Chokri Belaïd est un homme politique et un avocat tunisien. Né le 26 novembre 1964 à Djebel Jelloud, il était un fervent défenseur des droits de l’homme, et a souvent plaidé lors de procès politique sous le régime de l’ex-dirigeant tunisien Ben Ali. Après la révolution de 2011, il fonde son propre parti, le Mouvement des patriotes démocrates, légalisé le 12 mars 2011. Très critique à l’égard de l’islam intégriste, il est assassiné le 6 février 2013 à El-Menzah. Sa mort a déclenché de vives manifestations et une grave crise gouvernementale.
Onze personnes ont été condamnées à 14 ans de prison en Tunisie pour avoir participé à des manifestations après l’assassinat d’un opposant en 2013, au cours desquelles un poste de police avait été incendié, a indiqué jeudi une responsable judiciaire.
Les ministres de l’Intérieur et de la Justice tunisiens ont été auditionnés mardi 21 juin par l’Assemblée des représentants du peuple réunie en séance plénière. Objectif : avoir connaissance des dernières avancées concernant les affaires d’assassinat des députés de gauche Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi, abattus en 2013.
Des responsables politiques et proches de l’opposant tunisien Chokri Belaïd, assassiné en 2013, ont manifesté leur colère vendredi face aux « zones d’ombre » du dossier, à l’ouverture d’une nouvelle audience du procès dans lequel 24 personnes devaient être jugées.
Politiquement indépendant, le ministre de la Justice n’a pas manqué de faire entendre sa différence sur une série de sujets sensibles. Et a fini par en faire les frais.
Le pôle judiciaire tunisien de lutte contre le terrorisme a entendu lundi un animateur vedette qui affirme posséder des informations sur l’assassinat de deux opposants de gauche.
À la demande de la partie civile et de la défense, le tribunal a décidé mardi de reporter au 30 octobre le procès de 24 Tunisiens accusés d’être impliqués dans l’assassinat en 2013 de l’opposant tunisien Chokri Belaïd.
Devant le Palais de justice de Tunis s’est ouvert mardi le procès de 24 Tunisiens accusés d’être impliqués dans l’assassinat en 2013 de l’opposant tunisien Chokri Belaïd, farouche critique des islamistes.
Deux ans après l’assassinat du militant de gauche Chokri Belaïd, la vérité est loin d’être faite sur ce drame qui a profondément choqué les Tunisiens. Où en est l’enquête ?
La justice tunisienne a émis un mandat de dépôt à l’encontre d’un ancien responsable sécuritaire accusé d’être impliqué dans l’assassinat en 2013 de l’opposant de gauche Mohamed Brahmi, a indiqué samedi le porte-parole du Parquet de Tunis.
L’annonce par la branche libyenne du groupe terroriste État islamique de l’assassinat de deux journalistes libyens a été démentie vendredi par Tunis. Les images sanglantes précédemment diffusées dans les médias dateraient de 2013.
Le cadet des frères Kouachi, auteurs présumés de l’attentat contre « Charlie Hebdo », a longtemps été lié à Boubaker el-Hakim, figure réputée du jihadisme tunisien.
Abou Mouqatel (de son vrai nom Abou Bakr al-Hakim), un jihadiste tunisien recherché par les autorités, a revendiqué mercredi l’assassinat de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi, tués en 2013.
Au point mort depuis plusieurs mois, l’enquête sur les assassinats des opposants tunisiens Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi a connu une brusque accélération cette semaine avec l’arrestation d’un suspect et la mort d’un autre.
Des centaines de personnes ont rendu hommage samedi à l’opposant tunisien de gauche Chokri Belaïd, dont l’assassinat il y a un an avait provoqué une grave crise politique en Tunisie.
La Tunisie commémore jeudi l’assassinat, survenu il y a un an, de l’opposant de gauche Chokri Belaïd, deux jours après l’annonce de la mort de son assassin présumé.
Le ministre tunisien de l’Intérieur a annoncé mardi soir que Kamel Gadhgadhi, l’assassin présumé de l’opposant Chokri Belaïd, avait été tué lors d’une opération antiterroriste menée depuis la veille à Raoued, près de Tunis.
Un an après l’assassinat de l’opposant tunisien Chokri Belaïd, l’enquête est toujours au point mort. Sa veuve, Basma Khalfaoui, ne ménage pas les autorités chargées des investigations, en particulier les responsables du ministère de l’Intérieur. Interview.
Si l’arrestation, le 1er août à Annaba, en Algérie, d’Abou Iyadh, chef du groupe salafiste extrémiste tunisien Ansar el-Charia, est évoquée par des sources sécuritaires algériennes, les autorités tunisiennes multiplient elles aussi les coups de filet.
L´assassinat de l´opposant Mohamed Brahmi plonge la Tunisie dans une nouvelle crise politique. Le processus de transition, qui devait mener à des élections législatives et présidentielle, est-il menacé ?
Alors que l’onde de choc de l’assassinat de Mohamed Brahmi continue de se propager en Tunisie, le ministère de l’Intérieur a révélé les premiers éléments de l’enquête, vendredi 26 juillet. La même arme ayant servi contre Chokri Belaïd aurait été utilisée par les tueurs. Le nom d’un suspect a été rendu public.
Nourredine B’hiri, ministre conseiller du chef du gouvernement Ali Larayedh, a affirmé mercredi 24 juillet devant la presse que les commanditaires de l’assassinat de l’opposant Chokri Belaïd avaient été identifiés.
Si l’enquête sur l’exécution du leader de gauche en Tunisie a permis d’établir l’identité du tueur, lequel court toujours, le mystère reste entier quant à celle des donneurs d’ordre. Retour sur un crime politique entouré de zones d’ombre.
Deux mois après l’assassinat de Chokri Belaïd, les investigations pour retrouver les auteurs et les commanditaires du crime n’ont guère progressé. Une lenteur loin d’être justifiée pour certains. Le point sur l’enquête.
Un millier de Tunisiens se sont rassemblés dimanche à Tunis pour un lâcher de centaines de ballons à l’effigie de l’opposant tunisien assassiné Chokri Belaïd, à l’issue d’un deuil de quarante jours, a constaté dimanche un photographe de l’AFP.
Quelques milliers de personnes défilaient samedi à Tunis en scandant des slogans contre les islamistes au pouvoir pour marquer la fin d’un deuil de 40 jours après le meurtre de l’opposant Chokri Belaïd, un crime qui a exacerbé une crise politique et n’a pas été entièrement élucidé.
Par sa mesure, sa dignité et sa détermination, l’ex-épouse de Chokri Belaïd, assassiné le 6 février, a ému les Tunisiens et forcé leur respect. Portrait d’une militante décidée à poursuivre le combat pour les libertés.
D’après le Premier ministre, Ali Laarayedh, le meurtrier présumé de l’opposant tunisien Chokri Belaïd a été identifié mais reste en fuite. Quatre personnes soupçonnées d’être ses complices, qui appartiendraient à la « mouvance salafiste », ont par ailleurs été arrêtées.
Deux hommes soupçonnés du meurtre de l’opposant tunisien Chokri Belaïd ont été arrêtés, le 25 janvier, à Carthage, selon des sources policières. Selon ces dernières, les deux suspects, le tireur et son complice présumés, appartiendraient à la mouvance salafiste.