Président de Madagascar depuis 2014, il est né en 1958 à Antsofinondry, au centre de l’île. Il obtient une maîtrise en sciences économiques avant de partir au Canada étudier la finance et la comptabilité. Diplômé, il revient et débute une carrière d’enseignant dans ces domaines. Dans le même temps, Il poursuit une carrière d’expert-comptable et devient vice-président du Conseil supérieur de comptabilité. En 2009, il est nommé à la tête du ministère des Finances et du Budget.
Les Malgaches ont commencé à voter le 7 novembre, pour le premier tour de la présidentielle, où trois anciens chefs de l’État font figure de favoris dans ce pays à l’histoire politique mouvementée.
Le 7 novembre, cinq ans après la dernière élection, à laquelle ils n’avaient pu participer, les anciens présidents Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina en découdront dans les urnes. Pour pimenter le tout, Hery Rajaonarimampianina et Didier Ignace Ratsiraka seront aussi de la partie.
Les trois favoris à la présidentielle malgache ont tenu meeting pour le dernier week-end de la campagne. L’occasion pour eux de vanter leurs mesures phares.
Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina, deux des principaux candidats au premier tour de l’élection présidentielle à Madagascar ont réuni samedi 3 novembre des dizaines de milliers de partisans chacun dans la capitale Antananarivo à quatre jours du scrutin prévu le 7 novembre.
Le 7 septembre, Hery Rajaonarimampianina a officiellement démissionné de la présidence de la République de Madagascar, une condition sine qua non pour pouvoir briguer un second mandat, le 7 novembre.
Comme à chaque période préélectorale, la question de la restitution des îles Éparses – Europa, Bassas da India et Juan de Nova, dans le canal du Mozambique –, conservées par la France après l’indépendance de Madagascar, s’invite dans la campagne.
Les candidats du littoral ont-ils une chance d’accéder à la magistrature suprême, pour la première fois depuis 2002 ? Oui, à condition de mettre leur ego de côté…
Le président sortant pourrait bien payer dans les urnes les promesses non tenues et les scandales de corruption à répétition. Ironie du sort : le pays se trouve de nouveau dans une bonne dynamique.
Interdit par les autorités malgaches, le sondage polémique sur les intentions de vote à la présidentielle du 7 novembre, auquel JA a eu accès, donne l’ex-président Andry Rajoelina en tête. 47 % des personnes interrogées ne se sont néanmoins pas prononcées.
Dans son ouvrage « Par amour de la patrie », publié mi-septembre aux éditions Michel Lafon, l’ex-président de la Transition (2009-2014) et actuel leader de l’opposition malgache livre sa version de l’histoire récente de la Grande Île.
Au nom de la protection de « l’ordre public », le gouvernement de Madagascar a suscité mercredi 26 septembre la polémique en obtenant le retrait d’un sondage sur les intentions de vote des électeurs en vue du scrutin présidentiel de la fin de l’année.
Et de trois ! Après Jean Ravelonarivo le 4 août, puis Jean Omer Beriziki douze jours plus tard, c’est Olivier Mahafaly Solonandrasana qui, le 21 août, a confirmé sa candidature à la présidentielle de cette fin d’année.
La réapparition sur les réseaux sociaux d’une étude affirmant que les campagnes électorales à Madagascar figurent parmi les plus chères de la planète relance le débat sur le financement des partis politiques, à quelques semaines des élections générales.
La Haute Cour constitutionnelle malgache a publié la liste des candidats au premier tour de l’élection présidentielle du 7 novembre 2018. Sur les 46 candidats, 36 ont été retenus. Parmi eux, les trois derniers chefs de l’État, dont le président sortant.
46 candidatures, dont celles des trois derniers chefs de l’État de la Grande Île, ont été déposées pour la présidentielle malgache qui se déroulera les 7 novembre et 19 décembre prochains. Des candidatures qui seront dans les prochains jours examinées par la Haute cour constitutionnelle malgache (HCC).
Le parti présidentiel HVM organise son congrès les 10 et 11 août, afin de désigner leur candidat à la prochaine présidentielle. Si le président n’a toujours pas annoncé sa candidature, Rivo Rakotovao, Paul Rabary et Olivier Mahafaly se sont déjà positionnés.
L’ancien président de la Transition, Andry Rajoelina, candidat à la présidentielle prévue fin 2018, présente ses objectifs pour Madagascar et affirme être « prêt ».
Le leader du Mapar, Andry Rajoelina, s’est déclaré mercredi candidat à l’élection présidentielle organisée à la fin de l’année à Madagascar. Il entend notamment abolir le Sénat s’il est élu.
À trois mois de la présidentielle, « TGV » fait son come-back. Désormais principal opposant au pouvoir en place, il semble en très bonne position dans la course.
Le nouveau gouvernement malgache de « consensus », censé diriger le pays jusqu’aux prochaines élections générales, est sévèrement critiqué par les manifestants et l’opposition, qui réclament le départ des ministres du parti présidentiel.
Christian Ntsay a été nommé Premier ministre lundi 4 juin, à la surprise générale et au terme de longues négociations. Il devrait nommer un gouvernement de « techniciens » à même de sortir de la crise et de conduire le pays jusqu’à l’élection présidentielle.
La bataille pour le choix du futur Premier ministre de « consensus », censé mettre fin à la crise politique qui secoue Madagascar depuis fin avril, s’est engagée samedi, avec le refus du président malgache Hery Rajaonarimampianina d’accepter les candidats présentés par l’opposition.
Le ministre malgache de la Défense a tapé jeudi du poing sur la table en menaçant de faire intervenir les forces de l’ordre si le gouvernement et l’opposition ne trouvent pas rapidement une issue à la crise politique qui secoue le pays depuis plus d’un mois.
Le parti du président malgache Hery Rajaonarimampianina s’est déclaré samedi favorable à une négociation avec l’opposition pour sortir de la crise qui les oppose, au lendemain de la décision de la Haute cour constitutionnelle ordonnant la formation d’un gouvernement de coalition.
Saisie par l’opposition d’une demande de destitution du président Hery Rajaonarimampianina, la plus haute juridiction du pays a ordonné vendredi 25 mai la nomination d’un gouvernement d’union nationale pour tenter de sortir de la crise qui secoue le pays.
L’ancien président de la transition Andry Rajoelina a lancé le 24 mai, à Antananarivo, son Initiative pour l’émergence de Madagascar. À quelques mois de l’élection présidentielle programmée fin 2018, la crise politique reste toujours aussi tendue dans le pays.
Alors que l’opposition continue de manifester quasi-quotidiennement sur la place du 13-Mai, à Antananarivo, réclamant le départ du président Hery Rajaonarimampianina, ce dernier se trouve dans une « position intenable », selon un diplomate. Décryptage d’un cocktail explosif qui fait craindre le pire pour les semaines à venir.
La commission électorale malgache (Ceni) a proposé mardi 8 mai d’anticiper la date des élections présidentielle et législatives, prévues en toute fin d’année, afin de sortir de la crise politique qui secoue la Grande Ile depuis fin avril.