Emmerson Mnangagwa a été investi président du Zimbabwe le 24 novembre 2017, succédant à Robert Mugabe, 93 ans, démissionnaire après avoir été démis par l’armée.
Le président du Zimbabwe Emmerson Mnangagwa a lancé vendredi la campagne de son parti, la Zanu-PF, pour les élections générales de juillet, les premières depuis la chute de Robert Mugabe, en promettant à ses troupes une victoire sans bavure.
Il y a tout juste cinq mois s’est déroulée dans la capitale d’un pays africain la dernière phase d’un événement à nul autre pareil. Mais était-ce bien la dernière phase ?
L’ancien président s’est exprimé pour la première fois depuis l’arrivée au pouvoir de Mnangagwa. Et il ne compte pas déposer les armes face à son ex-bras droit.
La police zimbabwéenne a confirmé dimanche enquêter sur l’ancienne et très controversée première dame du pays, Grace Mugabe, soupçonnée d’avoir empoché des millions de dollars en exportant illégalement de l’ivoire de contrebande.
L’ex-président du Zimbabwe Robert Mugabe a mis fin jeudi au silence qu’il respectait depuis sa démission en novembre sous la pression de l’armée et de son parti, déplorant avoir été la victime d’un « coup d’État ». Il assure toutefois « ne pas vouloir être président » à nouveau.
L’ex-président zimbabwéen Robert Mugabe a déclenché un vent de « panique » au sein de la Zanu-PF, le parti qu’il a dirigé pendant des décennies, en posant aux côtés d’un ancien général, candidat de l’opposition à la présidentielle de 2018.
À quelques mois de l’élection présidentielle, le chef du principal parti d’opposition au Zimbabwe, Morgan Tsvangirai, adversaire historique du régime de l’ex-président Robert Mugabe, est décédé d’un cancer ce mercredi à l’âge de 65 ans, laissant derrière lui un parti en proie à des dissidences.
Les élections présidentielle et législatives prévues cette année au Zimbabwe devraient être organisées « avant juillet », a annoncé mercredi le nouveau président, Emmerson Mnangagwa, lors du Forum économique mondial de Davos en Suisse.
L’année 2018 sera à quitte ou double pour l’avenir ou le devenir de certaines démocraties africaines. L’attention va se concentrer sur le Zimbabwe, pays en pleine refonte. Mais le Cameroun de Paul Biya, le Mali d’IBK ont aussi rendez-vous dans les urnes. Enfin le feuilleton des élections congolaises devrait connaitre son lot de rebondissements. Détails en infographie.
L’ancien président du Zimbabwe Robert Mugabe va bénéficier d’un logement, d’une flotte de voitures et de voyages en avion privé, conformément à un nouveau plan de retraite financé par le gouvernement et destiné aux anciens dirigeants, a révélé jeudi la presse officielle.
L’ancien chef de l’armée zimbabwéenne qui a dirigé le coup de force ayant mis fin en novembre au règne de 37 ans de Robert Mugabe a été nommé à la vice-présidence du parti au pouvoir, a annoncé samedi la présidence.
L’état-major de l’armée zimbabwéenne a officiellement annoncé lundi la fin de l’opération qui a précipité, à la mi-novembre, le départ de Robert Mugabe de la présidence, après trente-sept années de règne sans partage.
Robert Mugabe et son épouse, Grace, n’ont toujours pas quitté le « Blue Roof Mansion », luxueuse villa à Harare qu’ils occupent depuis le 21 novembre. Le couple souhaiterait désormais « vivre une vie de fermier », selon l’un de leurs proches.
Ils avaient fait Mugabe, ils ont été, fin novembre, les artisans de la victoire d’Emmerson Mnangagwa. Aujourd’hui, les vétérans de la guerre de libération sont de retour au cœur du pouvoir.
Le ministère français des Affaires étrangères espère que la nomination d’Emmerson Mnangagwa comme président va renforcer les liens économiques de Paris avec Harare.
L’ancien vice-président du Zimbabwe Phelekezela Mphoko, proche de Grace Mugabe, l’épouse de Robert Mugabe forcé à la démission le 21 novembre, est rentré dans son pays qu’il avait fui par crainte pour sa sécurité, a rapporté samedi le quotidien gouvernemental The Herald.
Le nouveau président zimbabwéen, Emmerson Mnangagwa, a fait la part belle à la vieille garde de la ZANU-PF dans le gouvernement qu’il vient de nommer. Seule nouveauté : la présence de militaire à des postes clés.
Le psychodrame aura duré du mercredi 15 au mardi 21 novembre, soit une semaine pleine. Avec pour théâtre Harare, capitale du Zimbabwe, et, dans le rôle du personnage principal, Robert Mugabe, 93 ans, dont cinquante comme, successivement, combattant de la liberté, Premier ministre et président-dictateur de son pays.
La chute de Robert Mugabe fait naître beaucoup d’espoir dans le pays. Pourtant, son successeur n’est autre que l’ex-numéro deux du régime. Et, à moins de huit mois de la présidentielle, les défis qui l’attendent sont colossaux.
Le nouveau président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa hérite du bilan économique catastrophique de Robert Mugabe. Moins « idéologique » que son prédécesseur, il pourrait prendre des mesures permettant de stabiliser la situation, sans que l’état de l’économie zimbabwéenne ne s’améliore à court terme.
Le nouveau président zimbabwéen a dissous le gouvernement de son prédécesseur, Robert Mugabe, et confié temporairement deux portefeuilles clé à des ministres du chef de l’État démissionnaire. La Chine, soupçonnée d’avoir soutenu en sous-main le nouvel homme fort du pays dans son ascension, a par ailleurs démenti ces allégations.
« Kutanga Kwaro » (« Sa façon de diriger »), une chanson de Jah Prayzah, est devenue la bande son de la transition zimbabwéenne. Ses paroles, pourtant écrites il y a plusieurs semaines, sont prophétiques, selon les supporteurs du nouveau président, Emmerson Mnangagwa.
Le nouveau président zimbabwéen a été investi ce vendredi au Stade national des sports d’Harare, devant une foule enthousiaste.Promettant une rupture radicale avec la politique de son prédécesseur, il a annoncé des élections apaisées dès 2018.
Le nouveau président du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa, a été officiellement investi vendredi et succède à Robert Mugabe, 93 ans, qui a démissionné mardi, refermant la page de trente-sept ans de règne à la tête du pays.
L’ancien président du Zimbabwe Robert Mugabe, qui a démissionné de ses fonctions de chef d’État mardi, a obtenu l’immunité en échange de son départ du pouvoir, a-t-on appris jeudi de sources proches des négociations.
Le nouvel homme fort du Zimbabwe, Emmerson Mnangagwa, est rentré à Harare ce mercredi, au lendemain de la démission de Robert Mugabe. Dans un discours sans ambiguïté devant ses partisans, au siège du parti au pouvoir, il a confirmé qu’il serait investi vendredi comme président.
Les réactions internationales n’ont pas tardé à tomber suite à l’annonce, mardi, par le président du Parlement zimbabwéen de la démission de Robert Mugabe, marquant la fin de 37 ans de pouvoir.
Au lendemain de la démission de Robert Mugabe après 37 ans à la tête du pays, Emmerson Mnangagwa, ancien vice-président limogé au début du mois et poussé à l’exil au terme d’un bras de fer avec la Première dame, est rentré à Harare mercredi.