Donald Kaberuka est un économiste rwandais, spécialiste de la finance internationale. Il a été ministre des Finances et de la Planification économique du Rwanda de 1997 à 2005. Le 21 juillet 2005, il est élu à la tête de la Banque africaine de développement (BAD). Il est réélu en mai 2010 et laisse sa place le 1er septembre 2015 au Nigérian Akinwumi Adesina, élu quelques mois plus tôt.
Cette juriste bissau-guinéenne est l’une des chevilles ouvrières de la politique anticorruption de la Banque africaine de développement. En dépit de grandes ambitions, son efficacité en matière d’éthique et de lutte contre les fraudes fait débat.
L’émirat, qui oriente une partie de ses investissements subsahariens depuis le Maroc, planche sur une nouvelle structure dédiée au financement des infrastructures dans ces marchés.
Le 18 mai, Emmanuel Macron organise à Paris un sommet sur le financement des économies africaines, mises à mal par la crise sanitaire. Quel dirigeants y assisteront, et quelles seront les questions abordées ?
Aux côtés de ses deux fondateurs, SouthBridge s’appuie sur une vingtaine de jeunes recrues souvent issues de grandes écoles parisiennes et débauchées de chez des firmes plus établies.
Destiné à recueillir et à placer les profits de tous les établissements publics qui en généreront, le fonds doit être doté de 1,5 milliard de dollars d’ici dix ans.
L’émir du Qatar a lancé une offensive en Afrique, où son pays souhaite accroître ses investissements. Après s’être longtemps appuyé sur les Marocains, il compte aujourd’hui sur plusieurs personnalités influentes pour lui ouvrir les portes du continent.
Les États africains signataires de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zleca) ne peuvent faire l’économie d’une discussion sur les enjeux environnementaux, cruciaux pour assurer un vrai développement durable.
Après avoir réussi son expansion sectorielle, le conglomérat lance un fonds ouvert aux capitaux extérieurs. Sa cible : des leaders nationaux pouvant s’étendre en Afrique de l’Est.
Le conseil d’administration de ce fonds s’est réuni pour la première fois, ce week-end à Addis-Abeba, en marge du sommet extraordinaire de l’Union africaine (UA). Il doit permettre, à terme, de financer 25% des opérations de soutien à la paix entreprises par l’organisation continentale.
En marge du 30e sommet des chefs d’État de l’Union africaine (28-29 janvier), l’économiste rwandais Donald Kaberuka, membre du comité pilote mis en place en 2016 pour réfléchir à la réforme – notamment financière – de l’institution panafricaine, juge significatifs les progrès réalisés à l’issue de cette réunion continentale.
Malgré la crise des matières premières, le continent continue d’attirer les investisseurs. Mais si les progrès enregistrés sont une réalité pour une minorité, ils restent un mirage pour beaucoup. En cause : une démographie galopante et une gouvernance pas toujours à la hauteur des enjeux.
Union africaine, projet d’électrification de Borloo… L’ex-patron de la BAD ne manque pas de sollicitations. Pour l’heure, il continue de dispenser ses conseils aux institutions comme aux entreprises.
Le conglomérat kényan, dont le principal actionnaire est le tycoon Chris Kirubi, a sollicité l’expertise de l’ancien président de la BAD dans la cadre de son expansion à l’est et à l’ouest du continent.
En attendant le sommet d’Addis-Abeba de janvier 2017, qui devrait décider de l’identité du prochain président de la Commission de l’UA, celui de Kigali, fin juillet, a rebattu les cartes.
L’adoption des modalités de financement de l’UA par ses pays membres (les trois quarts de son budget dépendent aujourd’hui des bailleurs de fonds internationaux) a été l’une des décisions les plus importantes de son 27e sommet, du 10 au 18 juillet à Kigali.
La course à la présidence de la Commission de l’Union africaine (UA), qui se conclura en janvier, à Addis-Abeba, pourrait encore réserver des surprises.
Les chefs d’État devraient entériner lors du sommet de l’Union africaine le principe d’une taxe de financement qui permettrait à l’institution panafricaine de ne plus reposer sur les aides extérieures.
Lancé par la BAD en 2013, ce fonds dévolu aux infrastructures peine à décoller. Son nouveau directeur général, un Camerounais venu de l’IFC, saura-t-il activer la machine ?
L’économiste rwandais avait à peine quitté la présidence de la BAD qu’il enseignait à Harvard. Aujourd’hui, il entre chez l’un des plus grands capital-investisseurs.
A peine parti de la Banque africaine de développement, le Rwandais Donald Kaberuka donnera jusqu’au printemps 2016 des conférences sur les questions de développement dans la prestigieuse université américaine Harvard.
Absence de grands contributeurs comme l’Algérie ou l’Afrique du Sud, erreurs de communication, vision hésitante de la nature des participations futures… Le lancement du fonds Africa50, initié par la Banque africaine de développement et domicilié à Casablanca, a connu un démarrage poussif. Explications.
Les 80 gouverneurs de la Banque africaine de développement, réunis ce jeudi 28 mai à Abidjan, ont choisi Akinwumi Adesina pour succéder au Rwandais Donald Kaberuka à la présidence de l’institution panafricaine. Huit personnalités africaines s’étaient portées candidates à ce poste.
Donald Kaberuka, qui quitte bientôt la présidence de la Banque africaine de développement (BAD), laisse une institution financièrement solide, mais a été accusé d’avoir délaissé les pays francophones au profit des anglophones.
L’ancien ministre français Jean-Louis Borloo est à la recherche d’une personnalité africaine de premier plan pour diriger l’agence chargée de piloter son projet d’électrification du continent. En tête de liste : le Rwandais Donald Kaberuka, président de la BAD, qui quittera son poste en septembre. Reste à convaincre Kigali.
Lorsqu’il quittera le poste de président de la Banque africaine de développement, en septembre prochain, que fera Donald Kaberuka, jeune retraité d’à peine 63 ans ?
Après deux mandats, le rwandais Donald Kaberuka cède sa place à la tête de la Banque africaine de développement. Huit candidats sont en lice. « Jeune Afrique » vous les fait découvrir.
Le comité directeur du conseil des gouverneurs de la Banque africaine de développement vient de publier la liste des huit candidats à la succession de la Donald Kaberuka à la présidence de l’institution panafricaine.
L’économiste Makhtar Diop devait être le candidat de Dakar à la présidence de la Banque africaine de développement. Mais alors qu’il avait de grandes chances de l’emporter, il a décidé jeter l’éponge. Pourquoi ?