… Juste 48 heures avant une rencontre entre Donald Trump et Mahmoud Abbas à la Maison-Blanche, mercredi. Décryptage.
Je commenterai, ci-dessous, deux informations qui me sont parvenues cette semaine et qui me paraissent importantes ou significatives. La seconde n’est pas encore dans les médias.