Le Cameroun devra battre le Burundi, le 12 septembre à Garoua, s’il veut participer à la prochaine CAN en Côte d’Ivoire. Les Lions indomptables pourront compter sur leur gardien André Onana, dont le retour doit beaucoup à quelques interventions politiques.
Si les enfants du chef de l’État attirent souvent tous les regards, ses beaux-fils, Patrick et Franck Hertz, nés du premier mariage de son épouse, sont plus discrets. Mais ils ont su capitaliser sur le pouvoir de leur mère.
Le secrétaire général de la présidence et le patron de la SNH s’opposent sur la manière de gérer le pipeline Tchad-Cameroun. Une querelle au sommet de l’État dans un microcosme qui préfère habituellement régler ses comptes à l’abri des regards.
Au Cameroun, la directrice des affaires juridiques de la SNH, et épouse de son patron Adolphe Moudiki, a su consolider son influence au sein du sérail au point de devenir une incontournable du système de Paul Biya.
L’icône du makossa a récemment été la cible d’activistes de la diaspora camerounaise, qui lui reprochent son soutien présumé au chef de l’État et sa proximité avec Ferdinand Ngoh Ngoh. La chanteuse affirme pourtant se tenir éloignée de la politique.
La première session annuelle du conseil d’administration de la Société nationale des hydrocarbures s’est tenue ce 13 juin. Le rachat des actifs de Savannah Energy dans le pipeline Tchad-Cameroun a été gelé. Explications.
Le bras de fer entre N’Djamena et la SNH s’est déporté dans la capitale française. Un conseil d’administration de la Cotco s’y est tenu le 24 mai, et il a connu son lot de rebondissements… Coulisses.
Le secrétaire général de la présidence et le patron de la Société nationale des hydrocarbures sont à couteaux tirés, depuis les débuts de l’affaire Savannah Energy et les négociations autour du pipeline devant relier le Tchad au Cameroun.
Bien introduit dans les cercles du pouvoir, l’Israélien a effectué une visite – courte mais remarquée – ce 13 mai à l’hôpital militaire de Yaoundé, où se déroulait une campagne de santé à laquelle participait sa fondation.
Depuis que l’affaire Savannah Energy a éclaté entre le Cameroun et le Tchad, les tensions ne sont pas redescendues à Yaoundé. Le couple Moudiki est fragilisé à la tête de la SNH, tandis que le secrétaire général de la présidence Ferdinand Ngoh Ngoh avance ses pions.
Le tout-puissant ministre de la Justice a pris le risque de se lier d’amitié avec l’homme d’affaires Jean-Pierre Amougou Belinga, soupçonné d’avoir commandité l’enlèvement de Martinez Zogo. Paul Biya va-t-il lâcher ce fidèle qui l’a aidé à consolider son pouvoir ?
Le président camerounais Paul Biya a envoyé ce 27 avril son bras droit, Ferdinand Ngoh Ngoh, à N’Djamena afin de rencontrer le chef de l’État tchadien et de tenter de mettre fin au différend pétrolier qui oppose les deux pays. Jeune Afrique dévoile les coulisses de cet entretien dont rien n’a filtré.
Si la société Savannah Energy cristallise la brouille diplomatico-pétrolière entre Mahamat Idriss Déby Itno et Paul Biya, une autre entreprise joue un rôle dans ce dossier : la franco-britannique Perenco. Révélations.
Le principal actionnaire de l’énergéticien Eneo réclame 186 milliards de F CFA d’arriéré à l’État camerounais. Dans une lettre au Premier ministre, le fonds britannique exige un règlement le 28 avril au plus tard.
Alors que le président camerounais vient de célébrer ses 90 ans, dont quarante années passées à la tête du pays, ses proches ont resserré leurs liens. Mais, derrière la solidarité familiale affichée, les clans se préparent secrètement à sa succession.
Ces derniers temps, le puissant ministre des Finances et neveu de Paul Biya essuie des revers. Avec, toujours en toile de fond, la lutte d’influence qui l’oppose à Ferdinand Ngoh Ngoh, le secrétaire général de la présidence. Explications.
Épargné par les scandales, engagé dans la résolution de la crise anglophone, le chef du gouvernement camerounais apparaît aujourd’hui comme un pôle de stabilité dans la tempête.
L’affaire Martinez Zogo a jeté une lumière crue sur les pratiques du contre-espionnage camerounais. Son directeur général et son directeur des opérations ont été inculpés. Des espions sont-ils devenus tueurs à gages ? À quel moment le système a-t-il failli ? Plongée au cœur de la DGRE.
Relations entre le président et son ministre de la Justice, lutte des clans, crise anglophone, loi sur la double nationalité… L’avocate et défenseure des droits de l’homme aborde les dossiers brûlants de l’actualité camerounaise.
Chef présumé du commando qui a assassiné le journaliste Martinez Zogo, cet officier de la DGRE, resté dans l’ombre pendant des années, est aujourd’hui au cœur de l’affaire d’État qui ébranle le Cameroun.
L’homme d’affaires au cœur de l’enquête sur le meurtre du journaliste camerounais bénéficie d’alliés de poids au sein du premier cercle de Paul Biya et dans les palais présidentiels. Mais il compte également de puissants ennemis.
Depuis l’éclatement de l’affaire Martinez Zogo, le président camerounais s’appuie sur plusieurs de ses fidèles pour suivre l’avancée d’une enquête qui pourrait avoir de graves conséquences politiques.
Jean-Pierre Amougou Belinga a été amené ce 14 février devant le tribunal militaire de Yaoundé, lequel a choisi de ne pas prononcer son inculpation mais de demander un complément d’enquête sur le meurtre de Martinez Zogo.
Ottawa confirme que Yaoundé a ouvert, en toute confidentialité, des discussions avec des factions sécessionnistes, en lui demandant de jouer les facilitateurs. Récit d’une intense séquence diplomatique.
Plusieurs personnalités soupçonnées d’être impliquées dans la mort de l’animateur radio ont été récemment interpellées par la police camerounaise. Retour sur les dessous d’un crime qui menace d’ébranler le pouvoir.
Retardée de plusieurs jours, l’interpellation de l’homme d’affaires Jean-Pierre Amougou Belinga a finalement eu lieu ce 6 février. Un épisode-clé d’un feuilleton hautement politique au Cameroun.
Principal suspect dans l’enquête sur le meurtre du journaliste camerounais Martinez Zogo, Jean-Pierre Amougou Belinga a été arrêté et placé en détention ce lundi 6 février.
Au Cameroun, plusieurs personnes ont été arrêtées dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat de Martinez Zogo. Parmi elles, le directeur général des renseignements extérieurs et son adjoint chargé des opérations spéciales.
Le commissaire divisionnaire Léopold Maxime Eko Eko, patron de la Direction générale de la recherche extérieure (DGRE), le service de contre-espionnage camerounais, a été entendu ce 1er février au secrétariat d’État à la Défense.
C’est le secrétariat d’État camerounais à la Défense qui a pris en main l’enquête sur l’assassinat du rédacteur en chef d’Amplitude FM. À sa tête, un ancien diplomate devenu l’un des hommes les plus redoutés de Yaoundé.