Dan Etete, l’ex-ministre nigérian du Pétrole, déjà condamné en France pour blanchiment d’argent, est rattrapé par une affaire de corruption d’une ampleur sans précédent.
La justice nigériane a condamné ce jeudi l’ancienne ministre du pétrole Diezani Alison-Madueke, accusée de détournements de fonds publics, à rembourser au gouvernement fédéral 153,3 millions de dollars (140 millions d’euros).
Yahya Jammeh est désormais en exil à Malabo, en Guinée équatoriale. Villa tout confort et bolides de luxe devrait lui assurer une paisible retraite. Mais tous les chefs d’État africains battus dans les urnes ont-ils choisi la même voie ?
La brigade anti-corruption a annoncé l’arrestation ce lundi d’un ancien porte-parole de l’ex-président nigérian Goodluck Jonathan. Reuden Abati est interrogé dans le cadre d’une enquête sur le détournement présumé de fonds destinés à la lutte contre le groupe islamiste Boko Haram.
Le monde salue le geste républicain du président Goodluck Jonathan, qui a reconnu mardi sa défaite face au candidat de l’opposition, l’ex-général Muhammadu Buhari. Avant lui, d’autres dirigeants africains se sont retirés après avoir été battus aux élections.
Les résultats de l’élection présidentielle nigériane ont été publiés mardi après-midi par la commission électorale indépendante. Ils placent le candidat de l’opposition Muhammadu Buhari en tête avec 15,4 millions de voix face au président sortant Goodluck Jonathan qui obtient 12,8 millions de suffrages et concède sa défaite.
Les deux principaux candidats à l’élection présidentielle, Goodluck Jonathan et Muhammadu Buhari, se sont engagés jeudi à respecter le résultat du scrutin.
Le ministère marocain des Affaires étrangères a tenu à faire savoir que le roi Mohammed VI a refusé un entretien téléphonique au président nigérian Goodluck Jonathan. Décryptage.
Le chef de l’État nigérian, Goodluck Jonathan, a reconnu dimanche avoir sous-estimé la capacité de nuisance de Boko Haram. Ce même jour, une fillette a tué cinq personnes en se faisant exploser dans le nord-est du pays.
L’ancien président nigérian Olusegun Obasanjo a quitté lundi le parti au pouvoir, six semaines avant l’élection présidentielle. S’il ne soutient pas officiellement le rival de Goodluck Jonathan, Muhammadu Buhari, ses relations avec l’actuel chef de l’État sont notoirement mauvaises.
Des centaines d’hommes de Boko Haram ont envahi samedi pendant quelques heures Gombe, capitale régionale dans le nord-est du Nigeria, une nouvelle humiliation pour le président Goodluk Jonathan qui appelle à l’aide les Etats-Unis avant les élections générales reportées à fin mars.
Une bombe a explosé lundi à la sortie d’un meeting électoral que venait de tenir le président Goodluck Jonathan dans un stade de Gombe, dans le nord-est du Nigeria, quelques minutes après son départ, selon des témoins.
À deux semaines de la présidentielle, Goodluck Jonathan, candidat à sa réélection, a poursuivi mercredi sa campagne dans le sud du Nigeria, région où se concentre la production pétrolière et qui est devenue un fief de l’opposition.
Le président nigérian a effectué jeudi une visite officielle à Maiduguri, capitale de l’État de Borno dans le nord-est du Nigeria pour témoigner sa compassion aux populations sinistrées par les attaques du groupe islamiste Boko Haram.
Le président nigérian Goodluck Jonathan, candidat à sa réélection à la mi-février, a lancé sa campagne électorale ce jeudi avec un grand meeting organisé à Lagos.
Qui sera président du Burkina Faso dans un an ? La chute de Blaise Compaoré aura-t-elle un effet au Togo ? Quel sera l’impact de Boko Haram sur le vote des Nigérians ? Qui affrontera Alassane Ouattara en Côte d’Ivoire ? 2015, année d’espoir, année à risque.
Ils étaient cinq candidats à espérer s’opposer à Goodluck Jonathan en février, lors de la prochaine élection présidentielle au Nigeria. C’est finalement Muhammadu Buhari, ancien militaire, qui a obtenu l’investiture de l’APC, principal parti d’opposition, jeudi.
Les délégués du principal parti d’opposition nigérian, le Congrès progressiste (APC), sont réunis mercredi à Lagos. Au programme : la désignation du candidat qui affrontera le président sortant Goodluck Jonathan lors de l’élection présidentielle de février 2015.
Le président nigérian Goodluck Jonathan a condamné samedi le terrible attentat de Kano qui a fait plus de 120 morts la veille devant la grande mosquée de la principale ville du nord du Nigeria, promettant de « remuer ciel et terre » contre les coupables.
Le président nigérian briguera un second mandat en février 2015. Les affaires de corruption qui entachent son bilan et son impuissance face aux islamistes de Boko Haram le feront-elles chavirer ?
Le président nigérian Goodluck Jonathan a annoncé le 11 novembre qu’il sera candidat à sa propre succession lors de l’élection présidentielle de février 2015.
Après s’est entretenus avec le lieutenant-colonel Isaac Zida, John Dramani Mahama, Goodluck Jonathan et Macky Sall doivent rencontrer les partis de l’opposition burkinabè et la société civile.
À l’issue d’une réunion organisée mardi matin à Ouagadougou entre les leaders de l’opposition et les envoyés de la Cedeao, de l’Union africaine et des Nations unies, le chef de file de l’opposition, Zéphirin Diabré, a annoncé la venue à Ouagadougou, mercredi, des présidents Macky Sall (Sénégal), Goodluck Jonathan (Nigeria) et John Dramani Mahama (Ghana), afin de « faciliter la sortie de crise ».
Le président du Nigeria, Goodluck Jonathan, n’a pas tardé à réagir à la publication d’un classement des présidents africains les plus riches lui attribuant une fortune de 100 millions de dollars (78 millions d’euros).
Le président nigérian Goodluck Jonathan a remplacé quatre dirigeants de la société pétrolière nationale NNPC. Cette institution, l’une des plus puissantes du pays, est régulièrement accusée de gaspiller les richesses du Nigeria.
S’il a hérité d’une situation explosive et n’est pas le seul responsable de l’échec nigérian face à l’insurrection islamiste dans le nord-est du pays, Goodluck Jonathan n’en a pas moins commis plusieurs erreurs sur le dossier Boko Haram.
Lors d’une conférence de presse qui s’est tenue dimanche à Bakou, le président français François Hollande a annoncé la tenue probable samedi à Paris d’un sommet de dirigeants africains sur la sécurité au Nigeria.
Alors que démarre une campagne internationale pour la libération des 223 lycéennes enlevées par Boko Haram, le président nigérian a indiqué dimanche avoir demandé la coopération de ses voisins et de nombreux pays occidentaux, au premier rang desquels les États-Unis.
Le président nigérian Goodluck Jonathan a donné l’ordre aux principaux responsables du pays, y compris à tous les chefs des services de sécurité, de « tout faire » pour garantir la libération sécurisée des 223 étudiantes enlevées par le groupe islamiste Boko Haram, a annoncé dimanche son porte-parole.