Cyril Ramaphosa

Réélu président d’Afrique du Sud pour un second mandat en juin 2024, Cyril Ramaphosa est à la tête d’un gouvernement d’union nationale. Ce format de coalition inédit accorde une grande place aux partis d’opposition. C’est la conséquence d’une perte de soutien historique de son parti, le Congrès national africain (ANC), lors des élections générales du 29 mai 2024. L’ANC a perdu la majorité absolue pour la première fois depuis sa prise de pouvoir en 1994 avec l’élection de Nelson Mandela. Ancien poulain de ce dernier, un temps pressenti pour lui succéder, Cyril Ramaphosa a dû attendre 2018 pour prendre le pouvoir en remplacement de Jacob Zuma, poussé vers la sortie par sa famille politique à cause de scandales de corruption.

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Le président sud-africain Cyril Ramaphosa appose son tampon sur les documents de la première expédition et du commerce préférentiel dans le cadre de l’accord sur la Zlecaf à Durban, le 31 janvier 2024. © Montage JA; REUTERS/Rogan Ward

Zlecaf : de grandes avancées symboliques, mais de nombreux défis à relever

Le président sud-africain Cyril Ramaphosa, lors du vote au Parlement au terme duquel il a été réélu, le 14 mai 2024. © Photo by WIKUS DE WET / AFP

Cyril Ramaphosa réélu président grâce à un accord entre l’ANC et la DA

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© Damien Glez

L’ultime pied de nez de Jacob Zuma ?

Le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, face aux nouveaux membres de l’ANC lors de sa campagne en vue des élections générales de 2024, dans le township de Chatsworth, au nord de Durban, le 14 mai 2023. © Rajesh JANTILAL / AFP

L’ANC a perdu sa majorité absolue en Afrique du Sud

Lors d’un meeting électoral de l’ANC. © Photo by Phill Magakoe / AFP

Élections en Afrique du Sud : Cyril Ramaphosa poussé à la démission ?

Vue générale du Royal Science and Technology Park, au royaume d’Eswatini. © Royal Science and Technology Park

« Swazi Secrets » : l’Eswatini, plaque tournante de la « Gold Mafia » ?