Si l’instruction concernant l’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba est au point mort, Brice Laccruche Alihanga est décidé à poursuivre son combat judiciaire. Et il mise beaucoup sur les Nations unies.
Proche de Brice Laccruche Alihanga, Justin Ndoundangoye, incarcéré dans le cadre de l’opération Scorpion depuis décembre 2019, a reçu le soutien de l’Union interparlementaire. Celle-ci a interpellé le gouvernement gabonais, lequel ne garantirait pas le « droit à la vie » et « à l’intégrité physique » du détenu.
Détenus depuis décembre 2019, l’ex-directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba, Brice Laccruche Alihanga, et son frère Grégory espèrent toujours convaincre les juges de leur innocence.
Le 26 juin, l’écrivain gabonais Janis Otsiemi publiait sur la toile un nouvel essai politique sur Ali Bongo Ondimba, « La Grande Désillusion ». Une façon pour l’auteur de polars de se tenir, comme depuis vingt ans, entre fiction et réalité.
Le bras de fer au sein du gouvernement pour le contrôle de l’important marché lié à la collecte et au traitement des ordures ménagères de Libreville semble trouver une issue. Le Premier ministre a tranché en faveur de la mairie de la capitale gabonaise.
Le sort de Brice Laccruche Alihanga, l’ex-directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, ne laisse pas Paris indifférent. Ce Franco-Gabonais, détenu depuis décembre 2019, est surveillé de près par le Quai d’Orsay et l’Élysée.
Depuis six mois, Brice Laccruche Alihanga est incarcéré à la prison de Libreville. Après avoir tenu les rênes du pays, l’ancien directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba est accusé de tous les maux.
Détenu depuis décembre, Brice Laccruche Alihanga a tenté de mettre fin à ses jours. Après avoir été soigné, l’ancien directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba a été renvoyé en cellule. Les autorités suivent le dossier de près.
Placés à l’isolement et privés de visite, les détenus de l’opération anticorruption Scorpion, dont Brice Laccruche Alihanga, espèrent voir s’accélérer la procédure et l’instruction. Mais la pandémie de coronavirus n’arrange pas les choses.
Candidat unique du Parti démocratique gabonais (PDG) lors de l’élection législative partielle initialement prévue les 4 et 18 avril prochain dans la circonscription de Lékoni-Lékori (Haut-Ogooué), Ali Akbar Onanga Y’Obegue fait son retour aux affaires, après avoir été exclu de ce parti, puis de l’Assemblée nationale, lorsqu’il était en conflit avec Brice Laccruche Alihanga.
Après la chute du directeur de cabinet Brice Laccruche Alihanga, en décembre 2019, c’est tout un pan de la présidence qu’Ali Bongo Ondimba s’est attelé à reconstruire. Plus que jamais, le chef de l’État s’appuie sur ses proches.
L’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba et l’ex-ministre des Infrastructures, désormais tous les deux emprisonnés, ont un passé commun, autour d’une villa dans le quartier de la Sablière.
Avocat de Brice Laccruche Alihanga (BLA), Anges Kevin Nzigou défend l’ex-directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba depuis 2013, époque où BLA était accusé de malversations par la BGFI.
Brice Laccruche Alihanga et son frère Grégory, tous deux incarcérés dans le cadre de l’opération anti-corruption Scorpion, ont déposé plainte contre X le 21 janvier en France pour « atteinte à la liberté individuelle, violences volontaires et menace de mort commises en bande organisée ».
Brice Laccruche Alihanga (BLA), l’ex-directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba, a passé les fêtes de fin d’année dans une cellule d’isolement de la Prison centrale de Libreville, d’où il n’a pas été extrait pour assister à la messe de Noël.
En attendant les bonnes résolutions de janvier 2020, décembre 2019 offre son lot de bilans plus ou moins glorieux. Côté déprime, voici le palmarès de ceux qui ont trébuché pendant l’année.
Le ministre gabonais des Eaux, des Forêts, de la Mer et de l’Environnement en est convaincu : les scandales de corruption autour de l’exploitation du bois font partie du passé. Fort d’un cadre légal et réglementaire renouvelé, il croit en la possibilité d’une exploitation durable du bois de kevazingo.
Le chef du gouvernement gabonais défend les réformes menées depuis le début de la convalescence du président Ali Bongo Ondimba, ainsi que l’unité de son équipe, malgré les nombreux bouleversements opérés au sein de l’exécutif. Interview exclusive.
Si les récents remaniements au sein du cabinet présidentiel et du gouvernement ont inquiété les uns et déconcerté les autres, ils ont aussi et surtout clarifié la situation au sommet de l’État : un an après son AVC, Ali Bongo Ondimba est bel et bien de retour aux commandes de l’exécutif et dicte le tempo.
En quelques semaines, l’entourage proche du président gabonais a été profondément bouleversé. Qui sont les nouveaux membres de la garde rapprochée d’Ali Bongo Ondimba ? Portraits des incontournables du Palais du bord de mer.
Déféré vendredi 13 décembre devant le juge d’instruction spécialisé de Libreville, l’ex-directeur de cabinet de la présidence gabonaise, Brice Laccruche Alihanga, a été placé en détention préventive notamment pour « détournement de fonds publics » et « blanchiment ».
Tout juste limogé de son poste de ministre, l’ex-directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba a été arrêté dans le cadre d’une vaste opération anticorruption menée au Gabon.
Ali Bongo Ondimba a procédé à un remaniement du gouvernement gabonais, lundi 2 décembre. Les ministres Brice Laccruche Alihanga, Noël Mboumba et Jean-Fidèle Otandault ont été limogés.
Sous la houlette du procureur André Patrick Roponat, l’opération Scorpion a abouti à 11 placements en détention préventive et à au moins 20 gardes à vue à la Direction générale des recherches.
La vaste opération anticorruption lancée au Gabon se poursuit jusqu’au sommet de l’État avec la mise en détention provisoire de l’ancien porte-parole de la présidence Ike Ngouoni, suspecté notamment de complicité de détournement de fonds publics.
Onze proches de Brice Laccruche Alihanga (BLA), l’ex-directeur de cabinet du président gabonais, dont les audiences ont eu lieu entre mercredi et jeudi à Libreville, ont été placés sous mandat de dépôt. Sept autres personnes ont bénéficié d’un classement sans suite de leur dossier.
Grégory Laccruche Alihanga, maire d’Akanda, a été interpellé mercredi 27 novembre à Libreville. Ce dernier est le frère de Brice Laccruche Alihanga, l’ancien directeur de cabinet d’Ali Bongo Ondimba.