Né en 1946, Donald Trump hérite de l’empire immobilier paternel après ses études. Il investit dans les résidences de luxe, les casinos, les terrains de golf et devient une figure médiatique, notamment grâce à son émission de téléréalité The Apprentice dans les années 2000. Un temps inscrit au Parti démocrate en signe de protestation contre la présidence de George W. Bush, il revient au Parti républicain en 2009. Très critique de Barack Obama, il remporte les primaires républicaines en 2016. Adversaire virulent du politiquement correct, il mène une campagne populiste sur les réseaux sociaux et entre à la Maison-Blanche en janvier 2017. Sa présidence conservatrice est marquée par de nombreuses controverses, des réformes économiques et fiscales, et une politique de restriction migratoire.
En 2024, après une campagne axée sur l’économie, la sécurité et une critique de la présidence de Joe Biden, Donald Trump remporte la présidence pour un second mandat, devenant ainsi le premier président depuis Grover Cleveland à revenir au pouvoir après une interruption. Sa victoire marque un tournant pour le Parti républicain et une réaffirmation de son influence politique sur la scène nationale.
Le président zimbabwéen a donné quelques leçons « d’unité, de paix et de coopération » à son homologue américain jeudi à la tribune des Nations unies, à New York.
Ses compatriotes la surnomment Maman. Au pouvoir depuis douze ans, Angela Merkel a les meilleures chances d’être reconduite dans ses fonctions à l’issue des législatives du 24 septembre. Mais qu’est-ce qu’elle a que ses rivaux n’ont pas ?
Le président américain Donald Trump a « félicité » mercredi ses homologues africains pour le « potentiel commercial énorme » du continent, où se rendent nombre de ses amis pour « devenir riches ».
Les ministres de l’Environnement d’une trentaine de pays ont avancé résolument samedi à Montréal vers la mise en oeuvre de l’accord de Paris sur le climat quand les Américains ont soudainement fait volte-face après avoir semblé assouplir leur position.
Fondé en 2007, le site Breitbart News est devenu incontournable sous l’impulsion de Steve Bannon, l’ex-conseiller de Donald Trump qui en a pris les rênes en 2012 après la mort d’Andrew Breitbart, son fondateur.
Kim Jong-un est un grand amateur de cinéma. C’est peut-être la clé pour comprendre son comportement belliqueux et a priori irrationnel. Gageons que dans sa collection de films – par ailleurs interdits au vain peuple, lui seul a le droit de les regarder – il y a ce chef-d’œuvre de loufoquerie que constitue The Mouse That Roared (1959).
Ils ne sont que quelques milliers, mais, depuis le drame de Charlottesville, en août, on ne voit qu’eux dans les médias. Qui sont ces suprémacistes blancs qui révèrent Trump et rêvent de restaurer une illusoire pureté ethnique de l’Amérique ?
La maison de l’icône était menacée de démolition à Detroit. L’artiste Ryan Mendoza l’a démontée et rebâtie dans son jardin, à Berlin. Elle y est devenue un lieu de sensibilisation à la lutte contre les discriminations.
En 2016, Trump a conquis la Rust Belt en plein déclin industriel en promettant d’en finir avec le libre-échange et les délocalisations. Un an plus tard, son discours a-t-il encore un écho à Detroit ?
Né dans une Afrique sage, en matière de comportement écologique, l’un des plus violents ouragans enregistrés en Atlantique a pris la direction des pays qui combinent pollution massive et scepticisme vis à vis du réchauffement climatique. Justice ? Pas sûr…
Après neuf mois de tergiversation, l’administration de Donald Trump s’est résolue à nommer, le 5 septembre, Donald Yamamoto au poste de chef par intérim du Bureau des affaires africaines du Département d’État. Bon connaisseur de l’Afrique, il est très sensible aux questions de défense, qui devraient rester la préoccupation principale des États-Unis sur le continent.
Le projet de loi de finances 2018 des États-Unis prévoit une réduction de l’aide à la Tunisie. Pour étayer ses arguments devant le Congrès, l’administration Trump passe au crible les relations de Tunis avec Doha.
Des enquêteurs de l’ONU ont indiqué mercredi pour la première fois que le gouvernement syrien était responsable de l’attaque au gaz sarin sur la localité de Khan Cheikhoun le 4 avril en Syrie, qui avait fait 87 morts, essentiellement des femmes et des enfants.
Conflits d’intérêts, népotisme, liaisons dangereuses avec la Russie… Donald Trump et son clan sont les protagonistes d’une vénéneuse série télé. Avec sa fille, son gendre et l’un de ses fils dans les rôles principaux.
L’Amérique est en émoi après l’attaque du 12 août à Charlottesville, dans l’État de Virginie, qui a blessé une vingtaine de personnes et coûté la vie à une femme de 32 ans. Un sympathisant néo-nazi de 20 ans l’a percutée intentionnellement avec son véhicule, alors qu’elle participait à un rassemblement contre la présence dans la ville de groupes suprémacistes et identitaires.
Donald Trump a déclenché une nouvelle vague d’indignation à travers l’Amérique mardi en affirmant que la responsabilité des violences qui ont secoué Charlottesville devait être recherchée « des deux côtés ».
L’administration Trump est encore bousculée par l’actualité. Cette fois, ce sont les événements violents survenus à Charlottesville le 12 août qui en sont la cause. Kenneth Frazier, l’un de ses conseillers en économie du Président, a annoncé ce lundi sa démission. Cet Africain-Américain, PDG d’un gros groupe du secteur pharmaceutique, reproche à Donald Trump de ne pas avoir clairement condamné les manifestants néo-nazis et suprématistes blancs à l’origine des violences. Comment ceux-ci peuvent-ils tenir des propos racistes et défiler en public ? L’éclairage de Philip Golub, professeur de relations internationales à l’Université américaine de Paris.
Une femme est morte samedi à Charlottesville, en Virginie, tuée par une voiture qui a foncé sur des contre-manifestants, venus dénoncer la présence de groupuscules identitaires et néo-nazis dans la ville. Le président Donald Trump a condamné le sectarisme et la violence venant « de diverses parties ». Une réaction que l’opinion a jugée indulgente envers l’extrême-droite américaine.
Le 16e forum de la loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique (Agoa) a pris fin jeudi soir à Lomé (Togo). Cette première rencontre économique entre l’Afrique et les États-Unis de Trump a rassemblé des représentants de 38 pays sub-sahariens et des hommes d’affaires américains.
Son passé esclavagiste, ses présidents paranoïaques, ses hôtes indésirables… Visite guidée du Saint des Saints de la puissance américaine : la Maison-Blanche . Après Washington, prochaines étapes de notre série estivale : Pékin (Zhongnanhai), Moscou (le Kremlin),et Paris (l’Élysée). Notre série « Lieux de pouvoir » (1/4).
Selon le « Washington Post », les Émirats arabes unis auraient orchestré le piratage de sites internet qataris pour y insérer de fausses déclarations du prince Tamim. Des déclarations considérées comme étant à l’origine de la crise diplomatique que traversent actuellement les pays du Golfe.
Reçu à Washington du 9 au 12 juillet pour sa première visite officielle aux États-Unis en tant que chef du gouvernement, Youssef Chahed a multiplié les rencontres et les discours avec une double-mission : rassurer et appeler au maintien de la coopération économique et sécuritaire entre les deux pays.
Si les propositions budgétaires de l’administration Trump pour l’année fiscale 2018 sont adoptées par le Congrès, l’enveloppe de l’aide américaine à l’Afrique subsaharienne devrait chuter de 8 à 5,2 milliards de dollars, dont une partie ira renforcer les programmes d’assistance militaire.
Le 22 juin dernier, la Cour suprême du Ghana a jugé la présence d’anciens détenus de Guantanamo « inconstitutionnelle ». Dans la foulée, l’ambassade des États-Unis à Accra a suspendu les avantages de délivrance des visas accordés aux hautes personnalités politiques du pays.
La Minuad, la mission de maintien de la paix de l’ONU et de l’UA au Darfour, va être amputée d’au moins un tiers des 17 000 hommes actuellement présents sur le terrain. Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté jeudi 29 juin cette réduction d’effectifs, entérinant la volonté des États-Unis de réduire le budget des Casques bleus de 600 millions de dollars.
En se rendant à Bamako, le 2 juillet 2017, pour assister à un sommet du G5 Sahel avec le Malien IBK, le Burkinabè Roch Marc Christian Kaboré, le Mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, le Nigérien Mahamadou Issoufou et le Tchadien Idriss Déby Itno, le Français Emmanuel Macron va sans doute adresser deux messages : l’un à Donald Trump, via son représentant à Bamako, et l’autre à IBK.
Le décret anti-immigration de Donald Trump a été remis partiellement et provisoirement en vigueur par la Cour suprême ce lundi. Il interdit aux natifs de six pays musulmans qui seraient « totalement inconnus des autorités américaines » de pénétrer sur le sol américain, au moins jusqu’à l’automne. Les Somaliens, les Soudanais et les Libyens sont concernés.
Clinton, Bush et Obama l’ont fait, pas Trump. Contactée par plusieurs médias américains, la Maison Blanche a confirmé qu’elle n’accueillerait pas cette année de dîner pour célébrer la fin du Ramadan, s’attirant (encore) un peu plus les foudres de la communauté musulmane.