Cyril Ramaphosa

Réélu président d’Afrique du Sud pour un second mandat en juin 2024, Cyril Ramaphosa est à la tête d’un gouvernement d’union nationale. Ce format de coalition inédit accorde une grande place aux partis d’opposition. C’est la conséquence d’une perte de soutien historique de son parti, le Congrès national africain (ANC), lors des élections générales du 29 mai 2024. L’ANC a perdu la majorité absolue pour la première fois depuis sa prise de pouvoir en 1994 avec l’élection de Nelson Mandela. Ancien poulain de ce dernier, un temps pressenti pour lui succéder, Cyril Ramaphosa a dû attendre 2018 pour prendre le pouvoir en remplacement de Jacob Zuma, poussé vers la sortie par sa famille politique à cause de scandales de corruption.

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L’ancien président sud-africain Jacob Zuma, le 15 octobre 2019. © MICHELE SPATARI/AFP

Afrique du Sud : entre Zuma et Ramaphosa, le duel qui fragilise l’ANC

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Ngozi Okonjo-Iweala, alors ministre de l’Économie et des Finances, au Forum sur le partenariat entre l’Afrique et la France, à Bercy le 6 février 2015. © Bruno Levy pour JA

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Le président français Emmanuel Macron et le président rwandais Paul Kagame, le 23 mai 2018, à l’Élysée. © Julien Mattia/NurPhoto/AFP

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Depuis février, Eskom rationne l’électricité à travers tout le pays, plongeant dans le noir à tour de rôle, des bureaux, des usines ou des habitations. Ici un bâtiment de Johannesburg en février 2008 (Photo d’illustration) © DENIS FARRELL/AP/SIPA

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Le président sud-africain  Cyril Ramaphosa, en octobre 2019. © Themba Hadebe/AP/SIPA

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