Le président sud-soudanais Salva Kiir et son ancien vice-président Riek Machar, dont les troupes respectives s’affrontent depuis mi-décembre au Soudan du Sud ont signé vendredi à Addis Abeba un engagement à « cesser les hostilités » et à de futures élections.
Moins de vingt-heures après l’arrivée à Addis-Abeba du chef rebelle Riek Machar, le président sud-soudanais Salva Kiir a quitté Djouba vendredi pour la capitale éthiopienne où les deux hommes doivent se rencontrer.
Le président sud-soudanais, Salva Kiir, et le chef des rebelles, Riek Machar, devraient discuter en face à face vendredi à Addis-Abeba. Cette rencontre serait la première entre le chef de l’État et son ancien vice-président depuis le début du conflit, le 15 décembre 2013.
Des projets à très long terme comme « l’Agenda 2063 », la réintégration du Mali et de Madagascar, des crises régionales qui s’apaisent… Lors de ce 22e sommet, l’organisation panafricaine a résolument tourné la page de la sombre année 2013.
L’Union africaine (UA) a décidé que le président kényan Uhuru Kenyatta ne devrait pas se rendre devant la Cour pénale internationale (CPI), où son procès doit s’ouvrir le 12 novembre, tant qu’une requête d’ajournement formulée par l’UA n’a pas reçu de réponse, a annoncé samedi le chef de la diplomatie éthiopienne.
Les chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine étaient réunis samedi à Addis Abeba pour examiner une résolution demandant l’ajournement des procédures ouvertes par la Cour pénale internationale contre des dirigeants en exercice.
Ambassadeur d’Éthiopie en Turquie, Mulatu Teshome a été élu, lundi, président de la République par le Parlement de son pays. Un poste essentiellement honorifique, la gestion de l’État étant entre les mains du Premier ministre.
Malgré l’organisation quelque peu chaotique du cinquantenaire de l’Union africaine, le 25 mai à Addis-abeba, François Hollande a pu multiplier les entretiens bilatéraux avec ses homologues du continent.
Après trois jours de discussions, la quarantaine de dirigeants africains participant à la Ticad V et leurs hôtes japonais se sont quittés, le 3 juin, en publiant la « Déclaration de Yokohama ». Le message est clair : Tokyo veut s’investir davantage en Afrique, comme le montrent les aides importantes accordées au continent pour les cinq prochaines années.
Le Premier ministre éthiopien et président de l’Union africaine (UA), Hailemariam Desalegn, a annoncé, lundi 27 mai, la création d’une force d’intervention rapide pour les conflits du continent. Une « mesure historique » qui aura pour vocation de pallier les retards dans la constitution d’une Force africaine en attente (FAA), attendue depuis une dizaine d’années.
Le président en exercice de l’Union africaine (UA), le Premier ministre éthiopien Hailemariam Desalegn, n’a pas mâché ses mots contre la Cour pénale internationale (CPI) après la clôture du sommet des chefs d’État, lundi 27 mai à Addis-Abeba. Il a reproché à la Cour de ne poursuivre que des Africains.
Les dirigeants africains célèbrent, ce samedi 25 mai, à Addis-Abeba, cinquante ans d’efforts vers l’unité du continent, en formulant l’espoir que l’actuel envol économique de l’Afrique permette enfin de réaliser les rêves nés de la décolonisation et de l’indépendance.
Depuis la disparition de Mélès Zenawi après plus de vingt ans de pouvoir, en août 2012, son successeur poursuit son programme. Avec une méthode et des prérogatives différentes.
Le Premier ministre éthiopien et président de l’Union africaine, Hailemariam Desalegn, doit effectuer sa première visite bilatérale hors d’Afrique à Paris, la semaine prochaine, après un séjour à Bruxelles.
Unanimes, les chefs d’État du continent ont salué, lors du sommet de l’UA (27 et 28 janvier), l’intervention militaire française au Mali. Mais celle-ci démontre aussi leur incapacité à régler leurs problèmes seuls. Et relance la question d’une force d’interposition africaine.
Le Premier ministre éthiopien, Hailemariam Desalegn, est devenu dimanche le nouveau président en exercice de l’Union africaine (UA), lors du 20e sommet de l’organisation panafricaine organisé à Addis Abeba.
Comme prévu, Hailemariam Desalegn est devenu, vendredi 21 septembre, le nouveau Premier ministre éthiopien en prêtant serment devant le Parlement. Se positionnant en héritier de Mélès Zenawi, il entend poursuivre les travaux entamés par son prédécesseur.
Le Premier ministre éthiopien par intérim Hailemariam Desalegn a été élu samedi président de l’EPRDF, la coalition au pouvoir en Ethiopie, succédant à l’ex-Premier ministre Meles Zenawi, décédé en août, auquel il devrait également succéder à la tête de l’exécutif en octobre.
Les funérailles nationales de Meles Zenawi, qui a dirigé l’Ethiopie pendant 21 ans, ont débuté dimanche dans la capitale Addis Abeba, en présence de nombreux chefs d’Etat africains et, en bonne place, de son successeur désigné Hailemariam Desalegn.
Qui succédera à l’ex-Premier ministre éthiopien Mélès Zenawi ? Le vice-Premier ministre n’a pas vraiment le profil, mais son absence de charisme et son appartenance à une ethnie minoritaire pourraient plaider – temporairement – en sa faveur.