Depuis son retour en Algérie, Chakib Khelil, ex-ministre algérien de l’Énergie et des Mines, fait la une des médias nationaux. Sa tournée controversée dans différentes zaouïas (établissements religieux musulmans) du pays suscite de vives réactions auprès de l’opinion publique algérienne.
En exil suite aux accusations de corruption dans l’affaire Sonatrach, Chakib Khelil est rentré ce jeudi 17 mars en Algérie. Un retour perçu par beaucoup comme une provocation.
Après une longue éclipse, l’ex-ministre algérien de l’Énergie, Chakib Khelil, réfugié aux États-Unis, est réapparu lors d’une cérémonie tenue le 5 novembre à l’Omni Shoreham Hotel de Washington à l’occasion du 61e anniversaire de la révolution.
Ils ne seront pas présents aux procès Sonatrach I et II, à Alger et à Milan. L’ancien ministre, son épouse et son neveu étaient pourtant au coeur du système.
Soupçonné de corruption dans l’affaire Sonatrach, l’ancien ministre de l’Énergie a tenté en vain d’empêcher la justice suisse de transmettre à Alger des informations sur ses comptes bancaires.
Son mandat d’arrêt international a été levé pour vice de procédures, donc Chakib Khelil, l’ancien ministre algérien de l’Énergie, continue de couler des jours tranquilles aux États-Unis, en attendant l’ouverture du procès sur l’affaire de corruption de la Sonatrach. En revanche, il n’a pas la nationalité américaine.
Son mandat d’arrêt international ayant été annulé pour vice de procédure, Chakib Khelil, l’ancien ministre de l’Énergie, coule des jours tranquilles aux États-Unis.
La justice égyptienne a lancé une commission rogatoire liée à une affaire de blanchiment d’argent présumé qui concerne Chakib Khelil, l’ancien ministre algérien de l’Énergie, et son épouse.
La chute est rude pour l’ancien homme fort du clan Bouteflika. L’ancien ministre de l’Énergie, Chakib Khelil, est visé par un mandat d’arrêt international lancé par la justice algérienne pour son implication présumée dans l’affaire de corruption à Sonatrach. Tout ce qu’il faut savoir sur le « Monsieur Énergie » algérien.
La justice algérienne a lancé des mandats d’arrêt internationaux contre l’ancien ministre de l’Énergie et des Mines Chakib Khelil, sa femme et ses deux enfants, accusés dans l’affaire de corruption dite « Sonatrach 2 », a annoncé, lundi 12 août, le procureur général de la cour d’Alger, Belkacem Zeghmati.
Concernant le dossier de corruption présumée à la Sonatrach, la balle est désormais dans le camp du parquet d’Alger. L’ancien ministre de l’Énergie, Chakib Khelil, pourait être convoqué très prochainement.
L’ancien ministre algérien de l’Énergie et des Mines, Chakib Khelil, fait face à une nouvelle plainte déposée à Paris pour « blanchiment ». Et ce n’est sans doute pas la drnière…
Le DRS a mené, lundi 25 mars, une série de perquisitions sans précédent depuis qu’un vaste scandale de corruption a éclaboussé Sonatrach en janvier 2000. L’ancien ministre de l’Énergie, Chakib Khelil, et l’ex-PDG de la firme pétrolière algérienne, Abdelmadjid Attar, ont été particulièrement visés.
Le scandale des détournements à la Sonatrach semble étendre ses ramifications jusqu’aux États-Unis. L’ancien ministre algérien de l’Énergie et des Mines, Chakib Khelil, est ainsi sous la surveillance du FBI pour des avoirs d’un montant considérable outre-Atlantique.
La justice italienne met au jour plusieurs affaires de corruption dans l’octroi de marchés entre Sonatrach et ses partenaires à la fin des années 2000. Au coeur de ce système, Chakib Khelil, l’ex-ministre algérien de l’Énergie.
Le remaniement gouvernemental annoncé à maintes reprises depuis l’éclatement du scandale qui secoue la Sonatrach a finalement été annoncé le 27 mai. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, reste en poste, mais l’ancien ministre de l’Énergie, Chakib Khelil, est remercié.