Elle a été présidente de transition en Centrafrique entre janvier 2014 et janvier 2016. Affiliée à aucun parti politique, l’ancienne maire de Bangui a été élue par le Conseil national de transition (CNT) le 20 janvier 2014. Née au Tchad en 1954, avocate de formation, elle a milité au sein de l’association des femmes juristes de Centrafrique. Elle est formatrice en droits de l’homme du programme Afrique d’Amnesty International. En 2003, elle co-préside le dialogue national organisé après le coup d’État de François Bozizé.
Au moins dix personnes ont été tuées et cinq blessées dans des violences intercommunautaires jeudi dans la région de Bambari, dans le centre du pays. La tension reste vive vendredi.
Contraint le 20 juillet de renoncer au ministère de la Sécurité publique au profit de Dominique Said Pangandji, ex-procureur de la cour d’appel de Bangui, Nicaise Samedi Karnou peut s’estimer heureux de rester membre du gouvernement de Mahamat Kamoun (il est ministre de l’Habitat).
Jean-Yves Le Drian, le ministre français de la Défense, est reparti de Bangui et Brazzaville (avant de gagner Le Caire et Djibouti) plutôt confiant quant à la tenue de l’élection présidentielle centrafricaine aux dates prévues : 18 octobre et 22 novembre.
La présidente Catherine Samba Panza a levé vendredi l’immunité diplomatique du ministre centrafricain du Tourisme, Romaric Vomitiadé. Celui-ci est accusé d’avoir violé une jeune fille de 16 ans lors d’une visite à Yaloké du 21 au 26 janvier.
Les relations entre la présidente de la transition centrafricaine Catherine Samba-Panza et le président congolais Denis Sassou Nguesso (DSN), médiateur officiel pour la Centrafrique, sont aujourd’hui glaciales. État des lieux.
Pour l’ex-Premier ministre et futur candidat à l’élection présidentielle centrafricaine Anicet Dologuélé, le gouvernement centrafricain pèche par manque de transparence dans sa gestion et par son absence de concertation.
La présidente centrafricaine de la transition, Catherine Samba-Panza, a estimé mardi que les violences qui secouent Bangui depuis un peu moins d’une semaine s’apparentent à « une tentative de coup d’État institutionnel visant à installer une troisième transition ».
Catherine Samba-Panza, la présidente de la transition centrafricaine, entame mardi une série de rencontres avec les « forces vives de la Nation ». Objectif : mettre fin au désordre que connaît le pays.
La situation a été particulièrement tendue jeudi à Bangui. Des détonations ont résonné dans plusieurs quartiers alors que de nombreuses barricades étaient dressées.
Catherine Samba-Panza (CSP), la présidente centrafricaine, cherche à séduire les pays du Golfe où ses émissaires multiplient visites et demandes d’assistance financière.
Sous pression après les révélations de « Jeune Afrique » sur sa gestion opaque du don de 10 millions de dollars accordé par l’Angola, Catherine Samba-Panza s’est voulue rassurante. « Nous avons réglé ce problème », a déclaré mercredi la présidente de la transition centrafricaine.
En mars, le président angolais José Eduardo dos Santos avait octroyé un don de 10 millions de dollars à son homologue centrafricaine Catherine Samba-Panza afin de renflouer son pays en faillite. Un quart de cette somme n’est pas entré dans les caisses de l’État. Simple oubli ?
Quelques jours après la nomination du nouveau Premier ministre, la présidente de la transition centrafricaine, Catherine Samba-Panza, a appelé mardi à la vigilance contre les « fauteurs de troubles » dans le pays. Elle a également évoqué la complexité de la transition politique dont elle a la charge.
La présidente de transition centrafricaine Catherine Samba-Panza a nommé dimanche Mahamat Kamoun au poste de Premier ministre. Il remplace André Nzapayeké.
La récente flambée de violences interconfessionnelles à Bangui, à nouveau calme dimanche, est le fait « d’agitateurs qui essayent de manipuler les jeunes pour des raisons purement politiques », a affirmé la présidente centrafricaine, Catherine Samba-Panza.
Au moins deux personnes sont mortes vendredi lors d’une manifestation organisée à Bangui. La présidente de la transition Catherine Samba-Panza a appelé les Centrafricains au calme et décrété un deuil national de trois jours après l’attaque contre une église, mercredi.
Rivalités au sein de l’exécutif, administration déliquescente, économie paralysée : trois mois après l’élection de Catherine Samba-Panza, la magie n’opère plus. Mais pouvait-il en être autrement ?
Élue le 20 janvier, la présidente de la transition a douze mois pour redresser le pays. Mais avec un État aussi délabré, difficile de croire que ce délai sera suffisant.
Sans ressources, la Centrafrique ne peut plus payer ses fonctionnaires. Pour l’instant, seul le président congolais Denis Sassou Nguesso a effectivement contribué au budget du pays.
La présidente de la transition Catherine Samba-Panza a demandé publiquement le réarmement de l’armée, de la police et de la gendarmerie centrafricaines. Problème : la communauté internationale est loin de partager son point de vue.
La chef de la transition centrafricaine, Catherine Samba-Panza, a été chaleureusement accueillie par les autorités congolaises lors de sa « visite de travail », du 1er au 3 mars à Kinshasa.
La chef de l’État de la transition, première femme à la tête d’un État francophone, a été accueillie avec honneurs et enthousiasme à Kinshasa, où s’est ouvrert lundi le Forum mondial des femmes francophones.
La présidente de transition de la République centrafricaine, Catherine Samba-Panza, a affirmé lundi à Kinshasa que la stabilisation de son pays ne pourrait se faire dans les délais prévus sans un « soutien massif » de la communauté internationale.
Catherine Samba-Panza souhaite que l’intervention française en Centrafrique soit prolongée jusqu’aux élections prévues au début de 2015. La présidente de la transition en a fait part lundi à une délégation de parlementaires français en visite à Bangui.