Né en 1946, Donald Trump hérite de l’empire immobilier paternel après ses études. Il investit dans les résidences de luxe, les casinos, les terrains de golf et devient une figure médiatique, notamment grâce à son émission de téléréalité The Apprentice dans les années 2000. Un temps inscrit au Parti démocrate en signe de protestation contre la présidence de George W. Bush, il revient au Parti républicain en 2009. Très critique de Barack Obama, il remporte les primaires républicaines en 2016. Adversaire virulent du politiquement correct, il mène une campagne populiste sur les réseaux sociaux et entre à la Maison-Blanche en janvier 2017. Sa présidence conservatrice est marquée par de nombreuses controverses, des réformes économiques et fiscales, et une politique de restriction migratoire.
En 2024, après une campagne axée sur l’économie, la sécurité et une critique de la présidence de Joe Biden, Donald Trump remporte la présidence pour un second mandat, devenant ainsi le premier président depuis Grover Cleveland à revenir au pouvoir après une interruption. Sa victoire marque un tournant pour le Parti républicain et une réaffirmation de son influence politique sur la scène nationale.
Une ex-candidate à la Maison Blanche, l’écologiste Jill Stein, a demandé le recompte des voix de la présidentielle américaine dans le Wisconsin. Des experts parlant d’ « anomalies » remettent eux aussi en cause le système de grands électeurs qui a fait triompher Donald Trump sur Hillary Clinton.
Discret contrepoint à l’élection de Donald Trump, un nombre sans précédent de femmes représentant les minorités africaine-américaine, hispanique et asiatique ont été élues au Congrès le 8 novembre.
Après Vladimir Poutine en Russie, Viktor Orbán en Hongrie, Marine Le Pen en France ou Nigel Farage au Royaume-Uni, c’est au tour du nouveau président américain d’agiter le drapeau du national-populisme. Au risque de bouleverser tous les équilibres mondiaux.
C’est la mère des questions ou la question à un million de dollars. Depuis dix jours chefs d’État, chancelleries et rédactions du monde entier se la posent. Sans lui trouver de réponse.
Le nouveau président américain a annoncé mercredi la nomination de la gouverneure de Caroline du Sud Nikki Haley au poste d’ambassadrice auprès des Nations Unies. À 44 ans, la carrière de cette étoile montante du Parti républicain, montée au créneau lors des émeutes de Charleston, prend un véritable tournant.
Dans une interview accordée au au New York Times, celui qui vient de gagner l’élection présidentielle américaine est revenu ce mardi sur plusieurs promesses de campagne.
Si l’élection de Donald Trump a sidéré la moitié des Américains et consterné les élites européennes, lesquelles l’ont vécue comme une sorte d’aberration aussi dangereuse que folklorique, rien ne prouve que l’onde de choc ait été ressentie avec la même intensité sur l’échelle de Richter de l’opinion africaine.
Pendant la campagne électorale américaine, plusieurs propos racistes, xénophobes et sexistes ont été attribués à Donald Trump, certains concernant l’Afrique et les Africains. Une question : le successeur de Barack Obama les a-t-il vraiment tenus ?
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Donald Trump ne se passionne pas pour les pays nord-africains. Mais Alger voit son arrivée d’un meilleur d’œil que Rabat et Tunis.
Installée aux États-Unis depuis un quart de siècle, la native de Rabat est devenue outre-Atlantique une romancière à succès. Et une voix qui compte dans le débat public.
«Groggy », dit l’un. « Choqué », dit l’autre… Le matin du 9 novembre, en apprenant la victoire de Donald Trump, plusieurs ministres africains avouent s’être levés avec la « gueule de bois ».
Il a promis d’interdire à l’ensemble des musulmans l’accès au territoire américain, de construire un mur anti-immigration à la frontière du Mexique, de remettre en cause l’accord sur le nucléaire iranien… Donald Trump va-t-il changer à l’épreuve du pouvoir ?
Donald Trump, 45e président des États-Unis… Quelle gifle ! Lui qui n’était crédité que d’1 % des intentions de vote lorsqu’il avait annoncé, en juin 2015, qu’il se lançait dans la course aux primaires…
Le nouveau président élu des États-Unis Donald Trump a promis d’expulser jusqu’à 3 millions d’immigrés clandestins, dans l’extrait d’un entretien à la chaîne de télévision CBS publié dimanche mais réalisé vendredi.
L’onde de choc causée par l’élection à la Maison Blanche de Donald Trump n’a pas épargné l’Afrique, déçue par Barack Obama et aujourd’hui partagée entre incrédulité et espoir devant un nouveau président qui a rarement évoqué le continent pendant sa campagne.
La victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle pourrait bien se traduire par une politique américaine plus favorable qu’auparavant à Israël, selon les experts. Même si tous rappellent que l’homme est « imprévisible ».
Pour Dominique Siby, Gabonais installé à Miami, « il fallait stopper le monstre Trump ». Voilà qui est raté. Après l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis, le 9 novembre, les Africains résidant aux États-Unis nous confient leurs espoirs, mais surtout leur peur de l’avenir.
Ma belle-mère me disait encore il y a quelques jours qu’un arbre qui tombe fait plus de bruit que la forêt qui pousse. Cette métaphore est une réalité dans l’élection de Donald Trump à la Maison blanche. Celle-ci est une véritable révolution anti-système, comme l’a dit mon collègue, le sociologue Mathieu Bock-Côté, de la Haute école de commerce de Montréal.
The shock win of property magnate Donald Trump in the United States presidential elections today is the latest and most important win for right-wing populists at a time of deepening global instability. Usually cautious foreign policy analysts in Western capitals now talk about the break up of the liberal democratic order and an American retreat into trade protectionism and diplomatic isolationism.
Le futur ex-président des États-Unis, Barack Obama, a affirmé ce mercredi que l’Amérique toute entière souhaitait le succès de Donald Trump, élu pour lui succéder à la Maison Blanche. Il s’est déclaré rassuré par les propos tenus par celui-ci après proclamation de sa victoire.
Donald Trump président des Etats-Unis, qu’est-ce qui va vraiment changer pour l’Afrique ? Gilles Yabi, fondateur de Wathi, un think tank citoyen pour l’Afrique de l’Ouest, et ex-directeur du projet Afrique de l’Ouest au sein de l’International Crisis Group, répond à Jeune Afrique.
À l’instar du Burundais Pierre Nkurunziza, qui a été le premier chef d’État africain à féliciter mercredi matin Donald Trump pour son élection à la présidence des États-Unis, plusieurs personnalités du continent ont réagi à la victoire du républicain. Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi en fait partie.
Le républicain Donald Trump a été élu mercredi matin président des États-Unis en remportant 278 grands électeurs sur les 270 nécessaires pour entrer à la Maison Blanche le 20 janvier prochain, contre 219 à sa rivale démocrate Hillary Clinton.
The election that pits Hillary Clinton against Donald Trump is not only dirty, it is perverse and pregnant with uncanny irony. Opinion is divided on what it means for Africa – A warlike Clinton government? A racist Trump regime? – but there is a consensus that it has exposed the rotten underbelly of American society. Like Britons who voted Brexit largely because of prejudice against the ‘other’, Americans too are mainstreaming hate and prejudice as an ideology of power.