Libéré en avril après plus de quatre années d’incarcération à « Sans famille », Ike Ngouoni Aila Oyouomi raconte pour la première fois sa détention et évoque son avenir, loin du Palais du bord de mer.
L’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba est hospitalisé dans le sud de la France. Au Gabon, il est toujours sous le coup de poursuites judiciaires.
L’ex-directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, atteint d’un cancer, a été conduit aux urgences dans la nuit du 11 au 12 juin. L’audience, reportée au 18 juin, n’a pour l’heure pas été suspendue.
Pour la troisième fois devant le tribunal depuis mai, l’ex-tout-puissant directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba est accusé de détournement de fonds publics. Pointant du doigt une « parodie de justice », ses avocats ont quitté la salle et refusent de se présenter à l’audience.
Libéré en octobre 2023, l’ex-directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba a été condamné à douze années de prison, dont trois fermes, par la justice gabonaise.
Ike Ngouoni Aila Oyouomi, arrêté en 2019 dans le cadre de l’opération anticorruption Scorpion, a recouvré la liberté. Il était l’un des proches de Brice Laccruche Alihanga, lui-même sorti de prison en octobre dernier.
L’ancien directeur de cabinet de l’ex-président gabonais Ali Bongo Ondimba a été remis en liberté en octobre 2023, après quatre années en détention. Marwane Ben Yahmed, directeur de la publication de JA, revient sur les points essentiels de l’entretien qu’il a réalisé avec lui.
François Zimeray, l’avocat français de Sylvia, Noureddin et Ali Bongo Ondimba, affirme ne pas avoir été autorisé à rendre visite à ses clients gabonais. Pour Jeune Afrique, il revient sur les détentions de l’ancien président et de sa famille.
Libéré le 20 octobre 2023 après quatre années d’une détention inhumaine, l’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba a profondément changé. Il a rencontré Dieu, revécu sa chute, et réfléchi, surtout, au système qui a fini par le trahir. Il brise le silence, en exclusivité pour Jeune Afrique.
Selon nos informations, l’ex-première dame et son fils, d’abord incarcérés à « Sans famille », la prison centrale de Libreville, sont à présent détenus dans une résidence de la capitale gabonaise.
Au fil des semaines, le général de la Garde républicaine a su se servir de l’état de grâce accordé par les Gabonais pour se construire une nouvelle image. Cent jours après avoir renversé Ali Bongo Ondimba, s’imagine-t-il déjà durablement comme son successeur ?
Nommé avec force contestation à la tête du ministère des Mines début septembre, l’entrepreneur, intime d’Ali Bongo Ondimba, a su trouver sa place au cœur de la transition de Brice Clotaire Oligui Nguema.
Longtemps choyé par Omar Bongo Ondimba, Brice Clotaire Oligui Nguema est aussi, depuis le coup d’État du 30 août, celui qui a renversé Ali, le fils de l’ancien président. Un destin hors normes, où se mêlent frustrations, jalousies et ambitions.
Au Gabon, depuis le coup d’État qui a renversé Ali Bongo Ondimba, l’actualité politique se confond avec l’agenda judiciaire. La justice se concentre sur plusieurs transactions dans lesquelles l’entourage de Noureddin Bongo-Valentin, le fils de l’ex-président, est impliqué.
L’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba est finalement sorti de prison ce 20 octobre, après avoir passé près de quatre ans à l’isolement et plus d’une semaine après sa confrontation avec Sylvia Bongo Ondimba.
Jusqu’ici en résidence surveillée, l’ex-première dame a été incarcérée à la prison centrale de Libreville dans la nuit de mercredi 11 à jeudi 12 octobre.
Un face-à-face entre l’ex-Première dame et l’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba a été organisé par le Tribunal spécial de Libreville ce mercredi 11 octobre.
Après avoir conquis le pouvoir en 2009, en écartant notamment sa sœur Pascaline, Ali Bongo Ondimba a tenté d’imposer sa méthode : déléguer le pouvoir à un bras droit. Au point de finir par le perdre ? Retour sur les années Accrombessi et Laccruche Alihanga.
Ce 4 septembre lors de sa prestation de serment, le président de la transition gabonaise, Brice Clotaire Oligui Nguema, a promis la libération des prisonniers d’opinion et l’accompagnement du retour des exilés politiques. Depuis, plusieurs personnalités ont retrouvé la liberté. Jeune Afrique fait le point.
Alors que beaucoup – y compris dans son propre camp – doutaient de sa capacité à briguer un nouveau mandat, le chef de l’État est plus résolu que jamais à l’emporter à l’occasion de la présidentielle. Il débute sa campagne ce 11 août.
L’avocat et militant de l’opposition, connu pour être le conseil de Brice Laccruche Alihanga, l’ancien tout-puissant directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, est candidat aux élections législatives à Libreville.
Au Gabon, le père est en course pour l’élection présidentielle, la mère préside un parti d’opposition à l’Assemblée nationale. Quant au fils, il milite pour la candidature d’Ali Bongo Ondimba.
Alors qu’il attend toujours la tenue de son éventuel procès, l’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba continue d’intéresser les enquêteurs, jusqu’à l’autre bout du continent, à Maurice. Plusieurs comptes bancaires censés bénéficier à deux de ses proches ont été saisis, pour une somme de plus de 10 millions d’euros.
Toujours détenu à Libreville, l’ex-directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba pourrait faire face à un nouveau procès. Jeune Afrique a pu consulter une partie du « dossier BLA », qui contient des accusations de détournement de centaines de milliards de F CFA.
Aux magistrats qui l’ont auditionné puisqu’il est lui-même accusé de corruption, Yoanis Kongo a décrit un vaste système clientéliste bâti au profit de l’ex-directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba.
Condamné le 29 octobre à cinq ans de prison, l’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba n’a pas l’intention de faire appel. Mais il compte bien contre-attaquer.
L’ancien directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba a été condamné, ce 29 octobre, à cinq ans de prison ferme pour obtention de document administratif sur la base d’une fausse déclaration.
L’ancien directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba a comparu cette semaine devant le tribunal correctionnel de Libreville. Il était jugé pour obtention de document administratif sur la base d’une fausse déclaration. Verdict ce 29 octobre.
C’est la première interview qu’il accorde depuis son AVC, en 2018. Conscient que « quelques personnes ont cru voir leur tour arriver », le chef de l’État gabonais se dit déterminé à réformer pays et se livre, sans tabou.