Né en 1946, Donald Trump hérite de l’empire immobilier paternel après ses études. Il investit dans les résidences de luxe, les casinos, les terrains de golf et devient une figure médiatique, notamment grâce à son émission de téléréalité The Apprentice dans les années 2000. Un temps inscrit au Parti démocrate en signe de protestation contre la présidence de George W. Bush, il revient au Parti républicain en 2009. Très critique de Barack Obama, il remporte les primaires républicaines en 2016. Adversaire virulent du politiquement correct, il mène une campagne populiste sur les réseaux sociaux et entre à la Maison-Blanche en janvier 2017. Sa présidence conservatrice est marquée par de nombreuses controverses, des réformes économiques et fiscales, et une politique de restriction migratoire.
En 2024, après une campagne axée sur l’économie, la sécurité et une critique de la présidence de Joe Biden, Donald Trump remporte la présidence pour un second mandat, devenant ainsi le premier président depuis Grover Cleveland à revenir au pouvoir après une interruption. Sa victoire marque un tournant pour le Parti républicain et une réaffirmation de son influence politique sur la scène nationale.
En quelques minutes d’un discours inspiré, dimanche, Oprah Winfrey est devenue la favorite d’Hollywood et de ses fans pour battre Donald Trump en 2020. Mais certains s’inquiètent d’une prime sans cesse plus grande au vedettariat, au détriment de l’expérience politique.
Que reste-t-il du vent de contestation populaire qui s’est levé en 2011 dans les pays arabes, du Maroc au Yémen ? Alors que les rêves de changement ont été balayés par des crises politiques profondes et par l’hydre jihadiste, l’heure est à la « reprise en main » contre-révolutionnaire.
Des millions de chrétiens dans le monde s’apprêtent dimanche à fêter Noël, comme à Bethléem, lieu de naissance du Christ selon la tradition chrétienne, où les célébrations sont néanmoins assombries par la tension autour de la reconnaissance américaine de Jérusalem comme capitale d’Israël.
Le département du Trésor américain a décidé d’imposer une série de sanctions à 15 personnalités, en raison d’atteintes répétées aux droits de l’homme. L’ancien président gambien et l’homme d’affaires israélien proche de Joseph Kabila sont visés.
À la veille du premier anniversaire de l’arrivée du président Trump à la Maison-Blanche, la stratégie africaine de son administration reste toujours aussi illisible.
Entre coups de sang et respect des promesses de campagne les plus incongrues, le président américain, Donald Trump semble gérer sa stratégie de politique étrangère à vue. À l’heure du premier bilan d’étape, la question africaine ne s’invite que sur la pointe des pieds dans l’agenda de la Maison-Blanche.
Un secrétaire d’État américain déjà poussé vers la sortie et un gendre idéal soupçonné de connivence avec la Russie. À Washington, les sièges éjectables sont parés. Avec Donald Trump, le doigt sur le bouton.
Terrorisme, opérations de maintien de la paix, déplacement des populations… Le secrétaire général des Nations unies, en poste depuis un an, est conscient de la difficulté de sa mission, mais convaincu que l’ONU a encore un rôle important à jouer dans ces domaines. Entretien.
En reconnaissant Jérusalem comme capitale d’Israël, mercredi 6 décembre, Donald Trump a provoqué une vague de colère au Moyen-Orient qui ne se calme pas. Ce vendredi 15 décembre, à nouveau, le Hamas a appelé à des manifestations. Professeur de philosophie à l’université de Paris-Créteil, Ali Benmakhlouf interroge le rapport du président des États-Unis à cette « réalité » qu’il invoque pour asseoir sa décision.
Tous les trois sont des hommes neufs : ils se sont hissés au pouvoir suprême dans leurs pays respectifs il y a moins d’un an. Depuis, les médias du monde entier accordent à leurs moindres faits et gestes une attention toute particulière. Pas un jour ne passe sans que se révèle quelque chose de nouveau et d’intéressant sur eux.
Lors du sommet extraordinaire de l’Organisation de la coopération Islamique (OCI), à Istanbul, les leaders musulmans ont appelé la communauté internationale à reconnaître Jérusalem-Est comme capitale d’un État palestinien en riposte à la décision de Trump de considérer la ville sainte comme capitale d’Israël.
Cinq jours après la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, la colère continue de gronder au Moyen-Orient et au Maghreb où se multiplient les grands rassemblements, comme ce dimanche à Rabat.
Donald Trump a plaidé samedi contre le racisme et pour l’égalité des chances lors de l’inauguration d’un musée des droits civiques à Jackson (Mississippi, sud), événement qui avait été boycotté par plusieurs personnalités noires, dont le maire.
Depuis qu’elle est la First Lady of the United States, Melania Trump semble aux abonnés absents. Aux antipodes d’une Nancy Reagan ou d’une Michelle Obama.
L’onde de choc continue de se propager dans le monde musulman, après la reconnaissance américaine de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu. Des milliers de personnes ont défilé dans les rues en Égypte, en Iran ou en Turquie. Dans la bande de Gaza, un Palestinien a été tué par des tirs de l’armée israélienne.
Dans le désert diplomatique d’un processus de paix qui n’en est plus un, le président américain a pris le risque de mettre le feu aux poudres avec sa décision de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël.
Les alliés des États-Unis au Moyen Orient et les diplomaties européennes ont critiqué la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capital d’Israël. Alors que le département américain a lancé « immédiatement » les préparatifs de déménagement de l’ambassade, le Conseil de sécurité des Nations unies doit se réunir en urgence vendredi matin.
Le président des Etats-Unis a reconnu mercredi Jérusalem comme capitale d’Israël. Une rupture spectaculaire avec la politique de ses prédécesseurs qui suscite une vague de réprobation et de craintes d’une possible flambée de violence.
Plusieurs dirigeants ont manifesté leur inquiétude face à l’annonce d’une déclaration potentiellement explosive de Donald Trump qui doit s’exprimer, mercredi, sur le statut de la ville de Jérusalem. Le président américain pourrait reconnaître Al Qods (« Jérusalem », en arabe) comme la capitale d’Israël.
Le roi du Maroc interpelle le président américain après que ce dernier a annoncé son intention de transférer l’ambassade des États-Unis en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem. Mohammed VI, dont les compatriotes soutiennent largement la cause palestinienne, préside aussi un puissant comité de solidarité avec la ville de Jérusalem, bras armé de l’action diplomatique marocaine dans la région.
Après de multiples procédures, la plus haute instance judiciaire américaine a finalement validé sur la forme la totalité du décret migratoire de Donald Trump, interdisant l’entrée du territoire aux ressortissants de sept pays, dont le Tchad et la Somalie. Mais des décisions sur le fond doivent encore intervenir en appel dans différentes juridictions du pays…
Il joue les médiateurs au Moyen-Orient, s’attache à contrer les climatosceptiques et à relancer une Union européenne à la dérive. Il y a quelques jours, il était sur le continent africain… Présent sur tous les fronts, le président français vise le leadership de l’Occident. Pour le moment, il s’en sort plutôt bien.
S’il n’en parle pas à tout bout de champ, Emmanuel Macron a une préoccupation constante : donner au G5 Sahel les moyens de lutter contre les jihadistes.
Omar el-Béchir a assuré que le Soudan avait besoin d’être protégé contre les « actes agressifs » des États-Unis, et ce malgré la levée récente de l’embargo américain imposé pendant vingt ans à son pays. Le président soudanais s’exprimait à l’occasion d’une rencontre avec Vladimir Poutine ce 23 novembre.
Alors que plusieurs de ses proches sont soupçonnés de collusion avec des responsables russes, l’étau se resserre autour de Donald Trump. Risque-t-il l’impeachment ? Seuls trois de ses prédécesseurs ont été confrontés à cette procédure de destitution.