Donald Kaberuka est un économiste rwandais, spécialiste de la finance internationale. Il a été ministre des Finances et de la Planification économique du Rwanda de 1997 à 2005. Le 21 juillet 2005, il est élu à la tête de la Banque africaine de développement (BAD). Il est réélu en mai 2010 et laisse sa place le 1er septembre 2015 au Nigérian Akinwumi Adesina, élu quelques mois plus tôt.
Makhtar Diop n’est plus le vice-président Afrique de la Banque mondiale. Affecté au poste de vice-président et conseiller spécial auprès de la directrice générale, l’ancien ministre des Finances du Sénégal « souhaite évaluer ses opportunités professionnelles », dont le prolongement se situe peut-être du côté d’Abidjan, à la tête de la BAD.
Donald Kaberuka s’est installé cette semaine à Abidjan, marquant ainsi le retour de la Banque africaine de développement à son siège statutaire, en Côte d’Ivoire, après une délocalisation de onze ans à Tunis.
En 2015, le président de la BAD achèvera son second mandat de cinq ans. Retour sur le parcours de cet économiste qui a su redonner une crédibilité internationale à la Banque africaine de développement.
Donald Kaberuka, à la tête de la Banque africaine de développement (BAD), termine son dernier mandat en 2015. Parmi les candidats à sa succession figure le tunisien Jalloul Ayed, ancien ministre des Finances.
Interrogé en marge de la deuxième édition du Africa CEO Forum, qui se tient du lundi 17 au mercredi 19 mars à Genève, le président de la Banque africaine de développement est revenu sur les grands enjeux de cette rencontre qu’elle coorganise.
Donald Kaberuka, le président de la Banque africaine de développement (BAD), a décidé de faire le ménage parmi les équipes chargées du retour de l’institution à son siège statutaire, à Abidjan.
Pour la première édition de leur nouveau rendez-vous mensuel, le Grand invité de l’économie, Jeune Afrique et RFI ont interrogé le président de la Banque africaine de développement, Donald Kaberuka.
Pour que la croissance certaine du continent profite au plus grand nombre, le banquier de l’Afrique appelle à une transformation en profondeur des structures économiques. L’occasion, aussi, de faire le bilan de 2012 et d’esquisser des pistes pour l’année qui s’ouvre.
Ahmad Mohamed Ali Al-Madani est président de la Banque islamique de développementDonald Kaberuka (photo) est président de la Banque africaine de développementHaruhiko Kuroda est président de la Banque asiatique de développementThomas Mirow est président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développementLuis Alberto Moreno est président de la Banque interaméricaine de développementRobert B. Zoellick est président du Groupe de la Banque mondiale Voilà quatre ans que nous sommes plongés dans la Grande Récession. Pour l’instant, les pays membres de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) ont résisté à la tentation d’un protectionnisme généralisé qui aurait aggravé une situation déjà tendue. Mais la pression augmente alors que les sirènes du nationalisme économique résonnent de plus en plus auprès de dirigeants politiques fatigués.
Dans un accord signé avec les autorités ivoiriennes le 27 novembre, le président de la Banque africaine de développement (BAD) Donald Kaberuka précise les conditions du retour de l’institution à Abidjan.
Solidarité Sud-Sud, partenaires asiatiques, négociations de contrats et implication de l’État… Le président de la Banque africaine de développement esquisse des solutions pour le continent.
Tunisie, Égypte, Libye, Côte d’Ivoire… Le patron de la BAD livre son analyse des événements qui secouent l’Afrique, détaille ses priorités et explique pourquoi il demeure confiant dans l’avenir.
Les assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) qui se sont tenues à Abidjan, du 27 au 28 mai, ont été l’occasion de réélire Donald Kaberuka à la tête de l’institution. Et de discuter de certaines médiations brûlantes.
Soutenu par la plupart des 76 actionnaires de la Banque africaine de développement, Donald Kaberuka est assuré d’être reconduit à la tête de l’institution, faute d’autre candidats.
Donald Kaberuka, le président de la Banque Africaine de Développement ( BAD), estime que pour lutter contre la crise en Afrique, l’institution nécessite une augmentation de capital de 200%.
À la veille des assemblées annuelles de Dakar et alors que le continent est frappé de plein fouet par le tsunami financier venu de Wall Street, le patron de la BAD explique pourquoi il demeure, malgré tout, confiant dans l’avenir.
Candidat à la succession d’Omar Kabbaj à la tête de la Banque africaine de développement, l’argentier rwandais estime qu’il faut donner une nouvelle impulsion à l’institution continentale.