Signée le 5 avril dernier par les présidents d’E.cam, Protais Ayangma, et du Gicam, Célestin Tawamba, la fusion entre les deux organisations patronales du Cameroun ne fait pas que des heureux. Un mystérieux groupe tente de mobiliser contre cette réforme, présentée comme une manœuvre électoraliste de Tawamba pour se maintenir à ce poste stratégique.
Le négociant entre de plain-pied dans l’industrie forestière en reprenant deux filiales du groupe français Rougier, actuellement en redressement judiciaire.