En visite au Nigeria, le milliardaire et fondateur de Microsoft a vanté le recours aux organismes génétiquement modifiés pour résoudre la crise alimentaire actuelle et a répondu à ceux qui s’inquiètent des risques liés aux aliments issus des semences de nouvelle génération.
Confronté à l’absence de données pour optimiser parcours de soins et distribution de médicaments ou encore pour repérer les pathologies et les profils à risque, le secteur de la santé compte sur l’apport de la technologie. Objectif : trouver des combinaisons gagnantes.
Agenda chargé pour Azali Assoumani en janvier et février 2024. Il remettra son mandat en jeu dans son pays et, dans le même temps, cèdera sa place à la tête de l’Union africaine, après une année d’exercice jugée globalement réussie par les différents observateurs.
De nombreuses études font état d’une résistance partielle aux traitements contre le paludisme. Pourtant, le continent peut endiguer le phénomène. À condition de réagir vite, selon un trio d’experts de l’African Leadership for Act Resistance Mitigation*.
Déjà présente en Zambie, la start-up se présente comme une réponse américaine à l’offensive chinoise sur les minerais africains nécessaires à la conception de véhicules électriques.
Acteur incontournable de l’écosystème tech au Nigeria, Bosun Tijani, très connecté à la Silicon Valley, est déjà au cœur d’une controverse pour d’anciens tweets jugés « antipatriotiques ».
Loin de penser que l’intelligence artificielle est une menace pour l’homme, le désormais ex-chercheur de Google plaide pour que l’Afrique s’empare de la technologie afin de répondre à ses propres besoins. Et pour éliminer de fait tout potentiel de biais socioculturels ou économiques.
Le cofondateur de Microsoft lance, via sa Fondation, un concours public pour encourager les innovations africaines au service des Africains. Et appelle les gouvernements à augmenter les dépenses de santé.
Les jeunes Africains en blouses blanches partent souvent parfaire leurs études à l’étranger puis y restent. Une fuite de cerveaux dramatique, surtout en période de Covid-19. Maroc, Tunisie, Rwanda et Sénégal ont mis en place des parades.
À l’heure où Bill et Melinda Gates annoncent leur séparation, les regards se tournent vers leur fondation, qui a dépensé des milliards de dollars sur le continent.
Si son épouse et ses enfants épaulent le milliardaire anglo-soudanais, il dispose aussi d’un vaste réseau embrassant stars, hommes politiques et grandes fortunes.
Les conséquences économiques de la pandémie sur le continent s’annoncent terribles. Mais cette crise est aussi l’occasion d’amener acteurs publics et privés à travailler ensemble. C’est sur cette base que l’Afrique doit maintenant avancer.
Face au coronavirus et aux risques épidémiologiques de demain, le milliardaire et philanthrope américain prône le respect du multilatéralisme et appelle à une mobilisation générale des soignants, des chercheurs et des gouvernants.
Jugés coupables de l’assassinat de Laurent-Désiré Kabila, en 2001, 28 détenus de la prison de Makala espèrent toujours obtenir une grâce présidentielle. Considérés comme des prisonniers politiques par plusieurs ONG, ils seraient seraient aujourd’hui « à bout » physiquement, mais aussi financièrement.
Contrôle des naissances, lutte contre la pauvreté, éducation, politique africaine de Donald Trump… Le milliardaire américain revient pour Jeune Afrique sur les activités de la Fondation Bill et Melinda Gates qu’il copréside et livre son regard sur l’évolution du continent.
La mort le 15 décembre de l’influent professeur kényan Calestous Juma, spécialiste des questions progrès technologiques et de développement en Afrique, a suscité de nombreuses réactions à travers le monde, notamment de chefs d’États africains.
Les fondations Rockefeller et Bill & Melinda Gates ainsi que l’Agence des États Unis pour le développement (USAID) ont lancé un partenariat stratégique pour la transformation de l’agriculture en Afrique subsaharienne. Cette initiative, dotée d’une enveloppe de 280 millions de dollars, vise à doper les revenus d’au moins 30 millions de petits exploitants et améliorer la sécurité alimentaire dans onze pays.
Près d’un quart des pays d’Afrique subsaharienne ne reçoivent que très peu de financements pour la recherche contre la malaria, malgré des taux de mortalité élevés, d’après une étude publiée jeudi 29 juin. Elle met au jour la répartition inégale des ressources pour lutter contre cette maladie.
Réunis jusqu’à vendredi au Kenya pour le sixième édition du Forum africain sur la révolution verte, plusieurs acteurs du développement ont annoncé des engagements cumulés de 30 milliards de dollars (26 milliards d’euros) sur dix ans en faveur du renforcement de l’agriculture africaine.
À la tête des géants Microsoft, Facebook et Google, ils consacrent une partie de leur fortune au continent, offrant des médicaments ou un accès à internet. Mais ces milliardaires sont-ils aussi désintéressés qu’ils voudraient le faire croire ? Entre charité et business, la frontière est souvent ténue…
Le géant pharmaceutique suisse Novartis a annoncé mercredi qu’il va étendre son partenariat avec la fondation helvétique Medicines for Malaria Venture (MMV) pour développer une molécule antipaludique avec le soutien financier de la Fondation Bill & Melinda Gates.
Les Dr. Babatunde Osotimehin et Dr Chris Elias, président des programmes internationaux de développement à la Fondation Bill & Melinda Gates, ont co-écrit cette tribune. Ils sont tous deux coprésidents du groupe de référence du Family Planning 2020.
Alors que la crise pèse sur l’aide publique au développement, de nouvelles organisations de bienfaisance émergent. Fortes de leurs moyens financiers, ces fondations privées exercent une influence croissante sur l’agenda des pays où elles interviennent, hors de tout contrôle politique.
Alors que Orascom Construction Industries (OCI) déménage sa cotation à Amsterdam, plusieurs financiers dont Bill Gates ont décidé d’investir un milliard de dollars dans le nouveau holding hollandais du groupe égyptien d’engrais et de BTP, OCI NV.
Les fondations de Bill Gates et de Aliko Dangote, deux des hommes les plus riches du monde, se sont unies pour lutter contre la poliomyélite à Kano, au nord du Nigeria. Le montant des fonds déployés, sur quatre ans, n’ont pas été communiqués.