Donald Trump a affirmé mercredi 15 février que la « solution à deux États » n’était pas la seule possible pour régler le conflit israélo-palestinien, assurant être ouvert à des alternatives si celles-ci mènent à la paix.
Empêtré dans une série d’affaires de corruption, le chef du gouvernement israélien pourrait finir par être inculpé. Et contraint à la démission. Comme en rêvent à haute voix ses adversaires.
La victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle pourrait bien se traduire par une politique américaine plus favorable qu’auparavant à Israël, selon les experts. Même si tous rappellent que l’homme est « imprévisible ».
Au vu des tensions avec l’administration Obama, l’aide militaire record obtenue par Netanyahou semble relever de l’exploit. Mais certaines clauses de l’accord en relativisent l’ampleur.
Pour la troisième fois en moins de deux mois, Faure Gnassingbé a revu Benyamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, le 30 septembre à Jérusalem, à l’occasion des obsèques de Shimon Peres, auxquelles assistait aussi l’Ivoirien Alassane Ouattara.
Même s’il avait annoncé sa venue la veille, le président de l’Autorité palestinienne peut être considéré comme l’invité surprise des funérailles de Shimon Peres, vendredi septembre.
Le parlement israélien a décidé d’abaisser l’âge minimum pour l’emprisonnement d’un coupable d’acte « terroriste grave » de 14 à 12 ans. Une décision dénoncée par les militants des droits de l’Homme.
Exaspérés par les calculs politiciens et l’alarmisme à tout-va de Benyamin Netanyahou, d’anciens hauts responsables de l’armée sont désormais en première ligne pour le faire tomber.
La tournée africaine du Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, qui s’achève ce jeudi, fut riche en symboles. En misant sur la lutte antiterroriste et le partage de la mémoire, l’État hébreu espère regagner sa place sur le continent. Et renforcer sa posture sur la scène internationale.
Ce n’est certainement pas un hasard si le Premier ministre israélien a choisi l’Ouganda pour débuter son périple africain. Ce 4 juillet marquait en effet le quarantième anniversaire du raid israélien contre les preneurs d’otages du vol 139 d’Air France. Un raid au cours duquel son propre frère, Yonatan Netanyahou a trouvé la mort.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, entame ce lundi, une visite de cinq jours dans quatre pays d’Afrique subsaharienne. Très attendue, sa tournée sur le continent est la première d’un chef de gouvernement israélien depuis 1987.
Pour consolider sa majorité, le Premier ministre décide de se rapprocher de l’extrême droite plutôt que de la gauche. Un choix qui ne fait guère l’unanimité, pas même dans son propre camp.
On savait le président Obama secrètement excédé par la politique de Netanyahou à l’égard des Palestiniens. Son ambassadeur à Tel-Aviv, lui, s’est montré beaucoup plus explicite.
D’ici à 2017, Berlin achèvera la livraison à Tel-Aviv de trois nouveaux sous-marins à capacité nucléaire qu’il a entièrement ou partiellement financés. Est-ce bien raisonnable ?
Après la mort de trois Israéliens dans deux attentats à Jérusalem, le gouvernement de Benyamin Netanyahou a adopté dans la nuit de mardi à mercredi de nouvelles mesures pour « lutter contre les violences palestiniennes ». Il a notamment autorisé la police à « boucler Jérusalem en cas de frictions ».
Netanyahou promet la « tolérance zéro » envers les colons extrémistes coupables d’actes anti-Arabes. Oubliant un peu vite que sa politique d’annexion tous azimuts a contribué à leur émergence.
Benyamin Netanyahou a annoncé sa nouvelle coalition le 6 mai, formée in extremis après deux mois de tractations. Les nationalistes religieux du Foyer juif décrochent plusieurs ministères capitaux.
Déjouant tous les pronostics, Benyamin Netanyahou est sorti vainqueur des législatives anticipées du 17 mars, accentuant même l’emprise de son parti, le Likoud.
Lors des élections, le Premier ministre sortant et gagnant avait dénoncé le « danger » de la mobilisation des Arabes israéliens lors des législatives de mars.
Au coude-à-coude dans les sondages avec le Likoud de Netanyahou à l’approche des législatives du 17 mars, la gauche nourrit l’espoir de revenir enfin au pouvoir. Avec le concours de Tzipi Livni, voire celui – une première ! – des partis arabes.
Nommé chef d’état-major dans un contexte politique et sécuritaire tendu, Gadi Eizenkot, général expérimenté, s’est toujours montré implacable. Sans pour autant être un va-t-en-guerre.
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a affirmé dimanche à des journalistes que la reconnaissance d’un État palestinien par la France serait une grave erreur, alors que le Parlement français doit se prononcer le 2 décembre sur cette question.
Le 26 août, après cinquante jours de guerre, Israël et le Hamas sont parvenus à un accord de cessez-le-feu. Comme chaque fois, chacun des deux camps crie victoire. Sur un champ de ruines.
« Israël n’acceptera pas d’accord de cessez-le-feu [lors des négociations au Caire avec les Palestiniens] qui ne prenne en compte les besoins sécuritaires d’Israël », a prévenu dimanche le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.
Depuis l’annonce, le 11 août, de la création d’une commission d’enquête internationale sur Gaza, les critiques se multiplient en Israël. Mercredi, Benyamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, a déclaré que cette décision de l’ONU donnait une « légitimation aux organisations terroristes meurtrières comme le Hamas ».