Le gouvernement du Burundi a rejeté « catégoriquement » la décision de la Cour pénale internationale (CPI) d’autoriser l’ouverture d’une enquête sur des crimes contre l’humanité présumés entre 2015 et 2017 au Burundi. La ministre de la Justice a assuré vendredi que Bujumbura ne collaborerait « jamais » avec cette cour.
Les juges de la Cour pénale internationale ont autorisé l’ouverture d’une enquête pour crimes contre l’humanité au Burundi le 25 octobre, la veille du retrait du pays du statut de Rome, a-t-on appris ce jeudi. Une « victoire », selon le collectif d’avocats des parties civiles.
Apres les multiples allégations de violations des droits de l’homme par l’armée malienne et les groupes armées du nord du pays, la procureure de la CPI, Fatou Bensouda, a fait une visite de deux jours au Mali.
La Cour pénale internationale (CPI) a jugé ce jeudi 6 juillet que l’Afrique du Sud avait manqué à ses obligations internationale en n’arrêtant pas sur son sol le président soudanais Omar el-Béchir, en juin 2015.
Jeudi, la Cour pénale internationale doit décider si l’Afrique du Sud a violé des lois internationales, en n’arrêtant pas le président soudanais en 2015. Une décision qui en dira beaucoup sur la marge de manœuvre de la Cour dans l’avenir…
Les conclusions de la mission préliminaire des experts mandatés par la Cour pénale internationale au Gabon vont être transmises au parquet qui décidera ou non de l’ouverture d’une enquête pour « crime contre l’humanité ».
La Cour pénale internationale (CPI) envisage d’ouvrir une enquête sur les crimes visant les migrants en Libye, devenue selon elle un marché pour la traite d’êtres humains.
Deux associations de la diaspora congolaise le claironnent depuis le 10 mars : ce jour-là, elles ont déposé « une plainte contre Joseph Kabila » devant la CPI, et elle aurait été jugée « recevable ».
Le débat fait à nouveau rage. En moins d’un mois, trois pays africains ont annoncé vouloir se retirer de la Cour pénale internationale (CPI) : le Burundi, l’Afrique du Sud, puis la Gambie.
Le ministre de l’Information gambien a annoncé mardi que son pays allait se retirer de la Cour pénale internationale (CPI). Le pays imite ainsi l’Afrique du Sud et le Burundi, qui ont récemment annoncé leur retrait.
Dans un communiqué rendu public jeudi, la procureure de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, affirme que son bureau procédera à un examen préliminaire de la situation qui a prévalu au Gabon depuis mai 2016, en réponse à la demande des autorités gabonaises.
Le Front citoyen 2016 s’est rendu mercredi et jeudi à La Haye pour rencontrer Fatou Bensouda, la procureure de la CPI, et son bureau. Objectif : sensibiliser sur les tueries à répétition à Beni, dans le nord-est de la RD Congo. Mais pas seulement.
Un an jour pour jour après le début de la crise politique et humanitaire au Burundi, la procureure de la Cour pénale internationale (CPI) Fatou Bensouda a annoncé lundi l’ouverture d’un examen préliminaire, étape préalable à une enquête approfondie sur les violences commises au Burundi.
Après le verdict de la Cour pénale internationale (CPI) dans l’affaire Bemba, la procureure Fatou Bensouda a salué lundi une « décision historique » et un « message fort » adressé aux seigneurs de guerre à travers le monde. Interview.
En visite au Tchad, la Gambienne Fatou Bensouda, procureure de la CPI, a rappelé quelques règles de base aux pourfendeurs de la justice internationale sur le continent.
Justice du deux poids-deux mesures, néocolonialisme… Les griefs de l’Union africaine à l’encontre de la Cour pénale internationale sont anciens et récurrents. Lors de son 26e sommet, l’organisation continentale a brandi la menace d’un retrait collectif. Énième gesticulation, ou dernier avertissement ?
Le procès de l’ancien président ivoirien devant la CPI s’est ouvert le 28 janvier, à 9h30. Le dossier d’accusation de la procureure sera-t-il assez solide face à une défense prête à en découdre ?
Le procès de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé devant la Cour pénale internationale (CPI) se poursuit. Après les propos liminaires de l’accusation, c’est au tour des équipes de la défense de l’ancien président ivoirien et de son ex-« général de la rue » de s’exprimer.
La procureure Fatou Bensouda veut sortir la tête haute de quatre années d’une procédure laborieuse. Et prouver qu’elle n’est ni la marionnette de Ouattara ni celle de l’Occident.
Les deux premiers jours du procès de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé devant la Cour pénale internationale (CPI) ont été l’occasion pour le bureau de la procureure de résumer les preuves que l’accusation présentera. Décryptage.
Le procès de l’ancien président ivoirien, Laurent Gbagbo, et de Charles Blé Goudé, son ancien allié, s’ouvre ce matin devant la Cour pénale internationale à La Haye (Pays-Bas). Retrouvez le déroulé de la journée minute par minute, grâce à notre envoyé spécial sur place.
Quatre ans après le transfert de Laurent Gbagbo à la Haye, le procès de l’ancien président ivoirien et de Charles Blé Goudé devant la CPI s’ouvre jeudi. Les propos liminaires de l’accusation et de la défense sont au menu des deux premiers jours d’audiences.
Le procès de l’ancien président ivoirien devant la CPI s’ouvre jeudi, à 9 h 30. Le dossier d’accusation de la procureure sera-t-il assez solide face à une défense prête
à en découdre ?
Le procès de Laurent Gbagbo devant la Cour pénale internationale s’ouvre jeudi. Depuis son arrivée à La Haye, quatre ans se sont écoulés. Retour sur les principaux événements qui ont mené au procès de l’ancien président ivoirien.
Les résultats nationaux du premier tour de l’élection présidentielle de dimanche en Guinée ne devraient pas être connus avant la fin de la semaine au plus tôt, a déclaré mercredi 14 octobre la commission électorale. Selon elle, le scrutin a fortement mobilisé : une participation de quelque 75% a été enregistrée.
Le procès pour subornation de témoins de l’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba et quatre de ses proches s’est ouvert mardi devant la Cour pénale internationale (CPI), la première affaire du genre instruite par cette instance.
« Des progrès importants et encourageants ont été effectués dans l’enquête sur le massacre d’au moins 157 personnes en septembre 2009 à Conakry, la capitale guinéenne », a affirmé samedi la procureure de la Cour pénale internationale (CPI), Fatou Bensouda.
La procureure de la Cour pénale internationale (CPI) s’est rendue ce jeudi 2 juillet pour trois jours en Guinée afin de faire le point sur l’enquête sur le massacre d’au moins 157 personnes en septembre 2009 à Conakry.
Fatou Bensouda, la procureure de la Cour pénale internationale (CPI), demande à Bangui un peu de patience avant de pouvoir présenter des dossiers solides sur les exactions commises en Centrafrique.
L’année 2014 aura été difficile. Le procureur de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, refuse de parler d’échecs, mais sait que ses détracteurs l’attendent au tournant. Qu’elle aura bientôt à défendre des dossiers emblématiques et qu’il est urgent de redresser la barre.