C’est une enquête du Guardian qui a remis l’ancienne procureure de la Cour pénale internationale sur le devant de la scène, en révélant les pressions israéliennes dont elle a fait l’objet. Ces dernières expliquent en partie sa très grande discrétion.
Accusé par la justice internationale d’avoir commis des crimes contre l’humanité lors de la crise postélectorale de 2010-2011 en Côte d’Ivoire, l’ancien ministre de la Jeunesse de Laurent Gbagbo a passé six années en détention.
En Côte d’Ivoire, l’ancien président s’est exprimé ce vendredi devant une foule de partisans réunis à Yopougon. Il s’agit de son premier grand meeting depuis son retour à Abidjan en 2021 et le lancement de son parti, le PPA-CI.
Après avoir échoué sur les dossiers Bemba et Gbagbo, la CPI est en passe de juger Omar el-Béchir pour génocide. Une occasion pour les juges de La Haye de faire taire les critiques.
Le successeur de Fatou Bensouda a pris officiellement ses fonctions le 16 juin dernier. Pour mener ses réformes et convaincre, il pourra compter sur des personnalités de premier plan.
Le nouveau procureur de la Cour pénale internationale prend ses fonctions ce 16 juin. Bien connu sur le continent, le Britannique y compte des soutiens importants… et quelques détracteurs.
De retour dans la majorité, aux côtés de Félix Tshisekedi, après quinze années dans le costume d’opposant, Jean-Pierre Bemba sort du silence. Pourquoi a-t-il choisi de rallier le chef de l’État, dont il avait pourtant contesté l’élection ? Quelles sont ses relations avec Joseph Kabila ? L’Union sacrée peut-elle résister aux frustrations des uns et des autres ? Le président du MLC se confie en exclusivité à Jeune Afrique.
Confirmé en appel le 31 mars dernier, l’acquittement de Laurent Gbagbo vient clore une liste d’échecs marquants pour la procureure de la Cour pénale internationale (CPI). De quoi éclipser les réussites de son mandat de neuf ans, qui s’achèvera le 16 juin prochain ?
Au moment où la procureure générale de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, prépare ses valises, son institution semble moins obsédée par les dossiers africains. Elle enquête désormais sur des crimes présumés dans les territoires palestiniens.
C’est finalement le Britannique Karim Khan qui a été élu procureur de la Cour pénale internationale. Cet avocat spécialisé dans les droits humains succèdera à la Gambienne Fatou Bensouda le 16 juin pour un mandat de neuf ans.
Le Britannique a été élu procureur pour un mandat de neuf ans, vendredi 12 février, lors d’un vote à bulletin secret. Faute d’avoir atteint un consensus, les États-parties ont dû, pour la première fois, en passer par un vote.
Ancien chef de guerre au sein de la rébellion de l’ex-Séléka, Mahamat Said Abdel Kani a été remis par les autorités centrafricaines à la Cour pénale internationale, le 24 janvier. Il est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.
Déçus par les quatre personnes présélectionnées pour succéder à la procureure générale, les États parties ont décidé le 13 novembre de faire revenir dans la compétition dix candidats précédemment écartés.
Peu lui importent les revers et les coups bas. À six mois de la fin de son mandat, la procureure générale de la Cour pénale internationale (CPI) défend son bilan, convaincue d’avoir fait avancer la justice, et refuse de se laisser intimider.
Ciblée par des sanctions américaines depuis le 2 septembre, la procureure de la Cour pénale internationale a vu plusieurs de ses comptes gelés par l’administration Trump.
Alors que Washington a placé la procureure de la CPI sur liste noire après l’ouverture d’une enquête sur les crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis en Afghanistan, l’inquiétude domine à La Haye. Quels sont les recours dont disposent la Cour ?
Alors que la CPI enquête sur les agissements de soldats américains en Afghanistan, les États-Unis ont annoncé des sanctions contre la procureure gambienne d’une CPI qualifiée de « corrompue ».
Les quatre candidats officiels au poste de procureur de la Cour pénale internationale ont passé un véritable entretien d’embauche. Une expérience inédite.
Quatre professionnels ont été officiellement pré-sélectionnés pour le poste de procureur de la Cour pénale internationale, dont l’Ougandaise Susan Okalany et le Nigérian Morris Anyah.
La Cour pénale internationale est sur le point de publier la liste restreinte des candidats au poste de procureur général. Quels sont les enjeux de cette élection pour l’Afrique et pour l’avenir de la Cour elle-même ?
La Cour pénale internationale (CPI) a confirmé lundi des charges de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité à l’encontre d’Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud, un jihadiste malien accusé d’avoir participé à la démolition du patrimoine à Tombouctou, et a annoncé l’ouverture de son procès.
La procureure générale de la Cour pénale internationale (CPI), l’une des femmes les plus influentes du monde, a créé à nouveau la polémique en faisant appel de l’acquittement de l’Ivoirien Laurent Gbagbo, le 16 septembre dernier. La Gambienne – dont le mandat touche à sa fin – joue là son crédit.
La procureure de la Cour pénale internationale (CPI) a jusqu’à minuit, ce lundi 16 septembre, pour faire appel de l’acquittement de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo. À un an de la présidentielle, la Côte d’Ivoire est suspendue à cette décision.
La procureure de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, pourrait être auditionnée par la Commission réconciliation et vérité, chargée d’enquêter sur les crimes commis pendant les vingt-deux ans du régime de Yahya Jammeh.
Le 16 juillet, les juges de la Cour pénale internationale (CPI) qui ont acquitté l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo ont rendu leurs conclusions écrites. Sur plus de 1 000 pages, ils démontent l’instruction et les méthodes de la procureure, Fatou Bensouda.
Les États-Unis ont révoqué le visa de la procureure générale de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, en réaction à l’éventuelle ouverture d’une enquête sur des crimes de guerre présumés commis par des soldats américains en Afghanistan.
Si la 73e Assemblée générale des Nations unies a été marquée par l’absence de nombreux chefs d’État africains, ceux qui ont fait le déplacement ont multiplié les rendez-vous bilatéraux. Tour d’horizon.
Les avocats de l’ex-président ont été autorisés à plaider le non-lieu devant la CPI. Confiants, ses partisans le voient revenir au pays avant la prochaine présidentielle.
Entre ceux qui vilipendent à tort la Cour pénale internationale (CPI) et ceux qui la critiquent à raison, l’espace se réduit chaque mois un peu plus, au point que l’on se demande si l’institution, née il y a vingt ans du traité de Rome, n’est pas à court terme menacée d’asphyxie prématurée.