La suspension des travaux liés à l’exploitation du mégagisement de fer dans le sud-est du pays a pris de court les opérateurs privés, SMB-Winning et Rio Tinto.
L’activité minière s’est poursuivie au même rythme qu’avant le coup d’État. Mais les bouclages financiers des futurs projets risquent d’être plus compliqués.
Après la reprise du numéro un mondial d’alumine de spécialité, le président franco-guinéen du conseil d’administration de la Société minière de Boké, Fadi Wazni, compte développer une raffinerie en Guinée.
Après six mois de discussion, le gouvernement guinéen valide la convention pour l’exploitation des blocs 1 et 2 du mont Simandou par le consortium SMB-Winning. Montant estimé de l’investissement : 14 milliards de dollars.
Depuis que la Guinée et BSGR, la compagnie du milliardaire israélien controversé Beny Steinmetz, ont trouvé un terrain d’entente au sujet des blocs 1 et 2 du mont Simandou, rétrocédés à l’État le 21 février 2019, les perspectives se sont ouvertes pour le démarrage d’un projet minier d’envergure.
De la bauxite au fer : le patron du consortium sino-guinéo-singapourien détaille sa stratégie pour le démarrage de l’exploitation des blocs 1 et 2 du gisement du mont Simandou, obtenus le 13 novembre.
Voici, par ordre alphabétique, la liste – non exhaustive – des dynasties d’entrepreneurs libanais qui contribuent le plus au développement de leurs pays d’accueil, en Afrique de l’Ouest et ailleurs.
Le géant de l’aluminium China Hongqiao Group, qui veut alimenter ses alumineries en bauxite, a réussi à étendre ses concessions minières en Guinée par l’entremise de son associé libano-guinéen Fadi Wazni (photo), patron d’United Mining Supply, avec qui il partage l’actionnariat de la Société minière de Boké (SMB).