Réélu président d’Afrique du Sud pour un second mandat en juin 2024, Cyril Ramaphosa est à la tête d’un gouvernement d’union nationale. Ce format de coalition inédit accorde une grande place aux partis d’opposition. C’est la conséquence d’une perte de soutien historique de son parti, le Congrès national africain (ANC), lors des élections générales du 29 mai 2024. L’ANC a perdu la majorité absolue pour la première fois depuis sa prise de pouvoir en 1994 avec l’élection de Nelson Mandela. Ancien poulain de ce dernier, un temps pressenti pour lui succéder, Cyril Ramaphosa a dû attendre 2018 pour prendre le pouvoir en remplacement de Jacob Zuma, poussé vers la sortie par sa famille politique à cause de scandales de corruption.
Placées entre l’enclume de l’explosion de la facture énergétique et le marteau de la colère sociale encourue face à l’augmentation des prix, les compagnies nationales d’électricité de notre classement des 500 Champions africains avancent en terrain miné.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa, englué depuis des mois dans un scandale lié à la découverte d’argent dans son canapé, est dédouané par un rapport préliminaire ayant fuité dans la presse. Mais une enquête de la police reste en cours.
À la suite du séisme qui, le 6 février, a frappé le sud-est de la Turquie, la plupart des États africains ont exprimé leur compassion et apporté une aide matérielle à Ankara. Un élan de solidarité qui traduit la réussite d’une diplomatie turque très active sur le continent.
À près d’un an des élections générales en Afrique du Sud, le président a effectué un timide remaniement ministériel pour satisfaire ses alliés et tenter de rassurer les électeurs.
Ingénieur de formation et ancien maire de Pretoria, Kgosientsho Ramokgopa a été nommé ministre de l’Électricité. L’Afrique du Sud a connu plus de 200 jours de délestage en 2022.
Géologue de formation, le PDG veut redonner une nouvelle jeunesse à la ceinture de cuivre sud-africaine laissée en friche. Il revendique « un capitalisme avec une conscience » alors que son entreprise s’apprête à entrer en Bourse.
Le 36e sommet de l’Union africaine se tient les 18 et 19 février à Addis-Abeba. De nombreux dirigeants font le déplacement, certains pour pousser leurs dossiers auprès du futur président de l’organisation, Azali Assoumani.
Avant son départ de la direction générale, André de Ruyter a, lors de la conférence annuelle Mining Indaba, délivré un diagnostic sans concession en guise de testament. Selon lui, le contexte délétère au sein d’Eskom et l’urgence de la situation énergétique imposent de boucler au plus vite de profondes réformes sectorielles.
En un mois seulement, Washington, Moscou et Pékin ont tous dépêché des émissaires sur le continent. Si objectifs et stratégies diffèrent, le but est, aussi, de contrer l’influence de « l’ennemi ».
Après une année 2022 catastrophique marquée par plus de 200 jours de délestages, les coupures de courant se poursuivent et fragilisent le chef de l’État. Au point qu’il a dû annuler son voyage à Davos.
La visite du ministre russe des Affaires étrangères en Afrique du Sud lance une année riche en coopérations entre Pretoria et Moscou, au grand dam de ceux qui souhaitent isoler la Russie depuis son invasion de l’Ukraine.
Alors que les coupures électriques empoisonnent les Sud-Africains, des partis et un syndicat menacent le gouvernement de poursuites devant les tribunaux. Peut-être un modèle à suivre…
Miné par des accusations de corruption, Jacob Zuma, l’ancien président sud-africain, se tourne vers son clan pour défendre ses intérêts. Et plusieurs de ses membres n’ont pas leur langue dans la poche…
Réputé proche de Paul Biya, le président de l’Assemblée nationale a déclaré, le 11 janvier, le vol de 85 millions de francs CFA, dissimulés à son domicile de Tokombéré, dans l’Extrême-Nord. Mais d’où venait l’argent ?
Englué dans un scandale, on l’imaginait démissionner il y a quelques semaines. Le président s’octroie finalement un second mandat, et part en position favorable pour les élections générales de 2024.
Le chef de l’État se présente pour un second mandat à la présidence du Congrès national africain, malgré un bilan contestable et la menace que fait peser sur lui une affaire de corruption.
Le chef de l’État sud-africain est accusé d’avoir caché à la police et au fisc un cambriolage. Une affaire pas assez grave pour le pousser à la démission, estime l’Assemblée nationale. Son parti, l’ANC, doit choisir cette semaine un candidat pour l’élection générale de 2024.
Déstabilisé par un scandale impliquant de mystérieuses sommes d’argent en liquide, le président sud-africain voit son avenir politique suspendu au possible lancement d’une procédure de destitution mardi, avant un vote de l’ANC en vue d’un second mandat.
Affaibli par une affaire d’argent dissimulé dans sa ferme de Phala Phala, le chef de l’État a envisagé de quitter son poste après la publication d’un rapport d’enquête. Mais son entourage l’a convaincu de contre-attaquer.
Un rapport parlementaire accusant le président sud-africain de corruption ouvre la voie à une procédure de destitution au sein de l’ANC. S’il semble décidé à se battre jusqu’au bout pour conserver son poste, Cyril Ramaphosa n’a jamais été en situation aussi périlleuse.
La libération conditionnelle de l’ex-président sud-africain l’an dernier pour raison de santé est contraire à la loi, a estimé lundi 21 novembre une cour d’appel.
Parmi les candidats à la présidence du Congrès national africain (ANC), Cyril Ramaphosa affrontera son ancien ministre de la Santé. Évincé du gouvernement par le président, Zweli Mkhize espère prendre sa revanche.
Au rendez-vous indonésien des pays aux économies les plus développées, l’Union africaine plaide, une nouvelle fois, pour une intégration permanente du continent.
Liquidation de la société du milliardaire en Afrique du Sud, interventions des présidents Paul Biya et Macky Sall, inquiétudes des ambassades à Yaoundé, réponse de MTN et de Colin Mukete, président de son conseil d’administration… JA livre d’autres détails de ce dossier hors normes.
Libre depuis le 7 octobre, l’ex-président sud-africain règle ses comptes avec la justice, la presse et son successeur, Cyril Ramaphosa. Il envisage même un retour en politique.
«Trahison », «corrompu » : à l’approche d’un congrès de l’ANC crucial pour la présidentielle de 2024, l’ex-président Jacob Zuma a sévèrement attaqué son successeur Cyril Ramaphosa.
À l’occasion du vingtième congrès du PCC, l’ANC au pouvoir et les radicaux de l’EFF réaffirment leur amitié avec le régime de Pékin, dont ils admirent la réussite économique.
La comtesse de Wessex était à Bukavu, mais lorsqu’un membre de la famille royale britannique rencontre un médecin congolais en territoire africain, la star n’est pas celle que l’on croît…