Emmerson Mnangagwa a été investi président du Zimbabwe le 24 novembre 2017, succédant à Robert Mugabe, 93 ans, démissionnaire après avoir été démis par l’armée.
L’Allemand Jobst von Kirchmann succède à Jean-François Valette à la tête de la délégation de l’UE en Côte d’Ivoire, Joseph Kabila a assisté à l’investiture d’Emmerson Mnangagwa, Joël Meyer, l’ambassadeur de France en Mauritanie, devrait rejoindre le Mali… Chaque semaine, Jeune Afrique vous invite dans les coulisses de la diplomatie africaine.
Le président du Zimbabwe Emmerson Mnangagwa a officiellement prêté serment dimanche, après plusieurs semaines de vive controverse sur les conditions de son élection le 30 juillet, jugée frauduleuse par l’opposition.
La Cour constitutionnelle du Zimbabwe a validé vendredi 24 août l’élection du président sortant Emmerson Mnangagwa, estimant que les accusations de fraudes et de manipulations au scrutin du 30 juillet avancées par l’opposition n’avaient pas été prouvées. L’investiture d’Emmerson Mnangagwa avait été suspendues en attendant la décision de la Cour.
L’investiture d’Emmerson Mnangagwa est « suspendue » jusqu’à ce que la Cour constitutionnelle zimbabwéenne rende sa décision sur un recours déposé par l’opposant Nelson Chamisa, qui conteste les résultats de l’élection présidentielle du 30 juillet.
Figure de l’opposition zimbabwéenne, Tendai Biti, qui avait été expulsé par les autorités zambiennes après une demande d’asile politique, a finalement bénéficié jeudi d’une libération sous caution par la justice de son pays.
Tendai Biti, un responsable de l’opposition zimbabwéenne, a été arrêté mercredi 8 août au matin à la frontière, alors qu’il s’apprêtait à demander « l’asile » en Zambie, selon son avocat. Cette arrestation intervient alors que son parti conteste les résultats de l’élection présidentielle remportée par le sortant Emmerson Mnangagwa.
Réélu dès le premier tour avec 50,8% des voix, le président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa fait face à la colère des partisans de Nelson Chamisa, candidat du MDC-Alliance arrivé second (44,3%), qui conteste les résultats du scrutin. Mark Stevens, chef adjoint de la mission d’observation de l’Union européenne, livre son analyse.
Après 37 ans au pouvoir de Robert Mugabe, le Zimbabwe rêvait d’un avenir meilleur mais avec l’élection controversée de son ex-bras droit Emmerson Mnangagwa et la répression de l’opposition, beaucoup ont l’impression d’être revenus au point de départ.
Fâcheuse tendance que celle qui conduit à ne voir les élections en Afrique que sous l’angle de leurs imperfections, comme si la voie électorale n’était pas une pente naturelle des sociétés africaines et qu’elle engendrait plus de problèmes qu’elle n’en résolvait.
Nelson Chamisa, le principal rival du président sortant Emmerson Mnangagwa, a dénoncé une élection « frauduleuse, illégale, illégitime », vendredi à Harare. L’opposition conteste la réélection dès le premier tour de l’ancien bras droit de Robert Mugabe.
Emmerson Mnangagwa a été élu président du Zimbabwe dès le premier tour, a annoncé la commission électorale dans la nuit de jeudi à vendredi. Une victoire rejetée par l’opposition, laissant craindre de nouveaux troubles, après la répression meurtrière d’une manifestation d’opposants mercredi.
Alors que les tirs à balles réelles ont fait au moins trois morts mercredi chez les partisans de l’opposition, le président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa a appelé jeudi à « résoudre pacifiquement » les différends avec son rival, Nelson Chamisa. L’armée patrouillait jeudi dans les rues de Harare.
Au moins un manifestant a été tué à Harare, où les forces de sécurité ont tiré à balles réelles sur des partisans de l’opposition. Alors que les résultats de la présidentielle n’ont toujours pas été communiqués, l’atmosphère s’est considérablement tendue mercredi, dans l’attente d’une déclaration de la commission électorale.
Alors que les résultats de la présidentielle ne sont pas encore connus, la commission électorale a annoncé mercredi 1 août que la Zanu-PF, parti au pouvoir depuis 1980, a obtenu la majorité absolue des sièges à l’Assemblée, lors des législatives organisées lundi.
Le chef de l’État Emmerson Mnangagwa et l’opposant Nelson Chamisa, les deux principaux candidats à la présidentielle au Zimbabwe, se sont chacun félicités mardi 31 juillet d’être en tête des élections organisées la veille.
Le leader du Mouvement pour le changement démocratique (MDC) a revendiqué mardi une victoire « éclatante » aux élections générales organisées la veille. Ce scrutin est le premier depuis la chute du président Robert Mugabe.
Candidats à la présidentielle du 30 juillet, Emmerson Mnangagwa, le président sortant, et Nelson Chamisa, son principal opposant, sont au coude-à-coude dans les sondages.
Ils étaient nombreux à se rendre aux urnes lundi à l’ouverture des bureaux de vote pour les premières élections générales depuis la chute du président Robert Mugabe, en novembre, après trente-sept ans de pouvoir.
Les Zimbabwéens sont appelés aux urnes lundi pour élire leur président, leurs députés et leurs conseillers municipaux pour la première fois depuis le départ forcé de Robert Mugabe, au pouvoir pendant près de quatre décennies qui ont plongé le pays dans une grave crise économique.
Le président du Zimbabwe Emmerson Mnangagwa, candidat à sa propre succession à la présidentielle du 30 juillet, a assuré samedi aux fermiers blancs du pays qu’ils ne seraient pas privés de leurs terres et les a appelés à travailler avec le gouvernement.
L’ancien exécuteur des basses œuvres de Robert Mugabe, qui a échappé à une tentative d’assassinat le 23 juin, a réussi le tour de force d’incarner le renouveau. Et a de grandes chances d’être élu fin juillet.
Le chef de l’État zimbabwéen Emmerson Mnangagwa a accusé le 27 juin dans une interview les partisans de sa rivale et ancienne Première dame Grace Mugabe d’avoir fomenté l’attentat dont il est sorti indemne le week-end dernier, un mois avant les élections générales.
Pas question d’annuler les élections générales prévues le 30 juillet au Zimbabwe. C’est en tout cas ce qu’a affirmé dimanche l’un des deux vice-présidents du pays, Constantino Chiwenga, au lendemain de l’explosion qui a visé le chef de l’État Emmerson Mnangagwa.
L’attentat à l’explosif qui a visé samedi à Bulawayo (sud) une réunion électorale du président du Zimbabwe Emmerson Mnangagwa, a fait un total de 41 blessés, selon un nouveau bilan officiel publié dimanche.
Le président du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa, a échappé samedi à un probable attentat à la bombe qui a visé une réunion électorale à laquelle il participait à Bulawayo (sud) et fait plusieurs blessés, dont au moins un des deux vice-présidents du pays.
Un total de 23 candidatures à l’élection présidentielle du 30 juillet au Zimbabwe ont été formellement enregistrées jeudi 14 juin, dont celles du chef de l’État en exercice Emmerson Mnangagwa et de son rival de l’opposition, Nelson Chamisa.
Le chef de l’État zimbabwéen, Emmerson Mnangagwa, et celui de l’opposition, Nelson Chamisa, ont déposé jeudi 14 juin leur dossier de candidature pour la présidentielle du 30 juillet, tout comme six autres prétendants.
Le Zimbabwe vient de fixer les dates des premières élections présidentielle et législatives depuis la chute du président Robert Mugabe en novembre. Le premier tour des élections présidentielles aura lieu le 30 juillet prochain, suivi d’un éventuel second tour le 8 septembre.
Au pouvoir depuis novembre, le chef de l’État du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa veut rassurer les investisseurs et prouver que la page Mugabe est bien tournée. Entretien avec un pilier de l’ancien régime qui, en quelques mois, est parvenu à incarner le renouveau.