Né en 1946, Donald Trump hérite de l’empire immobilier paternel après ses études. Il investit dans les résidences de luxe, les casinos, les terrains de golf et devient une figure médiatique, notamment grâce à son émission de téléréalité The Apprentice dans les années 2000. Un temps inscrit au Parti démocrate en signe de protestation contre la présidence de George W. Bush, il revient au Parti républicain en 2009. Très critique de Barack Obama, il remporte les primaires républicaines en 2016. Adversaire virulent du politiquement correct, il mène une campagne populiste sur les réseaux sociaux et entre à la Maison-Blanche en janvier 2017. Sa présidence conservatrice est marquée par de nombreuses controverses, des réformes économiques et fiscales, et une politique de restriction migratoire.
En 2024, après une campagne axée sur l’économie, la sécurité et une critique de la présidence de Joe Biden, Donald Trump remporte la présidence pour un second mandat, devenant ainsi le premier président depuis Grover Cleveland à revenir au pouvoir après une interruption. Sa victoire marque un tournant pour le Parti républicain et une réaffirmation de son influence politique sur la scène nationale.
David Malpass a annoncé, ce mercredi 15 février, qu’il quitterait son poste d’ici au 30 juin, avec un an d’avance, alors que l’institution, pressée d’en faire plus sur la question climatique, est en pleine réforme.
Depuis quelques années, le Maroc a adopté une politique de tolérance zéro sur tout ce qui touche à son intégrité territoriale, y compris lorsqu’il s’agit de cartographie. Dernières victimes en date : les écoles françaises du royaume, dont certaines ont été contraintes de retirer des manuels scolaires jugés non conformes par les autorités.
Du parcours de Rachel Khan au conflit syrien, en passant par des souvenirs d’enfance à N’Djamena, la BD s’empare de plus en plus de sujets d’actualité. Notre sélection.
Du Maroc à la France en passant par l’Afrique subsaharienne, les pays du Golfe et Israël, le PDG de Holmarcom possède un puissant réseau. Et pas uniquement dans les milieux d’affaires.
Plusieurs dossiers sensibles ont été évoqués lors de la rencontre entre dirigeants américains et africains. Pour avancer sur ces questions stratégiques, il est indispensable de miser sur la jeunesse en privilégiant des politiques de coopération.
Du 13 au 15 décembre, près de cinquante dirigeants africains participeront, à Washington, à la deuxième édition de cet événement. Un test pour Joe Biden, et l’occasion, pour beaucoup, de faire avancer certains dossiers jugés stratégiques.
La représentante républicaine Lisa McClain exige des sanctions contre l’Algérie pour un prétendu contrat d’armes russes de 7 milliards de dollars conclu en 2021. Une information non vérifiée, qui lui a pourtant permis de rallier 27 autres parlementaires.
Aux yeux de nombreux pays africains, Chinois et Russes prennent l’ascendant sur les Occidentaux, preuve qu’il est possible de créer de la richesse sans liberté politique. Des modèles à suivre, selon ces pays, notamment pour s’affranchir de la relation avec la France…
Jamais les résidents américains nés en Afrique n’ont été aussi nombreux. Financièrement à l’aise et plus éduqués que la moyenne, ils sont particulièrement convoités par Washington, qui voit en eux un relai idéal.
« Maroc : diplomatie tous azimuts » (4/5). Avec la reconnaissance par Washington de la marocanité du Sahara occidental, Rabat peut désormais se prévaloir du soutien de la première puissance militaire mondiale. Le Canada, lui, se montre plus réticent.
Dans « Breaking History : A White House Memoir », publié le 23 août aux États-Unis, le gendre et principal conseiller de l’ancien président américain Donald Trump revient sur son action diplomatique durant le mandat de son beau-père et dévoile quelques secrets. Parmi les principaux dossiers abordés : le Maroc et son monarque.
Depuis l’invasion russe en Ukraine, la diplomatie américaine semble redécouvrir l’Afrique. Un intérêt grandissant que Derek Chollet, conseiller spécial du secrétaire d’État Antony Blinken, explique à Jeune Afrique.
Pour la troisième fois en près d’un siècle, les corps qui représentent la communauté juive du royaume se voient réagencés. C’est l’obsolescence de la législation en vigueur aussi bien que la nouvelle réalité diplomatique qui ont présidé à cette décision.
Pour leurs vacances d’été, les ex-conseillers à la Maison Blanche auprès du président Trump ont opté pour le Maroc. Et ils l’ont fait savoir en partageant sur les réseaux les détails d’un voyage résolument politique.
Doha a brièvement accueilli un round de négociations, qui s’est soldé par un échec. Mais le Qatar, qui joue le rôle de discret messager, ne renonce pas à rapprocher les points de vue. Explications.
Son élection, le 7 avril dernier, a été qualifiée d’historique. Elle est en première ligne dans la bataille qui fait rage autour du droit à l’avortement aux États-Unis, que les juges conservateurs veulent remettre en question.
Tandis que ses rivaux tentent de plaider leur cause auprès de la Maison Blanche, le gouvernement congolais multiplie les contacts avec les lobbyistes américains. À moins de deux ans des élections, le bras de fer est déjà engagé outre-Atlantique.
Le sommet Chine-Afrique de Dakar, organisé à la fin de novembre 2021, marquait les vingt ans d’un partenariat que Pékin comme le continent jugent solide et indispensable, comme l’a encore prouvé la crise du Covid. Un partenariat auquel les deux parties veulent faire franchir une nouvelle étape.
La communauté internationale, Washington en tête, envisage d’adopter une ligne plus dure à l’égard des militaires soudanais maintenant que le Premier ministre, Abdallah Hamdok, a démissionné. Certains plaident même pour un soutien ouvert aux manifestants.
Rivalité dans la Corne de l’Afrique, positions opposées s’agissant de l’Égypte, du Qatar, des conflits en Libye et en Syrie… Entre Ankara et Abou Dhabi, la mésentente était totale depuis neuf ans. Pourquoi se reparlent-ils aujourd’hui ?
Soupçonné d’être un lieutenant du chef d’Al-Qaïda, Abdellatif Nasser a récemment été libéré et transféré au Maroc après avoir passé vingt ans entre les murs de Guantanamo, sans inculpation ni procès. Le récit de sa vie.
Donald Trump parti, le maréchal Sissi a perdu un allié de poids à Washington. Des lobbyistes américains tentent de redorer l’image de son régime auprès de l’administration démocrate, plus sensible que ne l’a été l’ancien président à la question des droits de l’homme.
Dans l’inconscient collectif, surtout marocain, il restera « Monsieur anti-Covid ». Mais l’image de Moncef Slaoui, accusé de harcèlement sexuel, est désormais sérieusement entachée.
Omniprésent sur les réseaux sociaux, le trublion de la politique iranienne tient des propos apaisants, écrit aux dirigeants étrangers et soigne son image d’outsider. En froid avec le Guide suprême, pourra-t-il être candidat à la présidentielle de juin ?
Le gouvernement de Tripoli espère voir le nouveau président des États-Unis s’impliquer à nouveau dans le dossier libyen. Il compte en particulier sur l’appui de Washington pour obtenir le retrait des mercenaires russes.
Michael Zaoui, Steve Ohana, Rabbi David Pinto… La tradition des « Juifs de cour » telle que le royaume l’a connue pendant plusieurs siècles a aujourd’hui cédé la place à une internationalisation des intercesseurs.
Dans un message vidéo adressé à l’Union africaine, le nouveau président américain a promis respect, dialogue et cohérence. Et peut-être même une visite au prochain sommet de l’institution panafricaine.
L’arrivée de Joe Biden à la Maison-Blanche ouvre la porte au rétablissement de l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien. Les négociations s’annoncent cependant difficiles.
Promu par Trump puis remercié par Biden, Moncef Slaoui pourrait-il devenir le « Monsieur vaccin » du Maroc ? Jusqu’ici, l’histoire du virologue avec son pays d’origine a surtout été marquée par des rendez-vous manqués…