L’augmentation de 400 points de base décidée le 27 février montre que maîtriser l’inflation est la priorité principale, selon Olayemi Cardoso, le gouverneur de la CBN.
Endettement, pauvreté, inflation… Pour surmonter une crise durablement installée, le chef de l’État nigérian, élu en mars 2023, s’est entouré des meilleurs économistes, financiers et banquiers.
Le groupe est revenu, le 19 février, sur les accusations de fraude dont il fait l’objet. D’après une enquête interne, aucun employé dans le pays n’avait pris part aux faits reprochés.
Le mandat catastrophique de l’ancien gouverneur de la CBN s’est achevé avec son arrestation par la police. Son successeur, Olayemi Cardoso, veut faire table rase du passé.
La récente perquisition du groupe fait trembler l’économie nigériane. Certains craignent l’effet repoussoir alors que le pays cherche à consolider son indépendance financière.
En marge du Forum économique mondial de Davos, l’ONG a publié son rapport annuel sur les inégalités. La manière dont le milliardaire nigérian a bâti sa fortune est pointée du doigt.
La Commission des délits économiques et financiers (EFCC) veut passer au crible les comptes du tycoon nigérian dans le cadre d’une enquête sur des opérations de change douteuses.
Activités illégales et irrégularités financières : le rapport d’enquête sur la gestion de la Banque centrale du Nigeria accable l’ancien gouverneur Godwin Emefiele, tout en épargnant l’ex-président Buhari.
Le négociant asiatique, très actif sur le continent, est mis à mal par des accusations de fraude sur des opérations de change au Nigeria, l’un de ses marchés clés. Olam rejette toutes les allégations.
En peu de temps, il est passé des sommets de l’État au déshonneur de la démission forcée. Le désormais ancien gouverneur de la Banque centrale paie sa proximité avec l’ancienne administration. Et son entêtement à refuser la dévaluation de la monnaie nationale.
Quinze pays africains préparent, développent ou déploient des e-monnaies. Sous le regard vigilant des banques, des opérateurs télécoms et de la fintech.
À l’approche du scrutin du 25 février, plusieurs banques ont fermé leurs agences face à la colère de clients qui peinent à se procurer les nouveaux billets mis en circulation par la banque centrale.
À un peu plus d’un mois des élections, la Banque centrale du Nigeria est accusée d’avoir accordé des prêts illégaux d’un montant de 53 milliards de dollars au gouvernement, accumulant des dettes impayables et provoquant la chute du naïra.
« Les 50 champions de la tech 2022 » (3/3). Qu’ils soient chefs d’autorités de régulation, lobbyistes, fondateurs d’incubateurs ou influenceurs, ils œuvrent à l’accélération de la numérisation sur le continent.
Que se passe-t-il dans la course pour la prise de contrôle de la plus ancienne banque du Nigeria ? Entre le milliardaire Femi Otedola et l’homme d’affaires Tunde Hassan-Odukale, la bataille se règle point par point. Récit.
La Banque centrale du Nigeria accusait fin août le géant des télécoms sud-africain d’avoir illégalement fait sortir du pays 8,13 milliards de dollars. Godwin Emefiele, le gouverneur de l’institution, semble avoir adopté une position plus modérée vis-à-vis de MTN, assurant aux parties prenantes que le différend sera « résolu ».