Né en 1946, Donald Trump hérite de l’empire immobilier paternel après ses études. Il investit dans les résidences de luxe, les casinos, les terrains de golf et devient une figure médiatique, notamment grâce à son émission de téléréalité The Apprentice dans les années 2000. Un temps inscrit au Parti démocrate en signe de protestation contre la présidence de George W. Bush, il revient au Parti républicain en 2009. Très critique de Barack Obama, il remporte les primaires républicaines en 2016. Adversaire virulent du politiquement correct, il mène une campagne populiste sur les réseaux sociaux et entre à la Maison-Blanche en janvier 2017. Sa présidence conservatrice est marquée par de nombreuses controverses, des réformes économiques et fiscales, et une politique de restriction migratoire.
En 2024, après une campagne axée sur l’économie, la sécurité et une critique de la présidence de Joe Biden, Donald Trump remporte la présidence pour un second mandat, devenant ainsi le premier président depuis Grover Cleveland à revenir au pouvoir après une interruption. Sa victoire marque un tournant pour le Parti républicain et une réaffirmation de son influence politique sur la scène nationale.
Des démonstrations saoudiennes à la discrétion d’Alger, les réactions régionales à l’attaque chimique du 4 avril et à la punition américaine sont particulièrement révélatrices. Tour d’horizon.
En dévoilant un nouveau programme politique modéré à l’égard d’Israël, le Hamas a fait preuve d’ouverture pour donner le sentiment d’un front palestinien uni… Juste 48 heures avant une rencontre entre Donald Trump et Mahmoud Abbas à la Maison-Blanche, mercredi. Décryptage.
En un peu plus de trois mois, nous nous sommes habitués à lui : il fait désormais partie du paysage politique. Depuis tout juste cent jours, Donald Trump exerce la fonction et détient les pouvoirs, immenses mais non illimités, de président des États-Unis d’Amérique. Qu’avons-nous appris de lui et sur lui que nous ne savions pas à la fin de 2016 ?
Le président américain n’a pas renoncé à ériger une barrière pour contenir l’immigration clandestine en provenance d’Amérique latine. Mais les difficultés de tous ordres s’accumulent. Et le doute s’insinue.
Une centaine de jours après son accession au pouvoir, l’administration Trump semble encore à la recherche de sa politique africaine. Passé par la Banque mondiale et la Banque africaine de développement, l’Africain-Américain Raymond Gilpin est un spécialiste des questions d’économie et de sécurité sur le continent.
Il se présentait comme un intraitable isolationniste. Et voilà que, de la Syrie à la Corée du Nord et à l’Afghanistan, ses généraux jouent les docteurs Folamour. Sur à peu près tous les sujets de politique étrangère, il soutient tour à tour une chose et son contraire. Vertigineux !
Les États-unis débutent mercredi le retrait de leurs forces sécuritaires déployées depuis 2011 à l’est de la Centrafrique dans la lutte contre la rébellion de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) de Joseph Kony.
Un Africain-Américain a été arrêté ce mardi après avoir tué par balles trois Blancs à Fresno, en Californie. Selon la police, il s’agit d’un « crime racial ».
La surprise des frappes sur la Syrie ordonnées par Donald Trump ce jeudi a pris la place de l’effroi provoqué mardi par le gazage d’un bourg rebelle du nord de la Syrie. Selon toute vraisemblance, il a été opéré par les forces du régime de Bachar el-Assad.
En réponse à l’attaque chimique qui a fait 86 morts dans le nord-ouest du pays, les États-Unis ont bombardé dans la nuit de jeudi à vendredi une base aérienne du régime de Bachar al-Assad en Syrie. Une première depuis le début du conflit, il y a plus de six ans.
Le président américain a rencontré lundi son homologue égyptien à la Maison Blanche. Celui-ci est le tout premier dirigeant arabe à lui adresser ses félicitations après sa victoire aux élections.
Les membres de l’organisation relancent le plan de paix proposé par feu le roi saoudien Abdallah Ibn Abdelaziz en 2002 pour régler le conflit israélo-palestinien.
Le Pentagone a annoncé ce jeudi étendre les pouvoirs donnés aux militaires américains pour mener des frappes en Somalie contre les shebab, des insurgés islamistes. En conséquence, ces frappes devraient être plus nombreuses et plus offensives.
Ils se nomment Steve Bannon, Karl Rove, Walt Rostow ou Henry Kissinger. Généralement peu connus, ce sont eux qui tirent les ficelles à la Maison-Blanche. Parfois pour le meilleur, et souvent pour le pire.
Le président américain Donald Trump accueillera son homologue égyptien Abdel Fattah al-Sissi lundi prochain pour évoquer, entre autres, la lutte contre le groupe terroriste État islamique (EI).
Dans un entretien accordé à l’AFP, le prix Nobel de littérature nigérian affirme que le président américain Donald Trump a exploité la « xénophobie latente » pour accéder à la Maison Blanche. Ce qui n’est pas sans lui rappeler un épisode de l’Histoire récente du Nigeria.
Le président américain Donald Trump a publié son premier projet de budget, intitulé « America First ». Celui-ci prévoit de réduire drastiquement l’aide extérieure des États-Unis. L’Afrique est en première ligne.
L’économie de la Confédération helvétique vit un rude paradoxe. D’un côté, sa santé est éclatante : grâce à la compétitivité de son industrie pharmaceutique, de son horlogerie, de son négoce des matières premières et de ses services financiers, les réserves en devises de la Banque nationale suisse (BNS) équivalent au produit intérieur brut de la Suisse. Qui dit mieux ?
Depuis George Washington en 1789, les présidents américains ont toujours entretenu avec l’argent des rapports étroits. Mais avec Donald Trump, le plus riche de tous, on est entré dans une autre dimension !
L’administration Trump a annoncé ce mardi l’interdiction pour les passagers de certaines compagnies aériennes faisant la liaison entre dix aéroports du Moyen Orient et les États-Unis d’embarquer en cabine leurs appareils électroniques, à l’exception de leur téléphone.
Un migrant ivoirien, qui habitait aux États-Unis depuis dix ans, a été retrouvé en état d’hypothermie du côté canadien de la frontière après l’avoir franchie illégalement par -15 degrés.
Alors que le nombre de déplacés et de réfugiés dans le monde a atteint le niveau record de 65,3 millions de personnes en 2015, et que l’Afrique reste, rappelons-le, le premier continent d’accueil de ces réfugiés, la plupart des pays les plus riches leur claquent la porte au nez.
Taxes sur les importations, expulsions massives de sans-papiers, érection d’un mur à la frontière… Donald Trump s’attaque à son voisin. Au risque de se tirer une balle dans le pied ?
L’ambassade américaine à Abuja a rappelé ce mercredi que le décret anti-immigration de Donal Trump ne s’appliquait pas aux Nigérians. Il y a quelques jours, les autorités du Nigeria avaient appelé la population à ne pas se rendre aux États-Unis sauf « raisons impérieuses ou essentielles ».
Khartoum a exprimé ce mardi son mécontentement après la signature par le président américain Donald Trump d’un nouveau décret interdisant pendant 90 jours l’entrée des États-Unis aux ressortissants de six pays musulmans, dont le Soudan.
En assimilant les esclaves à des immigrés à la poursuite du rêve américain hier, le secrétaire au Logement de Donald Trump, Ben Carson, s’est attiré les foudres des internautes et des associations.
Les autorités nigérianes ont déconseillé à leurs ressortissants de se rendre aux États-Unis, après le refoulement de plusieurs d’entre eux, qui étaient pourtant en possession de visas valides, dans un contexte de durcissement de la politique d’immigration.