Né en 1946, Donald Trump hérite de l’empire immobilier paternel après ses études. Il investit dans les résidences de luxe, les casinos, les terrains de golf et devient une figure médiatique, notamment grâce à son émission de téléréalité The Apprentice dans les années 2000. Un temps inscrit au Parti démocrate en signe de protestation contre la présidence de George W. Bush, il revient au Parti républicain en 2009. Très critique de Barack Obama, il remporte les primaires républicaines en 2016. Adversaire virulent du politiquement correct, il mène une campagne populiste sur les réseaux sociaux et entre à la Maison-Blanche en janvier 2017. Sa présidence conservatrice est marquée par de nombreuses controverses, des réformes économiques et fiscales, et une politique de restriction migratoire.
En 2024, après une campagne axée sur l’économie, la sécurité et une critique de la présidence de Joe Biden, Donald Trump remporte la présidence pour un second mandat, devenant ainsi le premier président depuis Grover Cleveland à revenir au pouvoir après une interruption. Sa victoire marque un tournant pour le Parti républicain et une réaffirmation de son influence politique sur la scène nationale.
Le numéro 80 du bimestriel La Revue, en vente dans les kiosques depuis le 25 octobre, traite longuement de la vive sympathie qu’éprouvait De Gaulle pour Israël. Il analyse également les clés de la réussite du Botswana et le bras de fer entre Donald Trump et l’Iran.
D’un côté, Mohamed Ben Salman (MBS), allié de Trump et de Netanyahou, ami de Jared Kushner. De l’autre, le journaliste Jamal Khashoggi, assassiné par les Saoudiens à Ankara, qui était en fait un islamiste proche à la fois des Frères musulmans d’Égypte et de Gaza, d’Erdogan et du Qatar. Béchir Ben Yahmed livre les clés de l’affaire.
D’un côté, le Qatar. De l’autre, les Émirats arabes unis et l’Arabie saoudite, en pleine tourmente de l’affaire Khashoggi. Entre ces deux camps irréconciliables, la lutte d’influence fait rage. Champs de bataille : le Maghreb, l’Europe et les États-Unis. Enquête.
Riyad a admis, samedi 20 octobre, que le journaliste saoudien Jamal Khashoggi avait bien été tué à l’intérieur du consulat d’Arabie saoudite à Istanbul. L’affaire, qui suscite un tollé mondial, a terni l’image du royaume au point que le prince héritier Mohamed Ben Salman (MBS) s’en trouve fragilisé.
Après une visite à Donald Trump qu’il « adore », le rappeur Kanye West s’est rendu chez l’un des admirateurs africains du président américain : Yoweri Museveni. Quand « Ye » rencontre « Yo »…
Par plusieurs gestes hautement symboliques en direction du continent africain, le président français Emmanuel Macron montre qu’il veut changer de paradigme. Sans pour autant renoncer à ses positions stratégiques.
Les pays européens cherchent à contrer les effets extraterritoriaux des sanctions américaines frappant l’Iran. Un rapport du Sénat français fait le point sur les différentes mesures possibles.
Nikki Haley ne sera plus l’ambassadrice des États-Unis à l’ONU, à la fin de l’année. Elle a remis sa démission à Donald Trump, le président américain, qui l’a acceptée le mardi 9 octobre. Les motifs de sa démission n’ont pas été précisés.
Le Sénat américain a adopté le 3 octobre un texte créant l’USIDFC, une nouvelle institution de financement du développement. Cette agence est la réponse de Donald Trump à l’initiative chinoise « One Belt, One Road », alors que Xi Jinping a annoncé début septembre 60 milliards de dollars en faveur du développement de l’Afrique.
Pendant que Donald Trump démontre son désintérêt personnel – voire son mépris – pour le continent africain, son épouse en foule le sol. Et les États-Unis continuent d’y jouer un rôle de leader, dans bien des domaines…
Mécontent des hausses du prix du baril de pétrole, le président américain s’en est pris à l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et à l’Arabie saoudite.
Pour la première fois, Donald Trump s’est prononcé, mercredi 26 septembre, en faveur d’une solution à deux États pour mettre fin au conflit israélo-palestinien. Le président américain a aussi promis de présenter un plan de paix « équilibré » d’ici quatre mois.
Crise entre l’Iran et les États-Unis, conflit israélo-palestinien, élections en Libye… Les 25 et 26 septembre, l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies a été l’occasion pour les dirigeants de la planète de faire valoir leurs positions sur les grands dossiers de la zone.
Entre ceux qui vilipendent à tort la Cour pénale internationale (CPI) et ceux qui la critiquent à raison, l’espace se réduit chaque mois un peu plus, au point que l’on se demande si l’institution, née il y a vingt ans du traité de Rome, n’est pas à court terme menacée d’asphyxie prématurée.
Cyril Ramaphosa a défendu mardi 11 septembre son projet de réforme agraire devant le Parlement. Le président sud-africain écarte tout risque de sanctions internationales sur ce texte, qui prévoit des expropriations sans indemnisation au profit de la majorité noire.
La réapparition sur les réseaux sociaux d’une étude affirmant que les campagnes électorales à Madagascar figurent parmi les plus chères de la planète relance le débat sur le financement des partis politiques, à quelques semaines des élections générales.
La jeunesse algérienne intéresse les États-Unis. Ces dernières années, plusieurs programmes sportifs et culturels ont été organisés par l’ambassade des États-Unis en Algérie, ou en collaboration avec celle-ci. Une stratégie d’influence ?
La première dame des États-Unis, Melania Trump, a annoncé une prochaine tournée en Afrique, durant laquelle le président américain Donald Trump ne sera pas présent.
À l’issue de la rencontre entre le président kényan, Uhuru Kenyatta, et son homologue américain Donald Trump, aux États-Unis, deux accords d’un montant de près de 238 millions de dollars ont été signés le 27 août avec des entreprises américaines.
Alors qu’il doit donner lundi 27 août les grandes orientations de la politique internationale française lors du traditionnel discours annuel aux ambassadeurs, Emmanuel Macron se prépare à une rentrée chargée.
Dans un tweet s’inquiétant des « confiscations de terres » et des « meurtres à grande échelle de fermiers blancs » en Afrique du Sud, le président américain Donald Trump reprend une théorie du complot devenue un marronnier dans les cercles d’extrême-droite.
Le gouvernement sud-africain a vivement reproché au président des État-Unis Donald Trump, d’alimenter les tensions raciales sur son sol. Une sortie qui fait suite à un tweet du président des États-Unis dénonçant des « expropriations » et des « meurtres de grande ampleur » visant selon lui les fermiers blancs sud-africains.
Dès le début de son mandat, Donald Trump avait donné le tempo d’une diplomatie du petit oiseau bleu. C’est donc par un tweet qu’il vient de déclencher un bras de fer diplomatique avec les autorités sud-africaines.
De retour avec « BlacKkKlansman », le réalisateur africain-américain, Spike Lee dénonce avec humour les actes de l’organisation suprémaciste, le Ku Klux Klan, dans une histoire aussi improbable que vraie.
Élire un bon « maître de la digue », capable de nous protéger contre les ravages du changement climatique, est aujourd’hui crucial et un pilier de la démocratie.
Ce conseiller des deux dernières administrations démocrates américaines passe au crible la politique africaine du nouveau patron de la Maison-Blanche. Et ça décoiffe !