Développement de la production d’hydrocarbures et gestion durable des revenus pétroliers sont les deux piliers de la nouvelle politique nigérienne, qui vise à faire du pétrole un des leviers du développement du pays.
Le Conseil national de dialogue politique (CNDP) a adopté le 24 janvier le nouveau code électoral au Niger, en l’absence de l’opposition politique, qui avait refusé de siéger. Celui-ci doit être utilisé pour la première fois pour les locales, prévues en 2020, et surtout la présidentielle de 2021.
Fils de l’un des plus emblématiques chefs touaregs, Mawli Dayak s’évertue à mettre en lumière la culture et la région d’Agadez pour y relancer le tourisme.
Le président nigérien Mahamadou Issoufou a procédé lundi à un léger remaniement du gouvernement du Premier ministre Brigi Rafini. Les ministères des Transports et de l’Industrie sont notamment concernés.
On l’attendait depuis l’annonce du ralliement du MNSD à la majorité présidentielle. Mahamadou Issoufou a officialisé le remaniement du gouvernement dans la nuit de mercredi à jeudi. Brigi Rafini reste Premier ministre, tandis le parti de Seini Oumarou récupère plusieurs portefeuilles.
Nommé en avril à la tête du gouvernement, Brigi Rafini ne faisait pas partie des proches du président Issoufou. Touareg, peu connu du grand public, il se revendique comme technocrate civil. Rencontre.
Trois mois après son accession au pouvoir, le nouveau président du Niger ne connaît pas d’état de grâce. Une guerre se déroule à ses frontières, les terroristes d’Al-Qaïda au Maghreb islamique sont plus que jamais menaçants et l’économie est à reconstruire… Pour ce démocrate socialiste, grand admirateur du calife Omar, la tâche s’annonce rude.
Constitué jeudi 21 avril, le gouvernement du nouveau président Mahamadou Issoufou est essentiellement composé de membres du PNDS, le parti au pouvoir. Mais les alliés du second tour de la présidentielle y trouvent également leur place.