L’ex-secrétaire général du gouvernement a été nommé ministre de la Justice et des Affaires foncières en 2015, dans le gouvernement de Habib Essid. Il revient sur cet épisode et son exercice de la fonction, confiant notamment ses déceptions.
L’ancien chef du gouvernement Habib Essid a été nommé lundi ministre conseiller spécial auprès du président de la République en charge des affaires politiques. Un atout pour Béji Caïd Essebsi, en pleine crise politique avec le gouvernement Chahed.
La Tunisie est dos au mur. Avec un déficit qui dépasse les 6% du PIB, le pays ne doit de rester relativement à flot que par l’aide conjuguée du Qatar et de l’Union européenne. Pour sortir de l’ornière, il faut un sursaut de volontarisme que les perspectives électorales rendent peu probable.
Six mois après sa nomination, le chef du gouvernement d’union nationale est déjà au pied du mur. Malgré quelques avancées réelles à mettre à son crédit, il va devoir s’affirmer davantage pour pouvoir agir plus efficacement. Mais a-t‑il vraiment les mains libres ?
Un Code des libertés individuelles : cette proposition constitue, avec l’abrogation de la fameuse loi 52, la mesure-phare révélée dimanche 19 février par le président tunisien Béji Caïd Essebsi au cours de son interview télévisée sur la chaîne Nessma.
Noômène Fehri, 51 ans, le dynamique ministre des Technologies de la communication et de l’Économie numérique du gouvernement de Habib Essid, n’a pas été reconduit par Youssef Chahed.
Jeune, assuré et détaché des luttes de clans. Tel est le profil du successeur de Habib Essid à la tête du gouvernement. Surtout, le nouveau venu bénéficie de la confiance du président : un atout non négligeable après des mois d’hostilité larvée entre le Palais et la primature.
Le Parlement tunisien a comme attendu retiré samedi soir sa confiance au gouvernement de Habib Essid, sous pression depuis que le président Béji Caïd Essebsi s’est dit en faveur d’un cabinet d’union nationale il y a deux mois.
Le Parlement tunisien vote samedi pour décider s’il renouvelle ou non sa confiance au gouvernement de Habib Essid dont le départ semble scellé après un bras de fer de plusieurs semaines avec la présidence.
Tout le monde annonce le départ du Premier ministre, Habib Essid, depuis de longues semaines. On le dit même en disgrâce auprès du chef de l’État. Qui est-il vraiment et quel est son bilan ?
Dans le feuilleton de la crise politique et gouvernementale tunisienne, un nouvel épisode s’est joué le 19 juillet avec une interview du Chef du gouvernement Habib Essid.
Le chef du gouvernement tunisien Habib Essid, sous pression depuis plusieurs semaines, a officiellement demandé mercredi un vote de confiance du Parlement.
Un document censé ouvrir la voie à la formation d’un gouvernement d’union en Tunisie a été signé mercredi au palais présidentiel en l’absence du Premier ministre Habib Essid, en rupture avec le chef de l’État et dont le sort semble scellé.
Suspense, rebondissements, rivalité de clans, scénario à rallonge… Le feuilleton du gouvernement d’union nationale n’a rien à envier à ceux du petit écran. Mais pour combien de temps encore le pays sera-t-il tenu en haleine ?
Le Premier ministre va subir une intervention chirurgicale « mineure » nécessitant un repos de 48 heures, ont annoncé les services gouvernementaux jeudi.
Habib Essid, le chef du gouvernement tunisien, est toujours à son poste. Il n’entend pas démissionner, du moins pas pour le moment, et il continue à vaquer à ses occupations, imperturbablement. Il donne le change, mais son sort semble scellé.
Au démarrage du mois de Ramadan et de la saison estivale, période où la Tunisie décélère habituellement, le président de la République, Béji Caïd Essebsi relance le jeu politique et appelle à la formation d’un gouvernement d’union nationale. Une annonce qui fait réagir la classe politique du pays.
Le Premier ministre tunisien Habib Essid a affirmé vendredi qu’il était prêt à démissionner « si l’intérêt du pays l’exige », après que le président Béji Caïd Essebsi a plaidé pour un gouvernement d’union nationale.
Implosion du parti présidentiel, débauchages de députés… La coalition au pouvoir a du plomb dans l’aile, et Ennahdha, devenue majoritaire au Parlement, pousse ses pions. Bref, c’est la pagaille.
La Fondation Carnegie pour la paix internationale, l’un des think tanks les plus riches du monde, a publié le 14 avril un rapport intitulé « Entre périls et promesses : un nouveau cadre de partenariat avec la Tunisie ».
Durement critiqué par ses détracteurs, le chef du gouvernement défend son action et sa méthode, résultats à l’appui. Et appelle tous ses concitoyens à un sursaut pour prendre leur part dans le redressement du pays.
Tensions socio-économiques en Tunisie, imminence de frappes internationales en Libye, convalescence après une hospitalisation d’une semaine… Telles sont officiellement quelques-unes des raisons qui ont conduit au report de la visite de Habib Essid, le chef du gouvernement tunisien, au Maroc (9-11 février).
La semaine prochaine, le chef du gouvernement tunisien devrait effectuer une visite officielle au Maroc dont l’enjeu est de rééquilibrer les relations diplomatiques de la Tunisie, traditionnellement tournées vers l’Algérie.
Le Premier ministre tunisien Habib Essid a annoncé mercredi un remaniement de son gouvernement. Tout en respectant les équilibres politiques fondamentaux du Parlement, celui-ci réserve quelques surprises.
Habib Essid, le chef du gouvernement, l’avait annoncé dans son allocution télévisée après l’attentat du 24 novembre contre le bus de la Garde présidentielle : il fallait s’attendre à des changements dans son équipe ministérielle.