Depuis juillet 2021, cet ancien candidat à la présidentielle de 2018 est l’initiateur d’un projet de loi controversé, qui entend limiter l’accès à la magistrature suprême aux candidats nés de père et de mère congolais.
Lutte des clans, manque de leadership… Désormais aux affaires, l’ex-grand parti d’opposition peine à faire sa mue. Sera-t-il un véritable atout pour obtenir un second mandat dans un an ?
En 2018, la présidence congolaise a dépensé près de cinq fois le budget qui lui avait été alloué, selon un rapport de la Cour des comptes qui alerte sur le fait que cette gestion a provoqué des « inégalités de traitement » entre ministères et un sous-financement de projets d’investissements importants pour le pays.
Tous les membres du gouvernement sortant ont perçu la totalité de leurs indemnités de départ, y compris les 19 ministres toujours en poste. Si la polémique déclenche l’ire au sein de la société civile, la classe politique cache mal sa gêne.