Ce 25 avril à Abidjan, Alassane Ouattara a dressé le bilan de l’action gouvernementale, se félicitant des résultats obtenus. Cette année, il n’a pas fait d’annonces majeures.
Après le décès de son Premier ministre et dauphin désigné, Amadou Gon Coulibaly, le président ivoirien s’est finalement résolu à briguer un troisième mandat. Histoire secrète d’un revirement qui s’annonce lourd de conséquences.
Le secrétaire général de la présidence ivoirienne a annoncé ce 13 juillet la démission de Daniel Kablan Duncan. Voici pourquoi le vice-président a quitté son poste.
Creusets du pouvoir politique et économique, ils nourrissent bien des fantasmes. Car leurs membres, au-delà de l’action caritative, ont surtout l’assurance de frayer avec ceux qui comptent… Bienvenue au club !
Le vice-président ivoirien, Daniel Kablan Duncan, le secrétaire général de la présidence, Patrick Achi, ainsi que quatre autres figures du parti d’Henri Konan Bédié ont été exclus temporairement du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).
Pour Henri Konan Bédié, la création du RHDP en tant que parti politique signerait la mort du PDCI-RDA. Daniel Kablan Duncan, qui a lancé dimanche 23 décembre un nouveau mouvement dénommé PDCI-Renaissance, pense visiblement le contraire.
Dès le 8 juillet, Alassane Ouattara, Daniel Kablan Duncan et Amadou Gon Coulibaly étaient tous trois à la manœuvre pour préparer le remaniement ministériel du 10 juillet.
Au moins 19 personnes sont mortes suite à de graves intempéries et aux inondations de grande ampleur qui ont causé également d’importants dégâts matériels.
L’annulation par Henri Konan Bédié d’un meeting prévu samedi 26 mai à Daoukro, reporté sine die, est un signe de plus de la tension sans cesse croissante au sein du PDCI autour de la question du parti unifié, dans la perspective de la présidentielle 2020.
Le parti unifié de la mouvance présidentielle dont la création avait été annoncée par le président Alassane Ouattara, pour « avant la fin 2017 » n’a toujours pas vu le jour en Côte d’Ivoire. Cependant, les choses se précisent, en dépit de quelques réticences de fond et de forme.
Cette nouvelle institution, dont la création a fait polémique, entrera en fonction le 10 avril prochain, une première dans l’histoire de la Côte d’Ivoire. Elle devrait laisser peu de place à l’opposition.
Nommé vice-président en janvier 2017, l’ex-Premier ministre et fidèle compagnon de route d’Alassane Ouattara, peut compter sur un cercle de fidèles pour continuer à peser sur la politique ivoirienne. Voici ses cinq principaux alliés.
Jamais Henri Konan Bédié n’a autant mérité son surnom de Sphinx : il multiplie les coups d’éclat et les déclarations contraires, laissant entrevoir à chacun des possibilités d’alliance… Quitte à alimenter les soupçons pour les élections de 2020 en Côte d’Ivoire.
Entre ceux qui veulent s’allier au RDR de Ouattara et ceux qui craignent de voir leur parti disparaître, avec la création en décembre 2017 du parti unique RHDP, le fossé se creuse dans la vie politique ivoirienne et au sein du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).
Pour leur deuxième édition, les Rencontres Africa se sont transportées en Côte d’Ivoire, où Paris bénéficie du soutien des autorités pour faire la promotion d’une coopération économique renforcée entre les entreprises des deux pays.
Après six mois d’exercice conjoint entre le chef de l’État Alassane Dramane Ouattara, son vice-président Daniel Kablan Duncan et le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, la distribution des rôles et des dossiers semble claire. Même si elle n’est pas sans réserver quelques surprises.
Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) compte désigner dès l’an prochain son candidat pour la présidentielle de 2020. Qui, parmi ses membres, serait susceptible d’obtenir l’investiture ? Jeune Afrique vous propose un rapide passage en revue.
Mi-janvier, Daniel Kablan Duncan quittait la primature pour la vice-présidence, un poste aux contours flous. A-t-il accepté, en fidèle compagnon du chef de l’État ivoirien, Alassane Ouattara, une retraite dorée aux pouvoirs limités ? Ou compte-t-il, en fin stratège, peser au sommet de l’État, voire en prendre un jour la tête ?
La croissance en Afrique subsaharienne a atteint 1,6% en 2016, « son plus bas niveau depuis six ans », s’est alarmé, mardi 4 avril à Abidjan, le vice-président ivoirien Daniel Kablan Duncan, déplorant « un essoufflement des économies du continent ».
Alors que se tient la 14e conférence annuelle de l’African Private Equity and Venture Capital Association (Avca), organisée du 3 au 7 avril à Abidjan, sa directrice générale Michelle Kathryn Essomé décrypte la métamorphose de ce secteur et ses défis.
Daniel Kablan Duncan vice-président, Amadou Gon Coulibaly Premier ministre. Pour diriger le pays, Ouattara a choisi deux hommes qui n’ont pas grand-chose en commun, si ce n’est leur fidélité à son égard. Portraits croisés.
La grève des fonctionnaires ivoiriens déclenchée depuis le 9 janvier s’est poursuivie mardi 24 janvier. Les protestataires souhaitent désormais rencontrer le président Alassane Ouattara.
Sur le plan politique, l’année 2017 a commencé à se mettre en place. Mais c’est le 20 janvier, demain, qu’elle prendra son vrai départ : sont annoncés, pour ce jour-là et les suivants, des événements qui devraient lui donner sa tonalité.