À l’occasion du verdict en appel du Tribunal pour la Sierra Leone (TSSL) dans le procès de Charles Taylor, le 26 septembre, Jeune Afrique vous invite à redécouvrir ses articles les plus saisissants concernant l’ancien président libérien. Dans le cinquième volet de la série, Élisabeth Lévy raconte comment celui qui n’est encore qu’un chef rebelle, soumet le correspondant de RFI, Stephen Smith, a un simulacre d’exécution. Un article publié dans le J.A n°1549, du 5 au 11 septembre 1990.
À l’occasion du verdict en appel du Tribunal spécial pour la Sierre Leone (TSSL) dans le procès de Charles Taylor, jeudi 26 septembre, Jeune Afrique vous invite à redécouvrir ses articles les plus saisissants concernant l’ancien président libérien.
À l’occasion du verdict en appel du TSSL dans le procès de Charles Taylor, Jeune Afrique vous offre à redécouvrir ses articles les plus saisissants concernant l’ancien président libérien. Quatrième volet de la série : les massacres commis pendant la guerre sanglante que Charles Taylor mène contre le président Samuel Doe. Un article introductif de Francis Kpatindé, suivi d’un reportage de Mariam C. Diallo, tous deux parus dans le J.A. n° 1544, du 1er au 7 août 1990.
Le jugement en appel du TSSL concernant Charles Taylor doit être rendu public jeudi 26 septembre. L’ancien président du Liberia avait été condamné à 50 ans de prison en première instance.
À l’occasion du verdict en appel du Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL) dans le procès de Charles Taylor, le 26 septembre, Jeune Afrique vous invite à redécouvrir ses articles les plus saisissants concernant l’ancien président libérien. Le troisième volet de cette série est une interview accordée par celui qui n’est encore qu’un rebelle prétendant agir pour la démocratie et la défense des droits de l’homme. Même s’il ne souhaite visiblement qu’une chose : « tuer » Samuel Doe pour prendre sa place. Un entretien exclusif réalisé par Mariam C. Diallo et publié dans le J.A. n° 1542 du 18 au 24 juillet 1990.
À l’occasion du verdict en appel du TSSL dans le procès de Charles Taylor, le 26 septembre, Jeune Afrique vous offre à redécouvrir ses articles les plus saisissants concernant l’ancien président libérien. Deuxième volet de la série, où l’on découvre l’un des premiers portraits de celui qui a pris la tête de la rébellion contre Samuel Doe. Un article signé Patrick Girard et publié dans la J.A. n°1535, du 4 juin 1990.
L’ancien président du Liberia, Charles Taylor, comparaît en appel, à partir du mardi 22 janvier, devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL). Il a déjà été condamné en première instance à 50 ans de prison pour avoir soutenu la rébellion, en échange de diamants, pendant la guerre de Sierra Leone.
Condamné à cinquante ans de prison pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis en Sierra Leone entre 1996 et 2002, l’ancien président libérien, 64 ans, devrait passer le restant de ses jours derrière les barreaux.
Mariée entre 1997 et 2005 à Charles Taylor, avec qui elle a eu deux enfants, l’ex-première dame du Liberia est aujourd’hui une sénatrice très influente. Une journaliste de l’hebdomadaire américain « Newsweek » l’a rencontrée. Témoignage.
Reconnu coupable le 26 avril de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre, l’ancien président du Liberia Charles Taylor a été condamné ce 30 mai à 50 ans de prison par le TSSL. Il peut encore faire appel.
Charles Taylor a été reconnu coupable jeudi 26 avril de crimes par le Tribunal spécial pour la Sierra Leone. L’ancien président libérien devrait connaître dans quatre à huit semaines la durée de la peine à laquelle il sera condamné.
Le procès de l’ancien président du Libéria Charles Taylor devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL) est désormais terminé. L’ancien dictateur risque la prison à vie. Réponse d’ici à six mois.
L’ancien président libérien était l’ultime accusé à comparaître devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone. Des incidents ont émaillé les derniers jours d’audience.
Le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL) entre dans la dernière phase du procès de l’ex-président libérien Charles Taylor, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Le réquisitoire de l’accusation est prévu mardi et la plaidoirie de la défense mercredi.
Jeremy Ractliffe, l’homme à qui Naomi Campbell avait remis des diamants offerts par Charles Taylor, vient d’être inculpé pour possession illégale de ces diamants, qu’il a conservé dix années durant.
L’affaire du diamant offert à Naomi a-t-elle fait pschittt ? Convoquée contre son gré pour raconter comment elle aurait reçu un diamant brut de Charles Taylor en 1997 après un dîner chez Nelson Mandela, Naomi Campbell a sans doute plus servi la défense de l’ex-dictateur que l’accusation du procureur…
Entre Naomi Campbell et Charles Taylor, c’est l’histoire d’une rencontre improbable, avec Mandela dans le rôle de l’entremetteur. Début août, la top-modèle doit aller témoigner face à l’ex-président libérien jugé à La Haye pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Le Tribunal spécial pour la Sierra Leone, hébergé par la CPI, a donné son feu vert à l’audition du mannequin Naomi Campbell et de l’actrice Mia Farrow, comme le réclamait l’accusation de Charles Taylor. L’ex-président libérien est soupçonné d’avoir échangé des armes contre des diamants sierra-léonais, dont un spécimen aurait été offert à la belle.
Les avocats de Charles Taylor, l’ancien président du Libéria, ont demandé que Naomi Campbell ne soit pas présentée comme témoin dans le procès de leur client. Ils ont estimé que la présence du mannequin était « plus appropriée pour un film que pour une audience de tribunal ».
Un mannequin britannique, une célèbre actrice, l’ancien président le plus connu d’Afrique du Sud… Lors d’un repas les réunissant, Charles Taylor aurait offert un diamant brut à « La Panthère ».
L’ancien chef d’Etat du Libéria, Charles Taylor, a fermement démenti les accusations de « cannibalisme » lors de son procès à la Haye, où il est jugé pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité devant le tribunal Spécial pour la Sierra Leone.
L’ex-président du Liberia a clamé mardi son innocence devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL) à La Haye et nié avoir reçu des diamants en échange d’armes des rebelles sierra-léonais qu’il est accusé d’avoir dirigé en sous-main.
Le ministère de la justice du Liberia a ordonné, l’arrestation de l’ancien directeur des services de sécurité de l’ancien président Charles Taylor (SSS), Benjamin Yeaten, par ailleurs accusé de meurtres.
« Chuckie » Taylor, fils de l’ex-dictateur du Liberia Charles Taylor, a été condamné par une cour fédérale de Miami (Floride, sud-est) à 97 ans de prison pour tortures et assassinats dans ce pays d’Afrique de l’Ouest.
Le fils de l’ex-dictateur du Libéria, Charles Taylor, a été condamné vendredi par une cour fédérale américaine à 97 ans de prison, pour tortures et assassinats commis dans ce pays d’Afrique de l’Ouest.