Le général Djibrill Bassolé, l’un des auteurs présumés du putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso, a refusé lundi au procès d’évoquer les écoutes téléphoniques, pièce maîtresse du dossier d’accusation.
Au deuxième jour de sa comparution dans le procès du putsch manqué de 2015 au Burkina, le général Djibrill Bassolé, qui a plaidé non coupable, a notamment insisté sur « la totale déconnexion de ses activités privées » avec les faits qui sont lui reprochés.
Au premier jour de sa comparution dans le procès du putsch manqué de 2015 au Burkina, le général Djibrill Bassolé a contesté les faits qui lui sont reprochés. Ses avocats ont notamment remis en cause l’authenticité du rapport d’expertise sur les conversations téléphoniques qu’il aurait eues avec Guillaume Soro.
Le général Djibrill Bassolé, soupçonné d’être l’un des cerveaux du coup d’État manqué de 2015 au Burkina Faso, a plaidé « non coupable » jeudi, lors de sa première comparution au procès.
Au troisième jour de sa comparution dans le procès du putsch manqué de 2015 au Burkina Faso, le général Gilbert Diendéré a mis en cause les chefs de l’armée qui ont témoigné contre lui le 28 novembre devant le tribunal militaire de Ouagadougou.
Alors que se poursuit le procès des 84 coaccusés soupçonnés d’être les cerveaux du putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso, Me Yérim Thiam, l’un des avocats de Léonce Koné, Hermann Yaméogo et du général Djibrill Bassolé, assure à Jeune Afrique que ses clients sont innocents.
Tempête dans un verre d’eau ? Le tout Ouaga estival débat de la décision d’interdire la pétanque à l’un des accusés dans le procès du putsch manqué de 2015. Dans les forums de la presse, on convoque tout à la fois les éléments de langage politiciens, les conseils de santé et les notions de haute sécurité…
Cité comme témoin dans le procès des généraux Gilbert Diendéré et Djibrill Bassolé, pour le coup d’État manqué de 2015, l’ancien président béninois Thomas Boni Yayi a demandé aux juges burkinabè de se rendre chez lui, à Cotonou, s’ils souhaitent l’auditionner.
Le général Diendéré a été hospitalisé samedi 2 mai à la Polyclinique internationale de Ouagadougou à la suite d’un malaise. Son état n’inspire toutefois pas d’inquiétude aux médecins et il devait regagner la Maison d’arrêt et de correction des armées (Maca) dès ce mardi.
Déjà plusieurs fois suspendu, le procès du général Gilbert Diendéré, cerveau présumé de la tentative de coup d’État à Ouagadougou en 2015 et de ses 83 coaccusés a de nouveau été reporté jeudi 14 juin. La prochaine audience est fixée au 29 juin.
Trois ans après sa création, le parti rêve de s’imposer dans les urnes. Mais il doit pour l’instant compter sans son fondateur, Djibrill Bassolé, poursuivi pour trahison.
Le procès des putschistes qui s’est s’ouvert mardi à Ouagadougou a été aussitôt suspendu. Les avocats de la défense ont quitté la salle, arguant d’irrégularités, et le tribunal n’a pas pu se constituer. La reprise des audiences n’est pas prévue avant plusieurs jours. Les parties civiles dénoncent une « manœuvre dilatoire ».
Le procès dans lequel doivent être jugés 84 personnes poursuivies pour leur implication présumée dans le coup d’État manqué du 16 septembre 2015, s’ouvre ce mercredi 21 mars, après un premier report. Si le procès divise l’opinion, il devra toutefois éclaircir l’avenir politique des dignitaires de la famille politique de l’ex-président Blaise Compaoré.
La date de l’ouverture du procès du général Gilbert Diendéré et de ses 83 coaccusés, auteurs présumés du putsch manqué de septembre 2015, a été fixée au 27 février. Les présumés putschistes devront répondre, notamment, d’« atteinte à la sûreté de l’État », de « trahison » et de « meurtre ».
Poursuivi par la justice militaire pour « trahison » et « collusion avec une puissance étrangère » dans le cadre de l’enquête sur le coup d’État manqué de septembre 2015, Djibrill Bassolé a été désigné candidat à la présidentielle de 2020 par son parti.
L’audience de mise en accusation des 107 inculpés dans le procès du putsch manqué conduit par le général Gilbert Diendéré en septembre 2015 s’est ouverte ce mercredi 25 octobre 2017 à Ouagadougou. On saura à l’issue des débats, qui pourraient durer plusieurs jours, si les charges sont confirmées ou non.
Remis en liberté provisoire pour raisons médicales, Djibrill Bassolé a été assigné à résidence à Ouagadougou. Ses avocats, qui estiment que son sort ne lui permet pas de se soigner correctement, ont déposé un nouveau recours devant le Groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations unies.
Poursuivi par la justice militaire burkinabè pour « trahison » et « collusion avec une puissance étrangères » dans l’enquête sur le putsch raté de 2015, le général Djbrill Bassolé a bénéficié mardi d’une liberté provisoire, avant de se voir assigné en résidence surveillée sur requête du procureur militaire. Une décision qui, d’un côté, soulage ses partisans et sa famille, mais qui fait fulminer la société civile.
Après moult tractations dans la nuit de mercredi 11 au jeudi 12 octobre au tribunal militaire, Djibrill Bassolé a été placé en résidence surveillée. Ses proches dénoncent « l’enlèvement » de celui qui est poursuivi pour « trahison et collusion avec une puissance étrangère » dans l’enquête sur le coup d’État manqué de septembre 2015.
Le général Djibrill Bassolé, incarcéré à la maison d’arrêt et des corrections des armées (Maca) depuis plus de deux ans pour son implication présumée dans le putsch raté de septembre 2015, a été mis en liberté provisoire mardi 10 octobre, selon ses avocats.
Au Burkina Faso, le juge d’instruction en charge de l’enquête sur le coup d’État raté du général Gilbert Diendéré a finalement inculpé l’ancien ministre des Affaires étrangères de « trahison ». Une décision qui soulage ses avocats pour qui Bassolé « n’a rien à craindre dans ce dossier ».
Djibrill Bassolé, ex-ministre burkinabé des Affaires étrangères, a écrit une lettre à Emmanuel Macron où il lui demande une autorisation pour venir se faire soigner en France.
Dans un rapport rendu public début juillet, le groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire demande la « libération immédiate » de Djibrill Bassolé. Son avocat, Me Varaut, espère désormais que les autorités burkinabè vont se plier à cette requête.
Après s’être employé à restaurer la confiance des partenaires, le chef de la diplomatie burkinabè, Alpha Barry, continue de les mobiliser autour des défis sécuritaires, démocratiques et économiques que doit relever le pays.
Selon nos informations, 107 personnes ont été inculpées par le juge d’instruction en charge de l’enquête sur le putsch raté de mi-septembre 2015 du général Gilbert Diendéré. Le procès concernant ce dossier n’est toutefois pas attendu avant la fin de l’année.
Le tribunal militaire de Ouagadougou a prononcé, ce jeudi, des peines allant de 3 mois à 17 ans contre des soldats, reconnus coupables de l’attaque d’un dépôt d’armes en janvier 2016. Ces armes devaient leur permettre de libérer plusieurs détenus de la Maison d’arrêt et de correction des armées.
Fin septembre 2016, la justice militaire burkinabè avait demandé à l’expert allemand Hermann Künzel d’analyser les enregistrements téléphoniques présumés mettant en cause Djibrill Bassolé, l’ex-ministre de Blaise Compaoré, et Guillaume Soro, le président de l’Assemblée nationale ivoirienne, dans la tentative de coup d’État de septembre 2015.
Incarcéré depuis septembre 2015, l’ancien ministre burkinabè souffre de sérieux problèmes cardiaques. Mais il peut désormais compter sur le soutien de l’opposition.